Mémoires pour servir à l'histoire des événemens de la fin du dix-huitième siècle, depuis 1760 jusqu'en 1806-1810, Volume 3 |
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alloit ames armée assemblée assignats auroient auroit avoient avoit Barnave baron de Besenval brigands c'étoit Camus Charles de Lameth civile du clergé clubs comité commandant comte constitution civile constitution de 1791 constitutionnels crime crut culte catholique curé intrus curés déclaration décret démarche départemens département députés devoient devoit dévouement district Dumouriez ecclésias ecclésiastiques émigrés étoient étoit évêques excès factieux faction faisoient faisoit Fayette fidèles finances force gardes nationales général Gironde hommes intrus jacobins joug jour l'abbé l'armée l'assem l'assemblée constituante l'assemblée nationale l'Eglise l'Etat législative liberté licence Louis XVI Luckner majesté Malseigne massacre ment mille millions ministres Mirabeau monarchie monarque motion municipalité n'avoient n'avoit Nanci nation noblesse officiers ordres palais des Tuileries Pétion peuple populace pouvoient pouvoir prêtres prêtres catholiques princes refus régimens reine religion royaume s'étoient saint sanction sang schisme seconde législature serment seroient seroit soldats soudoyés Suisses talens tenoit tion trône troupes trouvoit vouloient vouloit
Popular passages
Page 448 - Tremblez, tyrans! et vous, perfides, , L'opprobre de tous les partis, Tremblez! vos projets parricides Vont enfin recevoir leur prix!
Page 448 - Nous entrerons dans la carrière Quand nos aînés n'y seront plus ; Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus ! Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil, Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre...
Page 447 - Entendez-vous dans les campagnes Mugir ces féroces soldats ? Ils viennent jusque dans vos bras Egorger vos fils, vos compagnes ! Aux armes, citoyens ! formez vos bataillons, Marchons ! ... qu'un sang impur abreuve nos sillons.
Page 45 - ... d'être fidèle à la nation, à la loi et au roi, et de maintenir de tout mon pouvoir la constitution décrétée par l'Assemblée Nationale et acceptée par le roi.
Page 46 - les ecclésiastU neur à la loi souveraine qui a droit de l'exiger pour la sûreté et la tranquillité de l'Etat. Nous sommes tout prêts , s'écrièrent les évêques et les ecclésiastiques qui vouloient allier les devoirs du citoyen avec les vertus du chrétien ; nous sommes tout prêts de jurer la fidélité la plus inviolable à la nation, à la loi et au roi. Mais comment s'engager, sous la loi du serment, à maintenir une constitution qui n'est encore ni achevée ni connue ? N'est-ce pas...
Page 447 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc. Quoi ! ces cohortes étrangères Feraient la loi dans nos foyers...
Page 113 - XVI, si, s'élevant comme roi au niveaude sadignilé, et donnant un noble essor à cette énergie qui sied si bien aux grands caractères ; si, arrivé à l'autel de la patrie, il se fût écrié.... « Français! peuple toujours idolâtre de vos rois, je viens jurer ici, à la face du ciel et de la terre , que je me dévoue tout entier pour votre bonheur : jurez à votre tour d'être toujours fidèles à votre roi ; brisez aujourd'hui les fers qui le tiennent asservi sous le joug d'une tourbe de...
Page 389 - Pétion ne se rendit point à cette invitation pressante : il ne daigna pas même envoyer au château une députation municipale , comme il l'avait promis dans la réponse familière qu'il fit au roi. Sa majesté adressa la même sollicitation à l'assemblée nationale ; mais elle ne crut pas de sa dignité de lui répondre, et bien moins encore de sa politique de se prêter à aucun des moyens qui auraient pu détromper le peuple. Cependant l'aspect de la capitale devenait à toute heure plus effrayant...
Page 401 - Feuillans , traversait au même instant cette ténébreuse avenue. LL. MM. furent obligées de s'y arrêter long-temps. Un grenadier de la garde nationale , craignant le danger d'une telle foule pour monseigneur le dauphin , le prit dans ses bras , et, l'élevant au-dessus des têtes, le porta ainsi jusque dans la salle de l'Assemblée : en revenant à nous : « Je viens , dit-il avec enthousiasme, » de porter le fils de mes maîtres , l'univers entier » dans mes bras ; vive monseigneur le dauphin...
Page 402 - ... sans émotion; il' rentra! dans sa chambre avec la Reine, les ministres et un petit nombre de personnes, et bientôt après il en sortit pour. se rendre avec sa famille à l'Assemblée. Il était entouré d'un détachement de Suisses et de gardes nationaux. De toutes les personnes du; service, madame la princesse de Lamballe, et madame la marquise de Tourzel , gouvernante des enfans de France, eurent seules la permission de suivre la famille royale. Madame de Tourzel, pour ne pas quitter le jeune...