Le répertoire littéraire; or, Choice selections from the best French authors, with annotations by C.J. Delille1839 |
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... - peu en haleine ; je laissai loin derrière moi presque tous ceux qui étaient partis avec tant d'ardeur . Hippomaque , parent d'Idoménée , poussant trop ses che- vaux , le plus vigoureux s'abattit , et ôta , 6 TÉLÉMAQUE .
... - peu en haleine ; je laissai loin derrière moi presque tous ceux qui étaient partis avec tant d'ardeur . Hippomaque , parent d'Idoménée , poussant trop ses che- vaux , le plus vigoureux s'abattit , et ôta , 6 TÉLÉMAQUE .
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... presque plus . On voyait reluire sur leurs visages graves une sagesse douce et tran- quille ; ils ne se pressaient point de parler ; ils ne disaient que ce qu'ils avaient résolu de dire . Quand ils étaient d'avis différents , ils ...
... presque plus . On voyait reluire sur leurs visages graves une sagesse douce et tran- quille ; ils ne se pressaient point de parler ; ils ne disaient que ce qu'ils avaient résolu de dire . Quand ils étaient d'avis différents , ils ...
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... presque autant sa nation victorieuse que les nations vaincues . Un prince qui n'a point les qualités nécessaires pour la paix , ne peut faire goûter à ses sujets 122 les fruits d'une guerre heureusement finie : il est comme un homme qui ...
... presque autant sa nation victorieuse que les nations vaincues . Un prince qui n'a point les qualités nécessaires pour la paix , ne peut faire goûter à ses sujets 122 les fruits d'une guerre heureusement finie : il est comme un homme qui ...
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... presque continuel , de son air froid et réservé . Mais quand on s'appliqua à le regarder , on découvrit dans son visage je ne sais quoi de ferme et d'élevé ; on remarqua la vivacité de ses yeux , et la vigueur avec laquelle il faisait ...
... presque continuel , de son air froid et réservé . Mais quand on s'appliqua à le regarder , on découvrit dans son visage je ne sais quoi de ferme et d'élevé ; on remarqua la vivacité de ses yeux , et la vigueur avec laquelle il faisait ...
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... presque , enfin par tagnes mettent cette côte à l'abri des vents brûlants du midi ; elle est rafraîchie par le vent du nord qui souffle du côté de la mer . Ce pays est au pied du Liban , dont le sommet fend les nues et va toucher les ...
... presque , enfin par tagnes mettent cette côte à l'abri des vents brûlants du midi ; elle est rafraîchie par le vent du nord qui souffle du côté de la mer . Ce pays est au pied du Liban , dont le sommet fend les nues et va toucher les ...
Contents
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Common terms and phrases
animaux arbres armée armes Auteur vivant avaient bataille beau Bélisaire bientôt brillant bruit BUFFON célèbre Châteaubriand chevaux chien chose ciel cœur combat corps couleurs coup Crantor Crétois d'autres déserts Dieu dieux dire donner enfants enfin ennemis Épaminondas espèce fesait fils fleurs fleuve flots force forêts François Ier Gil Blas glacier gloire goût grec guerre Hazaël hommes Idoménée j'ai jamais janissaires jour l'homme laisse langue lois Louis XIV lumière MADAME MADAME DE SÉVIGNÉ MADAME DE STAËL main maison maître malheureux Mantinée ment Mérovée milieu mille Minos monde montagnes mort Narva nature neige nuit ouvrages parler partout passer peine pensée père peuple pieds plaisir Polyclète porte premier prince regards règne reste rien Romains ruines sage Sangrado semble sentiment serait seul siècle silence soldats soleil sort Suédois terre tête Thespiens tombe troupes trouve vaisseau vaste vent vieillards VIRG voilà voix voyageurs Voyez Voyez la page yeux
Popular passages
Page 62 - La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre...
Page 399 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 184 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini , un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 174 - Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vous-même, si vous dites que nous avons menti , que cela est faux , qu'on se moque de vous , que voilà une belle raillerie , que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures , nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
Page 97 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Page 379 - Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
Page 173 - Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ; jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 137 - ... quelquefois menteur ; il est superstitieux, scrupuleux, timide ; il marche doucement et légèrement, il semble craindre de fouler la terre ; il marche les yeux baissés, et il n'ose les lever sur ceux qui passent ; il n'est jamais du nombre de ceux qui forment un cercle pour discourir, il se met derrière celui qui parle, recueille furtivement ce qui se dit, et il se retire si on le regarde.
Page 185 - ... l'ombre de la mort [ se présente ; ] on commence à sentir l'approche du gouffre fatal. Mais il faut aller sur le bord ; encore un pas. Déjà l'horreur trouble les sens, la tête tourne , les yeux [s'égarent; ] il faut marcher. [On voudroit retourner] en arrière ; plus de moyen : tout est tombé , tout est évanoui, tout est échappé.
Page 350 - J'ai vu la Paix descendre sur la terre, Semant de l'or, des fleurs et des épis. L'air était calme, et du dieu de la guerre Elle étouffait les foudres assoupis. * « Ah! disait-elle, égaux par la vaillance, « Français, Anglais, Belge, Russe ou Germain, • Peuples, formez une sainte alliance,