Des causes conditionnelles et productrices des idées, ou, De l'enchainement naturel des propriétés et des phénomènes de l'ame... |
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Page iv
... pensée . Suivant le principe des éclectiques , je prends la vérité où je crois la reconnaître , sans m'embarrasser de sa- voir , ni d'où elle tire son origine , ni si elle pourra s'accorder avec telle ou telle opinion reçue , ni quelles ...
... pensée . Suivant le principe des éclectiques , je prends la vérité où je crois la reconnaître , sans m'embarrasser de sa- voir , ni d'où elle tire son origine , ni si elle pourra s'accorder avec telle ou telle opinion reçue , ni quelles ...
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... pensées . Il est à remarquer que l'âme ne reçoit ces impressions , ou qu'elle n'est modifiée par elles , en un mot , qu'elle ne peut connaître , qu'à l'aide de l'attention . Si le mot entendement était en usage dans le sens propre , il ...
... pensées . Il est à remarquer que l'âme ne reçoit ces impressions , ou qu'elle n'est modifiée par elles , en un mot , qu'elle ne peut connaître , qu'à l'aide de l'attention . Si le mot entendement était en usage dans le sens propre , il ...
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... pensée , et comme substance sus- ceptible de modifications diverses , mais au fond tou- jours la même . C'est aussi par la conscience , ou du moins par une espèce de conscience , qu'il peut connaître que le souvenir d'une idée est en ...
... pensée , et comme substance sus- ceptible de modifications diverses , mais au fond tou- jours la même . C'est aussi par la conscience , ou du moins par une espèce de conscience , qu'il peut connaître que le souvenir d'une idée est en ...
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... non les placer l'une à côté de l'autre , la première étant une propriété de l'intel- ligence , et l'autre une propriété purement affective . FACULTÉ DE PENSER . La pensée suppose l'activité et la PROPRIÉTÉS DE L'AME . 35.
... non les placer l'une à côté de l'autre , la première étant une propriété de l'intel- ligence , et l'autre une propriété purement affective . FACULTÉ DE PENSER . La pensée suppose l'activité et la PROPRIÉTÉS DE L'AME . 35.
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Louis Auguste Gruyer. FACULTÉ DE PENSER . La pensée suppose l'activité et la mobilité de la substance pensante , c'est - à - dire la volonté et la sen- sibilité ( 1 ) en général , mais plus particulièrement la sensibilité intellectuelle ...
Louis Auguste Gruyer. FACULTÉ DE PENSER . La pensée suppose l'activité et la mobilité de la substance pensante , c'est - à - dire la volonté et la sen- sibilité ( 1 ) en général , mais plus particulièrement la sensibilité intellectuelle ...
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Common terms and phrases
absolument action actuellement attribut axiomes bilité c'est-à-dire causalité cause conditionnelle cause efficiente cause productrice causes finales cepts chose concept concevoir conséquent considérer corps est étendu corps est pesant Cousin définition Descartes Dieu différence dire distinction ductile effet elle-même esprit existe existence faculté général idées innées infinie intellectuelle jugement analytique jugements à priori jugements synthétiques Kant l'action l'attention l'attribut l'autre l'entendement l'espace l'esprit l'étendue l'expérience l'idée de cause l'imagination Laromiguière latives Leibnitz lui-même Maine de Biran manière d'être matériels mathématiques matière ment métaphysique modification mouvement n'en néces nécessité nomène objets extérieurs paralogisme pensée pesanteur phé phénomènes de l'âme philosophes possible posteriori pourrait pouvons première priété principe de causalité principe de contradiction proposition propriétés de l'âme propriétés essentielles propriétés passives puissance qu'une idée raison pure rait réellement réflexion rien salité sens sensation sensibilité sentiment serait seulement simple sorte souvenir stance substance sujet suppose tion triangle vérité nécessaire vertu virtuellement volonté vrai
Popular passages
Page 244 - Les sens, quoique nécessaires pour toutes nos connaissances actuelles, ne sont point suffisants pour nous les donner toutes, puisque les sens ne donnent jamais que des exemples, c'est-à-dire des vérités particulières ou individuelles... Or, tous les exemples qui confirment une vérité générale, de quelque nombre qu'ils soient, ne suffisent pas pour établir la nécessité universelle de cette même vérité : car il ne suit pas que ce qui est arrivé arrivera toujours de même.
