Revue nationale et étranǵre, politique, scientifique et littéraire, publ. par m. Charpentier |
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... fort , déchaînement des instincts carnassiers , ce sont là les traits qui apparaissent à chaque pas dans les anciennes Sagas . La fille du Jarl danois , voyant Egill qui veut s'asseoir auprès d'elle , le repousse avec mépris , lui ...
... fort , déchaînement des instincts carnassiers , ce sont là les traits qui apparaissent à chaque pas dans les anciennes Sagas . La fille du Jarl danois , voyant Egill qui veut s'asseoir auprès d'elle , le repousse avec mépris , lui ...
Page 20
... fort tenace et douloureux , l'exaltation dans l'effort , voilà leur état préféré . Carlyle disait bien que dans la sombre obstination du tra- vailleur anglais subsiste encore la rage silencieuse de l'ancien guer- rier scandinave ...
... fort tenace et douloureux , l'exaltation dans l'effort , voilà leur état préféré . Carlyle disait bien que dans la sombre obstination du tra- vailleur anglais subsiste encore la rage silencieuse de l'ancien guer- rier scandinave ...
Page 51
... fort déplu , sauf quelques passages . Elle dit qu'à Paris on n'aurait pas laissé finir le premier acte . Goethe ne peut se dé- cider à venir . Il a écrit aux Schiller qu'il aimerait mieux qu'on l'enterrât avec Herder . Je ne crois pas ...
... fort déplu , sauf quelques passages . Elle dit qu'à Paris on n'aurait pas laissé finir le premier acte . Goethe ne peut se dé- cider à venir . Il a écrit aux Schiller qu'il aimerait mieux qu'on l'enterrât avec Herder . Je ne crois pas ...
Page 56
... fort pour introduire , comme la na- ture , le génie destructeur dans ses propres ouvrages . S'il n'était pas un homme estimable , on aurait peur d'un genre de supériorité qui s'élève au - dessus de tout , dégrade et relève , attendrit ...
... fort pour introduire , comme la na- ture , le génie destructeur dans ses propres ouvrages . S'il n'était pas un homme estimable , on aurait peur d'un genre de supériorité qui s'élève au - dessus de tout , dégrade et relève , attendrit ...
Page 60
... fort . En 1814 il votait la déchéance et saluait l'empereur Alexandre . Mais en 1808 Napoléon était le maître de l'Europe ; il n'avait rien à craindre de Garat ? Ce qu'il craignait , c'était la parole d'une femme . Un murmure de liberté ...
... fort . En 1814 il votait la déchéance et saluait l'empereur Alexandre . Mais en 1808 Napoléon était le maître de l'Europe ; il n'avait rien à craindre de Garat ? Ce qu'il craignait , c'était la parole d'une femme . Un murmure de liberté ...
Contents
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Common terms and phrases
âme André André Chénier anglais Angleterre assez avaient beau belle Bellombre Beowulf Blazius Brahmâ brâhmanique c'était Californie capitaine Fracasse caste cause Chénier chose cœur comédiens Coppet coup culte d'André Daniel Stern Delphes devant Dieu Dieux dire divin donner enfants esprit EUGÈNE DESPOIS eût famille femme fille fils force général gens goût gouvernement Grèce Green guerre Homère hommes Humbug hymnes idées j'ai Jamadagni jamais jeune jour journal l'Angleterre l'Église l'esprit l'État l'homme l'or laisser liberté Livraison m'écriai-je madame de Staël madame Récamier magnétiques main Martha ment millions ministre misère monde monsieur morale mort mystères n'était nation orages magnétiques parler passé Pausanias pays pensée père personne peuple peut-être poésie poëte politique premier prêtres public qu'un raison Râma religieuse religion reste révolution rien sait semble sentiment serait seul siècle Sigognac société sorte souvent surtout Suzanne terre tion Trophonios trouve Truth Vasishtha Vêda vérité voilà voix xattriyas yeux Zambo Zerbine Zeus
Popular passages
Page 218 - ... soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 107 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 311 - ... territoire, ni aucun avantage particulier, et à n'exercer, dans les affaires intérieures du Mexique, aucune influence de nature à porter atteinte au droit de la nation mexicaine de choisir et de constituer librement la forme de son gouvernement.
Page 541 - Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire Sait, à te voir parler et rougir et sourire, De quels hôtes divins le ciel est habité. La grâce, la candeur, la naïve innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté. Sur tes traits, où ton âme imprime sa noblesse, Elles ont su mêler aux...
Page 273 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 32 - Telle me semble la vie des hommes sur cette terre, et son cours d'un moment, comparé à la longueur du temps qui la précède et qui la suit. Ce temps est ténébreux et incommode pour nous; il nous tourmente par...
Page 307 - Il ya, quand la terre souffre d'une surcharge, de mystérieux gémissements de l'ombre, que l'abîme entend. Napoléon avait été dénoncé dans l'infini, et sa chute était décidée. Il gênait Dieu. Waterloo n'est point une bataille ; c'est le changement de front de l'univers.
Page 220 - ... d'avoine qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont obligés d'arracher de leur bouche et de celle de leurs enfants, pour payer leurs impositions.
Page 539 - C'est surtout quand les sacrifices qu'il faut faire à la vérité, à la liberté, à la patrie, sont dangereux et difficiles qu'ils sont accompagnés aussi d'inappréciables délices. C'est au milieu des délations, des outrages, des proscriptions; c'est dans les cachots, c'est sur les échafauds que la vertu, la probité, la constance, savourent la volupté d'une conscience orgueilleuse et pure.
Page 524 - Hocquart, qui l'avait beaucoup connu et dont nous reparlerons dans la suite, disait qu'il était à la fois rempli de charme et fort laid, avec de gros traits et une tète énorme.