J'ouvris les yeux, doutant si l'aube était réelle: De hardis compagnons sifflaient sur leur échelle, Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés. Je connus mon bonheur et qu'au monde où nous sommes Nul ne peut se vanter de se passer des... Annales de philosophie chrétienne - Page 5361900Full view - About this book
| Auguste Brachet, Jean-Jacques Dussouchet - French language - 1883 - 368 pages
...métiers —, les champs étaient semés; Je — mon bonheur et qu'au siècle où nous sommes, Nul ne — se vanter de se passer des hommes; El depuis ce jour-là je les ai tous aimés. SULLY-PRUDHOMME. (Poésies, Lemerre, éditeur.) Un rêve de bonheur Sur le penchant de quelque agréable... | |
| Sully Prudhomme - 18?? - 264 pages
...échelle, Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés. Je connus mon bonheur et qu'au monde où nous sommes Nul ne peut se vanter de se passer des hommes; Et depuis ce jour-là je les ai tons aimés. L'AXE DU MONDE Xi. TLA s porte le monde, et, les poings... | |
| Jacques Demogeot - French literature - 1886 - 566 pages
...échelle, Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés. Je connus mon bonheur, et qu'au monde où nous sommes Nul ne peut se vanter de se passer des hommes; Et. depuis ce jour-là, je les ai tous aimés. LE VASE BRISÉ Le vase où meurt cette verveine . D'un... | |
| Միհրան Գ Մօզեան - French literature - 1889 - 164 pages
...l'inplacable anathème, Quand j'implorais du ciel une pitié suprême, Je trouvais des lions debout dans mon chemin. J'ouvris les yeux, doutant si l'aube était...sommes Nul ne peut se vanter de se passer des hommes; Et depuis ce jour là je les ai tous aimés. SULLY-PRUDHOMME KB.SB fiuigunnpni [dfn'li • — \fuinn.f\li... | |
| Paul Passy - French language - 1889 - 136 pages
...échelle, Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés ; Je compris mon bonheur, et qu'au monde où nous sommes Nul ne peut se vanter de se passer des hommes, 25 Et depuis ce jour là je les ai tous aimés. SULLY PBUDHOMILE. rapsl twa', kâ su la frwAd' ts:r... | |
| Charles P. Du Croquet - French language - 1890 - 228 pages
...échelle; Les métiers bourdonnaient; les champs étaient semés. Je connus mon bonheur et qu'au monde où nous. sommes, Nul ne peut se vanter de se passer des hommes ; Et depuis ce jour-là je les ai tous aimés. LES PETITS OKPHELINS. L'hiver glace les champs, les... | |
| Paul Passy - French language - 1897 - 138 pages
...échelle, Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés; Je compris mon bonheur, et qu'au monde où nous sommes Nul ne peut se vanter de se passer des hommes, 25 Et depuis ce jour là je les ai tous aimés. SULLY PBUDHOMME. I raptl twa', kâ su la frwad' ter... | |
| Polydore Fabreguettes - Social sciences - 1898 - 838 pages
...échelle, Les métiers bourdonnaient, les champs étaient semés. Je connus mon bonheur et qu'au monde où nous sommes, Nul ne peut se vanter de se passer des hommes, Et depuis ce moment je les ai tous aimés (1). L'avenir est à l'union des initiatives pour l'entière... | |
| P. Félix Thomas - Moral education - 1899 - 188 pages
...vie plus douce, à moi qui le sais M » Aussi comprenons-nous combien le poète a eu raison de dire qu'au siècle où nous sommes Nul ne peut se vanter de se passer des hommes. Au point de vue intellectuel, nos semblables nous sont plus utiles encore. Les idées que nous défendons,... | |
| Arthur Graves Canfield - French poetry - 1899 - 430 pages
...pitié suprême, Je trouvais des lions debout dans mon chemin. Je connus mon bonheur et qu'au monde où nous sommes Nul ne peut se vanter de se passer des hommes ; Et depuis ce jour-là je les ai tous aimés. LE RENDEZ-VOUS TL est tard ; l'astronome aux veilles... | |
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