Fables, avec de nouvelles notes par m. de Lévizac. Gros |
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... mari ( 1 ) , Il l'amadoue ; elle le flatte ; Il n'y trouve plus rien de chatte ; Et , poussant l'erreur jusqu'au bout , La croit femme en tout et partout : Lorsque quelques souris qui rongeoient de la natte- Troublèrent le plaisir des ...
... mari ( 1 ) , Il l'amadoue ; elle le flatte ; Il n'y trouve plus rien de chatte ; Et , poussant l'erreur jusqu'au bout , La croit femme en tout et partout : Lorsque quelques souris qui rongeoient de la natte- Troublèrent le plaisir des ...
Page 59
... mari repart , sans songer : Tu ne leur portes point à boire ? ( 3 ) Trouve . ( 4 ) A l'entour n'est plus sui- vi d'un régime . Il faut autour , ( 5 ) Une des furies . ( 6 ) Sorte de brouet ou de bouillon chaud . ( 7 ) Religieuse qui ...
... mari repart , sans songer : Tu ne leur portes point à boire ? ( 3 ) Trouve . ( 4 ) A l'entour n'est plus sui- vi d'un régime . Il faut autour , ( 5 ) Une des furies . ( 6 ) Sorte de brouet ou de bouillon chaud . ( 7 ) Religieuse qui ...
Page 66
... mari donc leur demandant S'ils n'avoient de sa femme aperçu nulle trace : Nulle , reprit l'un d'eux ; mais cherchez - la plus bas , Suivez le fil de la rivière . Un autre repartit : non , ne le suivez pas , Rebroussez plutôt en arrière ...
... mari donc leur demandant S'ils n'avoient de sa femme aperçu nulle trace : Nulle , reprit l'un d'eux ; mais cherchez - la plus bas , Suivez le fil de la rivière . Un autre repartit : non , ne le suivez pas , Rebroussez plutôt en arrière ...
Page 139
... mari fait seul le voyage . La belle avoit un père , homme prudent et sage : Il laissa le torrent couler . A la fin , pour la consoler : Ma fille , lui dit - il , c'est trop verser de larmes ; Qu'a besoin le défunt que vous noyiez vos ...
... mari fait seul le voyage . La belle avoit un père , homme prudent et sage : Il laissa le torrent couler . A la fin , pour la consoler : Ma fille , lui dit - il , c'est trop verser de larmes ; Qu'a besoin le défunt que vous noyiez vos ...
Page 140
... mari Que vous m'avez promis ? dit - elle . ( 3 ) Dans les plaisirs qu'ido de Jouvence avoit la propriété lâtre la jeunesse . La Fontaine de rajeunir . EPILOGUE ( 1 ) . BORNONS ici cette carrière ; Les longs ouvrages me font peur . Loin ...
... mari Que vous m'avez promis ? dit - elle . ( 3 ) Dans les plaisirs qu'ido de Jouvence avoit la propriété lâtre la jeunesse . La Fontaine de rajeunir . EPILOGUE ( 1 ) . BORNONS ici cette carrière ; Les longs ouvrages me font peur . Loin ...
Common terms and phrases
Adieu alloit amant âme Amour animaux Apollon assez auroit aussi-bien avoient avoit beau belette belle Belphegor berger bête bois C'étoit cent Cérès cerf charmes chasseur chat chère chien chose ciel Clymène cœur coguée conte corbeau cormoran coup crut déesse devoit Dieu dieux dire disoit disoit-il dit-il donne doux encens enfants enfin époux Esope esprit étoient étoit eût fable faisoit femme fille Fontaine Fortune gens Grecs Grenouilles homme hymen J'ai J'en jamais Japet jour Jupiter l'aigle l'amour l'âne l'animal l'autre l'homme l'oiseau l'ours L'un laisse lion logis loup maint maître malheureux manger mieux mort mouche mouton n'avoit n'en neuf sœurs oiseaux passer pauvre peine père peuple Phèdre Phocide Pilpay plaisir pleurs pouvoit prince qu'un raison renard rien s'en sage seigneur seroit seul signifie singe sire sœurs soin sort souris Styx Télamon tête Tircis trésor trouve Ulysse veux vient vieux voilà voleurs vouloit yeux zéphyrs
Popular passages
Page 288 - Il ne convient pas à vous-mêmes. Repartit le vieillard. Tout établissement * Vient tard, et dure peu. La main des Parques blêmes De vos jours et des miens se joue également. Nos termes sont pareils par leur courte durée, Qui de nous des clartés de la voûte azurée Doit jouir le dernier?
Page 244 - L'animal chargé d'ans, vieux cerf, et de dix cors, En suppose un plus jeune, et l'oblige par force A présenter aux chiens une nouvelle amorce. Que de raisonnements pour conserver ses jours!
Page 280 - Que si je ne suis né pour de si grands projets, Du moins que les ruisseaux .m'offrent de doux objets ! Que je peigne en mes vers quelque rive fleurie ! La Parque à filets d'or n'ourdira point ma vie, Je ne dormirai point sous de riches lambris : Mais voit-on que le somme en perde de son prix:' En est-il moins profond, et moins plein de délices?
Page 218 - L'emportèrent enfin. Il dit : « Ne pleurez point ; Trois jours au plus rendront mon âme satisfaite : Je reviendrai' dans peu conter de point en point Mes aventures à mon frère ; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N'a guère à dire aussi. Mon voyage dépeint Vous sera d'un plaisir extrême. Je dirai : J'étais là : telle chose m'avint : Vous y croirez être vous-même.
Page 159 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son. Il était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est, une vache et son veau Que je verrai sauter au milieu du troupeau?
Page 169 - C'était un beau sujet de guerre Qu'un logis où lui-même il n'entrait qu'en rampant. « Et quand ce serait un royaume Je voudrais bien savoir, dit-elle, quelle loi En a pour toujours fait l'octroi A Jean fils ou neveu de Pierre ou de Guillaume, Plutôt qu'à Paul, plutôt qu'à moi.
Page 280 - Quand pourront les neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M'occuper tout entier, et m'apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les noms et les vertus de ces clartés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes!
Page 119 - Les fables ne sont pas ce qu'elles semblent être ; Le plus simple animal nous y tient lieu de maître. Une morale nue apporte de l'ennui : Le conte fait passer le précepte avec lui.
Page 159 - Pyrrhus, la laitière, enfin tous. Autant les sages que les fous. Chacun songe en veillant ; il n'est rien de plus doux : Une flatteuse erreur emporte alors nos âmes ; Tout le bien du monde est à nous , Tous les honneurs , toutes les femmes.
Page 3 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.