Manuel de littérature françaiseF.-A. Herbig, 1903 - 810 pages |
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... maître puisse , sans inconvénient , leur parler la langue qu'il leur enseigne . Un manuel de littérature française destiné à ces classes doit donc être écrit en français . A * Il eût été désirable dans l'intérêt de l'enseignement pratique ,
... maître puisse , sans inconvénient , leur parler la langue qu'il leur enseigne . Un manuel de littérature française destiné à ces classes doit donc être écrit en français . A * Il eût été désirable dans l'intérêt de l'enseignement pratique ,
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... maître dans leur prétendue réforme de la langue . Un des poètes de la Pléiade , BAIF , et d'autres après lui , essayèrent même d'introduire dans la poésie française les règles métriques de la poésie ancienne , mais les vers baïfins ...
... maître dans leur prétendue réforme de la langue . Un des poètes de la Pléiade , BAIF , et d'autres après lui , essayèrent même d'introduire dans la poésie française les règles métriques de la poésie ancienne , mais les vers baïfins ...
Page xlviii
... maître des cérémonies chez Gaston d'Orléans , frère de Louis XIII , partagea la disgrâce de son maître , mais rentra en faveur et fut attaché à la maison du roi . Il fut l'hôte le plus assidu de l'hôtel de Rambouillet , 3 et membre de l ...
... maître des cérémonies chez Gaston d'Orléans , frère de Louis XIII , partagea la disgrâce de son maître , mais rentra en faveur et fut attaché à la maison du roi . Il fut l'hôte le plus assidu de l'hôtel de Rambouillet , 3 et membre de l ...
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... maître des eaux et forêts , et mourut à Paris en 1684. Né sous Henri IV , il vit la mort de Louis XIII et quarante années du règne de Louis XIV . Après de fortes études faites au collège des jésuites de sa ville natale , le jeune ...
... maître des eaux et forêts , et mourut à Paris en 1684. Né sous Henri IV , il vit la mort de Louis XIII et quarante années du règne de Louis XIV . Après de fortes études faites au collège des jésuites de sa ville natale , le jeune ...
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... maître ; Qui le sert , pour esclave , et qui l'aime , pour traître ; Qui le souffre a le cœur lâche , mol , abattu , Et pour s'en affranchir tout s'appelle vertu . Vous en avez , Seigneur , des preuves trop certaines : On a fait contre ...
... maître ; Qui le sert , pour esclave , et qui l'aime , pour traître ; Qui le souffre a le cœur lâche , mol , abattu , Et pour s'en affranchir tout s'appelle vertu . Vous en avez , Seigneur , des preuves trop certaines : On a fait contre ...
Contents
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Common terms and phrases
ACASTE acte ALCESTE avez BARONNE beau BÉLISE bientôt BIOGRAPHIQUE ET LITTÉRAIRE.¹ Boileau Britannicus Burrhus C'est-à-dire CÉLIMÈNE CENONE Chimène chose CHRYSALE ciel Cinna cœur comédie COMTE Corneille coup DAMIS DESTOURNELLES Dieu dirait aujourd'hui donner enfin ennemis esprit êtes femme fille François Ier GASTON gens gloire Grèce GRINGOIRE HARPAGON Hernani homme j'ai j'en jamais jeune jour laisse latin lettres littéraire Littérature française livre Louis XIV m'en MADAME JOURDAIN main malheureux Manuel de Littérature MARQUISE mille Molière monde mort Napoléon Napoléon Ier NÉARQUE NÉRESTAN Néron NOTICE BIOGRAPHIQUE ORGON ORONTE parler passe pense père peuple Phèdre PHILAMINTE pièce Platz poésie poète POIRIER POLYEUCTE premier prince prose qu'un raison reste rien roman sais sang satire SCÈNE Seigneur sentiments sera SERTORIUS seul siècle Sire sort style Tartuffe Théâtre-Français tragédie trouve VALÈRE VANDERK FILS VERNOUILLET veut veux Victor Hugo vieux voilà vois voulez Voyez yeux Zaïre
Popular passages
Page 497 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Page 195 - Les ombres par trois fois ont obscurci les cieux Depuis que le sommeil n'est entré dans vos yeux ; Et le jour a trois fois chassé la nuit obscure Depuis que votre corps languit sans nourriture.
Page 197 - Athènes me montra mon superbe ennemi. Je le vis, je rougis, je pâlis à sa vue; Un trouble s'éleva dans mon âme éperdue; Mes yeux ne voyaient plus, je ne pouvais parler; Je sentis tout mon corps et transir et brûler.
Page 158 - ... de la France, mais aujourd'hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d'un nuage; venez voir le peu qui nous reste d'une si auguste naissance, de tant de grandeur, de tant de gloire. Jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété...
Page 498 - Mais je demande en vain quelques moments encore, Le temps m'échappe et fuit ; Je dis à cette nuit : sois plus lente ; et l'aurore Va dissiper la nuit. " Aimons donc, aimons donc ; de l'heure fugitive, Hâtons-nous, jouissons ! L'homme n'a point de port, le temps n'a point de rive II coule et nous passons ! '' Temps jaloux, se peut-il que ces moments d'ivresse.
Page 436 - S'éveillait, écoutant ces plaintes, cette voix, Ces vœux d'une jeune captive ; Et secouant le...
Page 101 - Mon esprit est troublé, et j'ignore où je suis, qui je suis, et ce que je fais. Hélas ! mon pauvre argent ! mon pauvre argent ! mon cher ami ! on m'a privé de toi ; et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie : tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde. Sans toi, il m'est impossible de vivre.
Page 387 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats : aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte : il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche, et s'anime de la même ardeur ; il partage aussi ses plaisirs : à la chasse, aux tournois, à la course, il brille, il étincelle.
Page 496 - Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne, Au coucher du soleil, tristement je m'assieds, Je promène au hasard mes regards sur la plaine, Dont le tableau changeant se déroule à mes pieds.
Page 94 - Je puis vous dissiper ces craintes ridicules, Madame; et je sais l'art de lever les scrupules. Le ciel défend, de vrai, certains contentements; Mais on trouve avec lui des accommodements. Selon divers besoins, il est une science D'étendre les liens de notre conscience, Et de rectifier le mal de l'action Avec la pureté de notre intention.