Oeuvres, Volume 1 |
From inside the book
Results 1-5 of 81
Page
... dire des impressions successives de 1678-1679- 1694. Seulement , au lieu de suivre la division très- confuse , très - arbitraire , de ces impressions , nous avons adopté celle de l'édition de 1705 ( Paris , H. Charpentier ) , où les ...
... dire des impressions successives de 1678-1679- 1694. Seulement , au lieu de suivre la division très- confuse , très - arbitraire , de ces impressions , nous avons adopté celle de l'édition de 1705 ( Paris , H. Charpentier ) , où les ...
Page
... dire un mot de notre emploi des majuscules dans les Fables . Nous écrivons par une capitale , comme formant une sorte de nom propre , tout nom qui désigne un acteur de la fable , homme , animal , plante , etc. , soit acteur principal ...
... dire un mot de notre emploi des majuscules dans les Fables . Nous écrivons par une capitale , comme formant une sorte de nom propre , tout nom qui désigne un acteur de la fable , homme , animal , plante , etc. , soit acteur principal ...
Page viii
... dire « J'ai de qui tenir » ? Il a laissé à sa corres- pondante le soin de noter la ressemblance . Mais il en avait - 1. Biographie universelle , article PIDOUX , de Tabaraud . 2. Tome III , p . 404-422 . Voyez encore la Bibliothèque his ...
... dire « J'ai de qui tenir » ? Il a laissé à sa corres- pondante le soin de noter la ressemblance . Mais il en avait - 1. Biographie universelle , article PIDOUX , de Tabaraud . 2. Tome III , p . 404-422 . Voyez encore la Bibliothèque his ...
Page ix
... dire ce qu'il lui dut pour les soins donnés à ses pre- mières années , pour l'éducation . Il était jeune quand il la per- dit ; mais nous ne trouvons pas une date précise . Elle vivait encore en 1634. Dans le registre des baptêmes de ...
... dire ce qu'il lui dut pour les soins donnés à ses pre- mières années , pour l'éducation . Il était jeune quand il la per- dit ; mais nous ne trouvons pas une date précise . Elle vivait encore en 1634. Dans le registre des baptêmes de ...
Page xvii
... dire qu'il pensa le gâter , et lui reprocher « son trop d'es- prit . » Cela d'abord déroute un peu ; mais rapportons - nous- en au plus fin juge du bon goût et au plus sûr interprète de la pensée de la Fontaine , c'est - à - dire à lui ...
... dire qu'il pensa le gâter , et lui reprocher « son trop d'es- prit . » Cela d'abord déroute un peu ; mais rapportons - nous- en au plus fin juge du bon goût et au plus sûr interprète de la pensée de la Fontaine , c'est - à - dire à lui ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
amis apologue assez avoit avons Babrius Benserade Boileau c'étoit Chamfort Champmeslé chapitre Charles Château-Thierry chose cite comédie contes Coray Corrozet d'Ésope d'Olivet date dire dit-il donne doute duchesse de Bouillon écrit édition épître Ésope étoit eût fable fable ésopique fable grecque fabuliste Faërne femme Ferté-Milon fils Fontaine Foucquet François François de Maucroix Fréron Furetière gens goût Haudent Héricart de Thury Histoire de l'Académie homme Ibidem Jannart Jean Jean Racine jeune l'abbé l'édition de 1678 l'épître laissé latin leçon lettre Lion livre Louis Racine Loup maître Malherbe manuscrit Maucroix ment Mlle Mme d'Hervart Mme de Sévigné Molière morale Mythologia sopica Neveleti n'était Noble note notice OEuvres diverses parle Parnasse Phèdre Pidoux plaisir poëme poésie poëte poétique première prince Rabelais récit recueil Renard Richelet rien Sablière Saint-Évremond Saint-Marc Girardin satire seulement sorte taine Tallemant trouve Voyez ci-dessus Voyez le Lexique Walckenaer Ysopet καὶ
Popular passages
Page xli - Il n'est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu'une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l'esprit de ses enfants, Faire aller son ménage, avoir l'œil sur ses gens, Et régler la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie.
Page 164 - Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le monde On a souvent besoin d'un plus petit que soi.
Page 92 - C'est donc quelqu'un des tiens ; Car vous ne m'épargnez guère, Vous, vos bergers, et vos chiens. On me l'a dit : il faut que je me venge.
Page 65 - Hé bonjour, Monsieur du Corbeau. Que vous êtes joli! que vous me semblez beau! Sans mentir, si votre ramage Se rapporte à votre plumage, Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois.
Page xcv - QUATRE amis1 dont la connaissance avait commencé par le Parnasse lièrent une espèce de société que j'appellerais Académie si leur nombre eût été plus grand, et qu'ils eussent autant regardé les Muses que le plaisir.
Page 390 - TRAVAILLEZ, prenez de la peine ; C'est le fonds qui manque le moins. Un riche laboureur, sentant sa mort prochaine, Fit venir ses enfants, leur parla sans témoins. Gardez-vous, leur dit-il, de vendre l'héritage Que nous ont laissé nos parents : Un trésor est caché dedans. Je ne sais pas l'endroit ; mais un peu de courage Vous le fera trouver : vous en viendrez à bout. Remuez...
Page 110 - II met bas son fagot, il songe à son malheur. Quel plaisir at-il eu depuis qu'il est au monde ? En est-il un plus pauvre en la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos.
Page lx - Je n'ai jamais chanté que l'ombrage des bois, Flore, Echo, les Zéphyrs, et leurs molles haleines, Le vert tapis des prés et l'argent des fontaines.
Page 245 - JE ne suis pas de ceux qui disent : « Ce n'est rien : C'eSt une femme qui se noie. » Je dis que c'est beaucoup; et ce sexe vaut bien Que nous le regrettions, puisqu'il fait notre joie.
Page 203 - L'un vieillard, l'autre enfant, non pas des plus petits, Mais garçon de quinze ans, si j'ai bonne mémoire, Allaient vendre leur âne, un certain jour de foire. Afin qu'il fût plus frais et de meilleur débit, On lui lia les pieds, on vous le suspendit ; Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre.