Revue nationale et étranǵre, politique, scientifique et littéraire, publ. par m. Charpentier |
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... n'était qu'un pas . III Sous cette barbarie native , il y avait des penchants nobles , incon- nus au monde romain , et qui de ses débris devaient tirer un meilleur monde . Au premier rang , « un certain sérieux qui les écarte des senti ...
... n'était qu'un pas . III Sous cette barbarie native , il y avait des penchants nobles , incon- nus au monde romain , et qui de ses débris devaient tirer un meilleur monde . Au premier rang , « un certain sérieux qui les écarte des senti ...
Page 26
... n'était pas la vieille coutume d'abandonner sou parent , son prince , de le laisser souffrir l'angoisse , de le laisser tomber dans la bataille . » « Le ver devient lurieux , l'ignoble étranger perfide , tout bigarré de - - - - - vagues ...
... n'était pas la vieille coutume d'abandonner sou parent , son prince , de le laisser souffrir l'angoisse , de le laisser tomber dans la bataille . » « Le ver devient lurieux , l'ignoble étranger perfide , tout bigarré de - - - - - vagues ...
Page 36
... n'était pas encore mort , ―ni tout à fait sans vie . Elle frappa alors violemment , - la femme glorieuse en force ! - une seconde fois le chien païen , — jusqu'à ce que sa tête eut roulé sur le sol . - L'ignoble carcasse gisait sans vie ...
... n'était pas encore mort , ―ni tout à fait sans vie . Elle frappa alors violemment , - la femme glorieuse en force ! - une seconde fois le chien païen , — jusqu'à ce que sa tête eut roulé sur le sol . - L'ignoble carcasse gisait sans vie ...
Page 56
... n'était pas un homme estimable , on aurait peur d'un genre de supériorité qui s'élève au - dessus de tout , dégrade et relève , attendrit et persifle , affirme et doute alternativement , et toujours avec le même succès1 . » Juger Goethe ...
... n'était pas un homme estimable , on aurait peur d'un genre de supériorité qui s'élève au - dessus de tout , dégrade et relève , attendrit et persifle , affirme et doute alternativement , et toujours avec le même succès1 . » Juger Goethe ...
Page 57
... n'était même plus un abri pour ses maîtres , la duchesse , sans défense , au milieu de son peuple épouvanté , se plaça au haut de l'escalier pour rece- voir le vainqueur irrité . Qui êtes - vous , madame ? demanda Napoléon . La duchesse ...
... n'était même plus un abri pour ses maîtres , la duchesse , sans défense , au milieu de son peuple épouvanté , se plaça au haut de l'escalier pour rece- voir le vainqueur irrité . Qui êtes - vous , madame ? demanda Napoléon . La duchesse ...
Contents
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Common terms and phrases
âme André André Chénier anglais Angleterre assez avaient beau belle Bellombre Beowulf Blazius Brahmâ brâhmanique c'était Californie capitaine Fracasse caste cause Chénier chose cœur comédiens Coppet coup culte d'André Daniel Stern Delphes devant Dieu Dieux dire divin donner enfants esprit EUGÈNE DESPOIS eût famille femme fille fils force général gens goût gouvernement Grèce Green guerre Homère hommes Humbug hymnes idées j'ai Jamadagni jamais jeune jour journal l'Angleterre l'Église l'esprit l'État l'homme l'or laisser liberté Livraison m'écriai-je madame de Staël madame Récamier magnétiques main Martha ment millions ministre misère monde monsieur morale mort mystères n'était nation orages magnétiques parler passé Pausanias pays pensée père personne peuple peut-être poésie poëte politique premier prêtres public qu'un raison Râma religieuse religion reste révolution rien sait semble sentiment serait seul siècle Sigognac société sorte souvent surtout Suzanne terre tion Trophonios trouve Truth Vasishtha Vêda vérité voilà voix xattriyas yeux Zambo Zerbine Zeus
Popular passages
Page 218 - ... soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 107 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 311 - ... territoire, ni aucun avantage particulier, et à n'exercer, dans les affaires intérieures du Mexique, aucune influence de nature à porter atteinte au droit de la nation mexicaine de choisir et de constituer librement la forme de son gouvernement.
Page 541 - Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire Sait, à te voir parler et rougir et sourire, De quels hôtes divins le ciel est habité. La grâce, la candeur, la naïve innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté. Sur tes traits, où ton âme imprime sa noblesse, Elles ont su mêler aux...
Page 273 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 32 - Telle me semble la vie des hommes sur cette terre, et son cours d'un moment, comparé à la longueur du temps qui la précède et qui la suit. Ce temps est ténébreux et incommode pour nous; il nous tourmente par...
Page 307 - Il ya, quand la terre souffre d'une surcharge, de mystérieux gémissements de l'ombre, que l'abîme entend. Napoléon avait été dénoncé dans l'infini, et sa chute était décidée. Il gênait Dieu. Waterloo n'est point une bataille ; c'est le changement de front de l'univers.
Page 220 - ... d'avoine qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont obligés d'arracher de leur bouche et de celle de leurs enfants, pour payer leurs impositions.
Page 539 - C'est surtout quand les sacrifices qu'il faut faire à la vérité, à la liberté, à la patrie, sont dangereux et difficiles qu'ils sont accompagnés aussi d'inappréciables délices. C'est au milieu des délations, des outrages, des proscriptions; c'est dans les cachots, c'est sur les échafauds que la vertu, la probité, la constance, savourent la volupté d'une conscience orgueilleuse et pure.
Page 524 - Hocquart, qui l'avait beaucoup connu et dont nous reparlerons dans la suite, disait qu'il était à la fois rempli de charme et fort laid, avec de gros traits et une tète énorme.