Page 49 - ... et de richesses dans les arts, tout ce qu'il ya de profondeur dans les sciences ! Mais elle répondra que l'imagination, quel que soit l'éclat qui l'environne, n'est que la réflexion, lorsqu'elle combine des images, et que la réflexion, se composant elle-même de raisonnements, de comparaisons et d'actes d'attention, n'est pas une faculté distincte de ces facultés.
Page 244 - D'où il naît une autre question, savoir : si toutes les vérités dépendent de l'expérience, c'est-à-dire de l'induction et des exemples ; ou s'il y en a qui ont encore un autre fondement. Car, si quelques...
Page 182 - Or, le premier sentiment de l'effort libre comprend deux éléments ou deux termes indivisibles , quoique distincts l'un de l'autre dans le même fait de conscience, savoir : la détermination ou l'acte même de la volonté efficace, et la sensation musculaire qui accompagne ou suit cet acte dans un instant inappréciable de la durée. >• Si le vouloir n'accompagnait pas, ou ne précédait pas la sensation musculaire, cette sensation serait passive comme toute autre ; elle n'emporterait donc avec...
Page 48 - ... de nousmêmes, et l'imagination, la plus brillante et la plus féconde de nos facultés, ne seront plus des facultés! Quelles sont les prétentions de la philosophie? croitelle, en divisant, en classant selon ses besoins, ou selon ses caprices, changer la nature des choses? « La philosophie répondra que, par la sensation, nous ne faisons pas, mais qu'il se fait en nous; que la sensibilité est une simple capacité, une propriété de notre âme, mais qu'elle n'est pas une faculté.
Page 250 - Ce n'est donc pas une faculté nue qui consiste dans la seule possibilité de les entendre (l) : c'est une disposition, une aptitude, une préformation qui détermine notre âme et qui fait qu'elles en peuvent être tirées ; tout comme il ya de la différence entre les figures qu'on...
Page 252 - Ainsi je ne fais point la supposition que vous dites, comme si dans le cas dont vous parlez nous n'apprenions rien de nouveau. Et je ne saurais admettre cette proposition : Tout ce qu'on apprend n'est pas inné. Les vérités des nombres sont en nous, et on ne laisse pas de les apprendre...
Page 48 - Que dans le jugement, pris pour une perception de rapport, nous n'agissons pas : nous avons agi , à la vérité , puisqu'il a fallu comparer ; mais. la perception du rapport vient après l'action; le ^ travail de l'esprit est fini au moment où il aperçoit le rapport (/»). La philosophie ne niera pas sans doute, que la réflexion et l'imagination ne soient des facultés, et même les facultés auxquelles nous devons le plus , tout ce qu'il ya de beautés et de richesses dans les arts , tout ce...
Page 182 - ... musculaire qui accompagne ou suit cet acte dans un instant inappréciable de la durée. >• Si le vouloir n'accompagnait pas, ou ne précédait pas la sensation musculaire, cette sensation serait passive comme toute autre ; elle n'emporterait donc avec elle aucune idée de la cause ou force productive. » D'un autre côté, sans la sensation effet, la cause ne saurait être aperçue , ou n'existerait pas comme telle pour la conscience. » Le sentiment de l'effort fait donc tout le lien des termes...
Page 56 - Lorsque l'âme désire , elle juge qu'un seul objet peut satisfaire ses besoins; ou bien elle juge que plusieurs objets sont propres à les satisfaire. Dans ce dernier cas , il arrive souvent qu'elle prend une détermination ; c'est-à-dire, que l'action des facultés qui se partageait entre deux ou plusieurs «objets, Cesse de se partager ainsi pour se porter toute entière vers un seul : l'âme le choisit; elle le veut; elle le préfère.