Histoire de la Révolution française depuis 1789 jusqu'en 1814, Volume 2

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Firmin Didot, père et fils, 1827 - France
 

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Popular passages

Page 26 - Allons, enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé, Contre nous, de la tyrannie, L'étendard sanglant est levé, bis.
Page 92 - France, qu'il avait formé une liste de proscription, je n'ai pas voulu récriminer ; mais j'ai vu hier la séance des jacobins, j'ai frémi pour la patrie ! J'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell , et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein , si la convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation...
Page 46 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu, le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu, sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur, sans laquelle la vertu est impuissante.
Page 266 - l'avez violée au 18 fructidor; vous l'avez violée au « 22 floréal; vous l'avez violée au 30 prairial. La « constitution, elle est invoquée par toutes les factions, « et elle a été violée par toutes ; elle ne peut être « pour nous un moyen de salut, parce qu'elle n'obtient « plus le respect de personne ; la constitution violée, « il faut un autre pacte, de nouvelles garanties.
Page 15 - Les maisons nationales seront converties en casernes, les places publiques en ateliers, le sol des caves servira à préparer le...
Page 31 - L'ère nouvelle data du 22 septembre 1792, époque de la fondation de la république. Il y eut douze mois égaux de trente jours, qui commencèrent au 22 septembre, dans l'ordre suivant : vendémiaire, brumaire, frimaire, pour l'automne; nivôse, pluviôse, ventôse, pour l'hiver ; germinal, floréal, prairial, pour le printemps; messidor, thermidor, fructidor, pour l'été.
Page 69 - Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Page 311 - sénat pense qu'il est du plus grand intérêt du « peuple français de confier le gouvernement de « la république à Napoléon Bonaparte, empereur
Page 310 - ... j'ai senti de plus en plus que, dans une circonstance aussi nouvelle qu'importante , les conseils de votre sagesse et de votre expérience m'étaient nécessaires pour fixer toutes mes idées. » Je vous invite donc à me faire connaître votre pensée tout entière.
Page 265 - Représentants du peuple, vous n'êtes point dans des circonstances ordinaires ; vous êtes sur un volcan. Permettez-moi de vous parler avec la franchise d'un soldat , avec celle d'un citoyen zélé pour le bien de son pays; et suspendez , je vous en prie , votre jugement jusqu'à ce que vous m'ayez entendu jusqu'à la fin.

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