Le répertoire littéraire; or, Choice selections from the best French authors, with annotations by C.J. Delille1839 |
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... partout . Enfin on voit au - dessous de ces pâturages le pied de la montagne qui est comme un jardin le printemps et l'automne y règnent ensemble pour y joindre les fleurs et les fruits . Jamais ni le souffle empesté du midi , qui sèche ...
... partout . Enfin on voit au - dessous de ces pâturages le pied de la montagne qui est comme un jardin le printemps et l'automne y règnent ensemble pour y joindre les fleurs et les fruits . Jamais ni le souffle empesté du midi , qui sèche ...
Page 47
... Partout en demi - cercle il court le dos courbé . D. À décider son ton pour peu que le D tarde , Il faut , contre les dents , que la langue le darde . E. L'E sévertue ensuite , élancé par l'haleine ; Chaque 47 Recréation grammaticale ...
... Partout en demi - cercle il court le dos courbé . D. À décider son ton pour peu que le D tarde , Il faut , contre les dents , que la langue le darde . E. L'E sévertue ensuite , élancé par l'haleine ; Chaque 47 Recréation grammaticale ...
Page 54
... Partout le sol était brûlant , et l'air étouffant retentissait du bour- donnement des insectes qui cherchaient à se désaltérer dans le sang des hommes et des animaux . a Cependant ces chaleurs excessives élevèrent de l'océan des vapeurs ...
... Partout le sol était brûlant , et l'air étouffant retentissait du bour- donnement des insectes qui cherchaient à se désaltérer dans le sang des hommes et des animaux . a Cependant ces chaleurs excessives élevèrent de l'océan des vapeurs ...
Page 57
... partout les débris . Des forêts , qui , la veille , s'élançaient jusqu'aux nues , étaient courbées vers la terre ; d'autres semblaient se hérisser 14 encore d'horreur . Des collines qu'Alonzo avait vues s'arrondir sous leur verdoyante ...
... partout les débris . Des forêts , qui , la veille , s'élançaient jusqu'aux nues , étaient courbées vers la terre ; d'autres semblaient se hérisser 14 encore d'horreur . Des collines qu'Alonzo avait vues s'arrondir sous leur verdoyante ...
Page 58
... partout ailleurs brille par sa jeunesse , paraît ici dans la décrépitude ; la terre , sur- chargée par le poids , surmontée par les débris de ses productions , n'offre , au lieu d'une verdure florissante , qu'un espace encombré ...
... partout ailleurs brille par sa jeunesse , paraît ici dans la décrépitude ; la terre , sur- chargée par le poids , surmontée par les débris de ses productions , n'offre , au lieu d'une verdure florissante , qu'un espace encombré ...
Contents
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Common terms and phrases
animaux arbres armée armes Auteur vivant avaient bataille beau Bélisaire bientôt brillant bruit BUFFON célèbre Châteaubriand chevaux chien chose ciel cœur combat corps couleurs coup Crantor Crétois d'autres déserts Dieu dieux dire donner enfants enfin ennemis Épaminondas espèce fesait fils fleurs fleuve flots force forêts François Ier Gil Blas glacier gloire goût grec guerre Hazaël hommes Idoménée j'ai jamais janissaires jour l'homme laisse langue lois Louis XIV lumière MADAME MADAME DE SÉVIGNÉ MADAME DE STAËL main maison maître malheureux Mantinée ment Mérovée milieu mille Minos monde montagnes mort Narva nature neige nuit ouvrages parler partout passer peine pensée père peuple pieds plaisir Polyclète porte premier prince regards règne reste rien Romains ruines sage Sangrado semble sentiment serait seul siècle silence soldats soleil sort Suédois terre tête Thespiens tombe troupes trouve vaisseau vaste vent vieillards VIRG voilà voix voyageurs Voyez Voyez la page yeux
Popular passages
Page 62 - La scène sur la terre n'était pas moins ravissante : le jour bleuâtre et velouté de la lune descendait dans les intervalles des arbres et poussait des gerbes de lumière jusque dans l'épaisseur des plus profondes ténèbres. La rivière qui coulait à mes pieds tour à tour se perdait dans le bois, tour à tour reparaissait brillante des constellations de la nuit, qu'elle répétait dans son sein. Dans une savane, de l'autre...
Page 399 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien ' ; et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela.
Page 184 - Car enfin qu'est-ce que l'homme dans la nature? Un néant à l'égard de l'infini , un tout à l'égard du néant : un milieu entre rien et tout.
Page 174 - Voilà un beau sujet de discourir. Si vous criez, si vous êtes hors de vous-même, si vous dites que nous avons menti , que cela est faux , qu'on se moque de vous , que voilà une belle raillerie , que cela est bien fade à imaginer; si enfin vous nous dites des injures , nous trouverons que vous avez raison ; nous en avons fait autant que vous. Adieu ; les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous feront voir si nous disons vrai ou non.
Page 97 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Page 379 - Hélas ! mon pauvre argent, mon pauvre argent, mon cher ami, on m'a privé de toi ! et, puisque tu m'es enlevé, j'ai perdu mon support, ma consolation, ma joie ; tout est fini pour moi, et je n'ai plus que faire au monde ! Sans toi il m'est impossible de vivre. C'en est fait ; je n'en puis plus, je me meurs, je suis mort, je suis enterré.
Page 173 - Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois ; jetez-vous votre langue aux chiens ? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun épouse dimanche au Louvre, devinez qui ? Je vous le donne en quatre, je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 137 - ... quelquefois menteur ; il est superstitieux, scrupuleux, timide ; il marche doucement et légèrement, il semble craindre de fouler la terre ; il marche les yeux baissés, et il n'ose les lever sur ceux qui passent ; il n'est jamais du nombre de ceux qui forment un cercle pour discourir, il se met derrière celui qui parle, recueille furtivement ce qui se dit, et il se retire si on le regarde.
Page 185 - ... l'ombre de la mort [ se présente ; ] on commence à sentir l'approche du gouffre fatal. Mais il faut aller sur le bord ; encore un pas. Déjà l'horreur trouble les sens, la tête tourne , les yeux [s'égarent; ] il faut marcher. [On voudroit retourner] en arrière ; plus de moyen : tout est tombé , tout est évanoui, tout est échappé.
Page 350 - J'ai vu la Paix descendre sur la terre, Semant de l'or, des fleurs et des épis. L'air était calme, et du dieu de la guerre Elle étouffait les foudres assoupis. * « Ah! disait-elle, égaux par la vaillance, « Français, Anglais, Belge, Russe ou Germain, • Peuples, formez une sainte alliance,