...Que mon cœur démentoitma bouche à tous momcns ? Quand je l'aurois voulu , falloit-il y foufcrire i N'as-tu pas dû cent fois te le faire redire ? Toi-même avant le coup me venir confulter t Y revenir encore ou plutôt m'éviter ? Que ne me laiflbis tu le foin de m» vengeance...

...mon cœur démentoit ma bouche à tous momens ? Quand je l'aurois voulu , falloit-il y fôufcrire/ N'as-tu pas dû cent fois te le faire redire ! Toi-même avant le coup me venir confulter ? ' Y revenir encore , ou plutôt m'éviter ' * Que pe me laiflois-tu le foin de ma vengeance...

...cœur démentoit ma bouche à tous moments? Quand je l'aurois voulu , falloit-il y foufcrire ? N'as-tù pas dû cent fois te le faire redire ? Toi-même , avant le coup , me venir confulter , Y revenir encore , ou plutôt m'éviter ? Que ne me laiffois-tu le foin de ma vengeance...

...cœur démentoit ma bouche à tons moments? Quand je l'aurois voulu, falloit-il y souscrire ? N 'as-tu pas dû cent fois te le faire redire ? Toi-même avant le coup me venir consulter? Y revenir encore, ou plutot m'éviter ? Que ne me laissois-tu le soin de ma vengeance? Qui t'amene en des lieux où l'on...

...ORESTE. Oh dieux ! quoi ! ne m'avez-vous pas Vous-même, ici, tantôt, ordonné son trépas ? HERMIONE. Ah ! fallait-il en croire une amante insensée ? Ne...fond de ma pensée ? ' Et ne voyais-tu pas, dans mes emportemens , Que mon cœur démentait ma bouche à tous momens Qnand je l'aurais voulu , fillait-il...

...quoi ! ne m'avez-vons pas, Vous-même , ici , tantôt, ordonné son trépas ? HERMI С^ГГ E. , Ab ! fallait-il en croire une amante insensée ? Ne devais-tu pas lire au fond de ma pensée ? Kl ne voyais-tu pas, dans mes emportemens, Que mon cœur démentait ma bouche à tous momens? Quand...

...ici , tantôt, ordonné ion trenas ? HERMION E. АЪ ! fallait-il en croire une amante insensée ? De devais-tu pas lire au fond de ma pensée ? Et ne voyais-tu pas, dans mes emportemens , Que mon cceur démentait ma bouche à tous momcns ? Quand je l'aurais voulu, fallait-il...

...emportements, Que mon cœur démentait ma Lonche à tous moments ' Quand je l'aurois voulu, falloit-il y souscrire ? N'as-tu pas dû cent fois te le faire...me venir consulter ? Y revenir encore , ou plutôt meriter ! Que ne me laissois-tu le soin de ma vengeance? Voilà de ton amour le detestable fruit :...

...tantôt, ordonné son trépas? HERMIONE. Ah ! falloit-il en croire une amante insensée? Ne de vois-tu pas lire au fond de ma pensée? Et ne voyais-tu pas dans mes emportements Que mon cœur démentoit ma bouche à tous moments? Quand je l'aurois voulu, falloit-il y souscrire? Toi-même, avant...

...en croire une amante insensée? « Ne devais- tu pas lire au fond de ma pensée ? «Et ne voyais -tu pas, dans mes emportements, « Que mon cœur démentait...« Quand je l'aurais voulu , fallait-il y souscrire ? « N'as- tu pas dû cent fois te le faire redire ? « Toi-même avant le coup me venir consulter...