Gaule et France |
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Common terms and phrases
armée Austrasie avaient avons bataille bientôt Bourgogne c'était Carolingiens César Charles chefs franks chevaliers chose chrétiens clergé combat comte comte de Boulogne conquête couronne croisade d'Angleterre d'Aquitaine Dago-bert devant Dieu donna duc de Normandie enfans enfin ennemis envoya épée évêque femme féodalité fils Flandre Frédégaire frère Gaule germanique Grégoire de Tours guerre Guillaume Guillaume de Nangis habitans Henri Hilde-bert Hilpe-rik Hlode-wig Hlot-her hommes d'armes Hugues Capet jeta jeune jour Karl Karl-le-Chauve Karl-le-Grand Karl-le-Simple Karl-man l'an l'armée l'église l'empereur l'évêque laissant Laon Louis VIII Louis XI Lud-wig mains maire du palais marche ment Mere-wigs meurt mille monarchie mort mourut Nangis Napoléon nation national Neustrie nommé Normandie Othon pape passer Peppin père peuple Philippe Philippe-Auguste porter pouvoir premier prit puissance race rassemble règne Reims reine rent révolution Robert rois Romains royal royaume s'était Sarrasins seigneurs seul Soissons succède Templiers terre Théode-rik tombe tour trône troupes vassaux
Popular passages
Page 170 - ... T. 8. parmi ceux qui allaient accomplir l'œuvre de la dévotion et de la prière , en visitant les lieux saints , un prêtre nommé Pierre , né dans le royaume des Francs et dans l'évêché d'Amiens , ermite autant de fait que de nom , attiré par la même ardeur, arriva à Jérusalem. C'était un homme de très-petite stature et dont l'extérieur n'offrait qu'un aspect misérable : mais une force supérieure régnait dans ce corps chétif. 11 avait l'esprit vif, l'œil pénétrant, le regard...
Page 95 - Pro Deo amur et pro Christian poblo et nostro commun « salvament, d'ist di in avant, in quant Deus savir et podir « me dunat, si salvarai eo cist meon fradre Karlo et in...
Page 96 - Pour l'amour de Dieu et pour le peuple chrétien, et notre commun salut, de ce jour en avant, en tant que Dieu me donnera de savoir et de pouvoir, je soutiendrai mon frère...
Page 84 - Le fer couvrait les champs et les grands chemins. Les pointes du fer réfléchissaient les rayons du soleil. Ce fer si dur était porté par un peuple d'un cœur plus dur encore. L'éclat du fer répandit la terreur dans les rues de la cité : « Que de fer ! hélas ! que de fer! » Tels furent les cris confus que poussèrent les citoyens.
Page 295 - L'arrêt lui fut lu en prison, en ces termes : « Moi Guillaume Trussel, procureur du parlement et « de toute la nation anglaise, je vous déclare dans leur nom et de « leur autorité, que je révoque et rétracte l'hommage que je vous « ai fait; et dès ce moment je vous prive de la puissance royale, et « proteste que je ne vous obéirai plus comme à mon roi.
Page 210 - ... est monté au ciel, où il est assis à la droite de Dieu son père, ainsi le corps et l'âme doivent souffrir, mourir, ressusciter et monter au ciel.
Page 213 - Vous avez lieu, je pense, d'être satisfait de notre conduite. Nous avons remis entre les mains des chevaliers du Temple l'argent que nous avions résolu de vous envoyer. Nous avons de plus remboursé au comte de Vermandois les trois mille livres qu'il nous avait prêtées pour votre service.
Page 229 - Là se fit le plus grand massacre qui se fût jamais fait dans le monde entier ; car on n'épargna ni vieux ni jeunes, pas même les enfants qui tétaient : on les tuait et faisait mourir. Voyant cela, ceux de la ville se retirèrent, ceux qui le purent, tant hommes que femmes, dans la grande église de Saint-Nazaire : les prêtres de cette église devaient faire tinter les cloches quand tout le monde...
Page 287 - de nostre grand conseil , avons ordené et ordenons , «que generaument, par tout nostre royaume, de «tant comme il peut appartenir à nous et à nos «successeurs, telles servitudes soient ramenées à «franchises; et à tous ceux qui de...
Page 83 - Charles lui-même, cet homme de fer, la tête couverte d'un casque de fer, les mains garnies de gantelets de fer, sa poitrine de fer et ses épaules de marbre défendues par une cuirasse de fer, la main gauche armée d'une lance de fer qu'il soutenait élevée en l'air, car sa main droite il la tenait toujours étendue sur son invincible épée.