Manuel de littérature françaiseF.-A. Herbig, 1903 - 810 pages |
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... pense plus à la terre qu'il a quittée qu'à celle qu'il va conquérir . Et en brief tens , dit - il , li venz se feri1 ou voile et nous ot tolu2 la veue de la terre , que nous ne veismes que ciel et yaue ; et chascun jour nous esloigna li ...
... pense plus à la terre qu'il a quittée qu'à celle qu'il va conquérir . Et en brief tens , dit - il , li venz se feri1 ou voile et nous ot tolu2 la veue de la terre , que nous ne veismes que ciel et yaue ; et chascun jour nous esloigna li ...
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... pensé qu'à son tour mon bras était trop prompt ; * Je me suis accusé de trop de violence ; Et ta beauté sans doute emportait la balance , A moins que d'opposer à tes plus forts appas Qu'un homme sans honneur ne te méritait pas ; Que ...
... pensé qu'à son tour mon bras était trop prompt ; * Je me suis accusé de trop de violence ; Et ta beauté sans doute emportait la balance , A moins que d'opposer à tes plus forts appas Qu'un homme sans honneur ne te méritait pas ; Que ...
Page 51
... pense.1 Ce bienheureux moment n'est pas encor venu ; Il viendra , mais le temps ne m'en est pas connu . PAULINE . Quittez cette chimère , et m'aimez . " POLYEUCTE . Je vous aime , Beaucoup moins que mon Dieu , mais bien plus que moi ...
... pense.1 Ce bienheureux moment n'est pas encor venu ; Il viendra , mais le temps ne m'en est pas connu . PAULINE . Quittez cette chimère , et m'aimez . " POLYEUCTE . Je vous aime , Beaucoup moins que mon Dieu , mais bien plus que moi ...
Page 77
... pense que louer n'est pas d'un bel esprit , Que c'est être savant que trouver à redire , Qu'il n'appartient qu'aux sots d'admirer et de rire , Et qu'en n'approuvant rien des ouvrages du temps , Il se met au - dessus de tous les autres ...
... pense que louer n'est pas d'un bel esprit , Que c'est être savant que trouver à redire , Qu'il n'appartient qu'aux sots d'admirer et de rire , Et qu'en n'approuvant rien des ouvrages du temps , Il se met au - dessus de tous les autres ...
Page 83
... pense , Du fond de ce mystère avoir la connaissance . ALCESTE . Donne - le donc . CÉLIMÈNE . Que peut envelopper ceci ? ALCESTE . Je ne sais ; mais j'aspire à m'en voir éclairci . Auras - tu bientôt fait , impertinent au diable ...
... pense , Du fond de ce mystère avoir la connaissance . ALCESTE . Donne - le donc . CÉLIMÈNE . Que peut envelopper ceci ? ALCESTE . Je ne sais ; mais j'aspire à m'en voir éclairci . Auras - tu bientôt fait , impertinent au diable ...
Contents
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Common terms and phrases
ACASTE acte ALCESTE avez BARONNE beau BÉLISE bientôt BIOGRAPHIQUE ET LITTÉRAIRE.¹ Boileau Britannicus Burrhus C'est-à-dire CÉLIMÈNE CENONE Chimène chose CHRYSALE ciel Cinna cœur comédie COMTE Corneille coup DAMIS DESTOURNELLES Dieu dirait aujourd'hui donner enfin ennemis esprit êtes femme fille François Ier GASTON gens gloire Grèce GRINGOIRE HARPAGON Hernani homme j'ai j'en jamais jeune jour laisse latin lettres littéraire Littérature française livre Louis XIV m'en MADAME JOURDAIN main malheureux Manuel de Littérature MARQUISE mille Molière monde mort Napoléon Napoléon Ier NÉARQUE NÉRESTAN Néron NOTICE BIOGRAPHIQUE ORGON ORONTE parler passe pense père peuple Phèdre PHILAMINTE pièce Platz poésie poète POIRIER POLYEUCTE premier prince prose qu'un raison reste rien roman sais sang satire SCÈNE Seigneur sentiments sera SERTORIUS seul siècle Sire sort style Tartuffe Théâtre-Français tragédie trouve VALÈRE VANDERK FILS VERNOUILLET veut veux Victor Hugo vieux voilà vois voulez Voyez yeux Zaïre
Popular passages
Page 497 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 195 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Page 197 - Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 158 - ... de la France, mais aujourd'hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d'un nuage; venez voir le peu qui nous reste d'une si auguste naissance, de tant de grandeur, de tant de gloire. Jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété...
Page 498 - Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit. " Aimons donc, aimons donc ; de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive II coule et nous passons ! '' Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse.
Page 436 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le...
Page 101 - Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre.
Page 387 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte : il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche, et s'anime de la même ardeur ; il partage aussi ses plaisirs : à la chasse, aux tournois, à la course, il brille, il étincelle.
Page 496 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds, Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 94 - Je puis vous dissiper ces craintes ridicules, Madame; et je sais l'art de lever les scrupules. Le ciel défend, de vrai, certains contentements; Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.