Petite encyclopédie poétique ou choix de poésies dans tous les genres: Romances et chansons |
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Common terms and phrases
Aglaure Alix amans amant amour ANTIGNAC Apollon Armance ARMAND-GOUFFÉ Bacchus baiser beau beauté bel âge belle Aspasie Berquin bientôt boire bonheur Bonsoir la compagnie Bouflers BOURGUEIL Buvons caha Cahin caressant chagrin chansons chante charmant chère Clémence Isaure clos ta paupière cœur Colin coup du milieu cruelle Daphné desirs dieu dieux douleur doux Emma époux ERMENONVILLE feux fidelle fièvre fille fillettes flamme fleurs Florian gaîté goût hameau Hélas heureux HOFFMAN ivresse J'ai j'aime jamais jeune bergère jeunesse jolie jour d'après jour qu'on aime L'amant l'Amour l'Aurore Lapalisse larmes Lautrec Lise Lisette long-tems Mainfroi maîtresse malheur matin Moncrif mourir musette nuit Panard passe Pégase père PHILIPON-LA-MADELAINE plaire plaisir plaisirs pleurs printems qu'un quinze ans quitter regrets romance rose SÉGUR aîné sermens seul soir sommeil songe soupirs suis-je suis-je la fougère t'aime tems tendre tendresse Tircis tour triste vaudeville verdure Versez veux vient VIII Voilà vois volage yeux
Popular passages
Page 36 - Dors, mon enfant, clos ta paupière; Tes cris me déchirent le cœur. Dors, mon enfant; ta pauvre mère A bien assez de sa douleur.
Page xiv - Le Français , né malin , forma le vaudeville ; Agréable indiscret , qui , conduit par le chant , Passe de bouche en bouche, et s'accroît en marchant. La liberté française en ses vers se déploie; Cet enfant de plaisir veut naître dans la joie.
Page 110 - Naissez, mes vers, soulagez mes douleurs, Et sans effort coulez avec mes pleurs. Voici d'Emma la tombe solitaire ; Voici l'asile où dorment les vertus. Charmante Emma, tu passas sur la terre Comme un éclair qui brille, et qui n'est plus ! J'ai vu la mort dans une ombre soudaine Envelopper l'aurore de tes jours, Et tes beaux yeux, se fermant pour toujours, A la clarté renoncer avec peine. Naissez, mes vers, etc.
Page 75 - Rapporte-lui ces fleurs sanglantes, De mon cœur le plus cher trésor, Et laisse mes lèvres mourantes Les baiser une fois encor. En disant ces mots, il expire. Alphonse, accablé de douleur, Prend le bouquet, et s'en va dire A sa fille l'affreux malheur.
Page 179 - Aussitôt que la lumière A redoré nos coteaux, Je commence ma carrière Par visiter mes tonneaux : Ravi de revoir l'aurore, Le verre en main, je lui dis : Vois-tu sur la rive More Plus qu'à mon nez de rubis...
Page 235 - Que mon client serait malheureux de les avoir outragées ! « Mais prendrez-vous pour outrage ce qui n'a rien de sérieux? Lorsque Collé (dont nous devons une nouvelle édition aux soins d'un censeur) nous dit dans l'élan de...
Page 125 - Eh ! comment aimer autre chose A quatorze ans, à quatorze ans? Je mets plus d'art à ma coiffure; Je ne sais quoi vient m'inspirer : N'est-ce donc que pour la figure Qu'on aime tant à se parer? Toutes les nuits, quand je repose, Je rêve, mais à des rubans. Eh ! comment rêver d'autre chose A quatorze ans, à quatorze ans? Une rose venait d'éclore ; Je l'observais sans y songer : C'était au lever de l'Aurore; Le Zéphir vint la caresser.
Page 172 - D'être toujours nouvelle A vos yeux, comme à votre esprit, Tenez, c'est toujours elle. L'autre matin, sous ces buissons, Une nymphe jolie Me dit : " J'aime tant vos chansons ! " Je dis :
Page ix - Aussi les anciens n'avoient-ils point encore l'art d'écrire , qu'ils avoient déjà des chansons. Leurs lois et leurs histoires , les louanges des dieux et des héros, furent chantées avant d'être écrites. Et de là vient , selon Aristote , que le même nom grec fut donné aux lois et aux chansons. Toute la poésie lyrique...
Page 78 - JE vais donc quitter pour jamais Mon beau pays, ma douce amie ! Loin d'eux je vais traîner ma vie Dans les pleurs et dans et regrets.