Revue nationale et étranǵre, politique, scientifique et littéraire, publ. par m. Charpentier |
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... dieux le dixième de leurs prisonniers , et laissant derrière eux la lueur rouge de l'in- cendie . « Seigneur , disait une litanie , délivrez - nous de la fureur des Jutes . » « De tous les barbares3 , ce sont les plus fermes de corps et ...
... dieux le dixième de leurs prisonniers , et laissant derrière eux la lueur rouge de l'in- cendie . « Seigneur , disait une litanie , délivrez - nous de la fureur des Jutes . » « De tous les barbares3 , ce sont les plus fermes de corps et ...
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... dieux ne sont point enfermés dans des murailles ; il n'a point d'idoles . Ce qu'il désigne par des noms divins , c'est ce je ne sais quoi d'invisible et de grandiose qui circule à travers la nature et qu'on devine au delà d'elle ...
... dieux ne sont point enfermés dans des murailles ; il n'a point d'idoles . Ce qu'il désigne par des noms divins , c'est ce je ne sais quoi d'invisible et de grandiose qui circule à travers la nature et qu'on devine au delà d'elle ...
Page 16
... dieux dans leur grande guerre . Un jour pour- tant viendra où , dieux et hommes , ils seront vaincus : « Alors tremble le grand frêne d'Yggdrasil.- Il frissonne , le vieil arbre . Le Iote Locki brise ses liens.- Les ombres frémissent ...
... dieux dans leur grande guerre . Un jour pour- tant viendra où , dieux et hommes , ils seront vaincus : « Alors tremble le grand frêne d'Yggdrasil.- Il frissonne , le vieil arbre . Le Iote Locki brise ses liens.- Les ombres frémissent ...
Page 17
... dieux héros . -Les montagnes de roches s'ébranlent , - les géantes tremblent . Les ombres foulent le chemin de l'enfer , - Le soleil commence à noircir , la terre le ciel s'entr'ouvre . - - - - s'affaisse dans la mer . - Elles ...
... dieux héros . -Les montagnes de roches s'ébranlent , - les géantes tremblent . Les ombres foulent le chemin de l'enfer , - Le soleil commence à noircir , la terre le ciel s'entr'ouvre . - - - - s'affaisse dans la mer . - Elles ...
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... dieux guerriers languis- saient dans l'imagination des hommes , en même temps que les pas- sions qui les avaient faits . Un siècle et demi après la conquête 2 , des 1. Turner remarque que la même idée exprimée par le roi Alfred , en ...
... dieux guerriers languis- saient dans l'imagination des hommes , en même temps que les pas- sions qui les avaient faits . Un siècle et demi après la conquête 2 , des 1. Turner remarque que la même idée exprimée par le roi Alfred , en ...
Contents
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Common terms and phrases
anciens André anglais assez aujourd'hui aurait Autriche avaient avant beau belle c'était caractère cause chercher chose cœur côté coup cour d'autres d'être demande dernier devant Dieu Dieux dire divin doit donner doute effet enfants esprit faisait famille femme fille fils fond force forme fort général gens gouvernement Grèce guerre haut hommes idées j'ai jeune jour journal juge jusqu'à l'État l'homme laisser liberté libre lieu livre loin lui-même madame main maître ment mieux milieu monde montre morale mort moyen n'avait n'en n'était nation nature nouveau nouvelle parler passé pays pendant pensée père personne petite peuple peut-être place poésie poëte porte pouvait pouvoir premier présente prêtres public qu'à qu'un question raison regard religieuse reste rien s'en s'est s'il sais sait semble sentiment serait seul siècle société soleil sommes sorte souvent surtout terre tête tion traits trouve vérité vive voie voilà voit voix vrai yeux
Popular passages
Page 218 - ... soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible : ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 107 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 311 - ... territoire, ni aucun avantage particulier, et à n'exercer, dans les affaires intérieures du Mexique, aucune influence de nature à porter atteinte au droit de la nation mexicaine de choisir et de constituer librement la forme de son gouvernement.
Page 541 - Fanny, l'heureux mortel qui près de toi respire Sait, à te voir parler et rougir et sourire, De quels hôtes divins le ciel est habité. La grâce, la candeur, la naïve innocence Ont, depuis ton enfance, De tout ce qui peut plaire enrichi ta beauté. Sur tes traits, où ton âme imprime sa noblesse, Elles ont su mêler aux...
Page 273 - Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots.
Page 32 - Telle me semble la vie des hommes sur cette terre, et son cours d'un moment, comparé à la longueur du temps qui la précède et qui la suit. Ce temps est ténébreux et incommode pour nous; il nous tourmente par...
Page 307 - Il ya, quand la terre souffre d'une surcharge, de mystérieux gémissements de l'ombre, que l'abîme entend. Napoléon avait été dénoncé dans l'infini, et sa chute était décidée. Il gênait Dieu. Waterloo n'est point une bataille ; c'est le changement de front de l'univers.
Page 220 - ... d'avoine qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont obligés d'arracher de leur bouche et de celle de leurs enfants, pour payer leurs impositions.
Page 539 - C'est surtout quand les sacrifices qu'il faut faire à la vérité, à la liberté, à la patrie, sont dangereux et difficiles qu'ils sont accompagnés aussi d'inappréciables délices. C'est au milieu des délations, des outrages, des proscriptions; c'est dans les cachots, c'est sur les échafauds que la vertu, la probité, la constance, savourent la volupté d'une conscience orgueilleuse et pure.
Page 524 - Hocquart, qui l'avait beaucoup connu et dont nous reparlerons dans la suite, disait qu'il était à la fois rempli de charme et fort laid, avec de gros traits et une tète énorme.