Jose-Maria de Heredia, ein Dichter des Parnasse contemporain. - Hamburg, Lütcke & Wulff 1907Lütcke & Wulff, 1907 - 25 pages |
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... werfen kann : Et je vis , me dressant sur la bruyère rose , L'Océan qui , splendide et monstrueux , arrose Du sel vert de ses eaux les caps de granit noir ; tal Et mon cœur savoura , devant l'horizon vide Que reculait 15.
... werfen kann : Et je vis , me dressant sur la bruyère rose , L'Océan qui , splendide et monstrueux , arrose Du sel vert de ses eaux les caps de granit noir ; tal Et mon cœur savoura , devant l'horizon vide Que reculait 15.
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Wilhelm Lühr. Et mon cœur savoura , devant l'horizon vide Que reculait vers l'Ouest l'ombre immense du soir L'ivresse de l'espace et du vent intrépide . ( Armor . ) Heredia , der mit solcher Sorgfalt seine Worte wählte , hat auch den ...
Wilhelm Lühr. Et mon cœur savoura , devant l'horizon vide Que reculait vers l'Ouest l'ombre immense du soir L'ivresse de l'espace et du vent intrépide . ( Armor . ) Heredia , der mit solcher Sorgfalt seine Worte wählte , hat auch den ...
Page 21
... cœur de l'homme d'un jour , quelque grand qu'il soit . . . . Le poète est d'autant plus vraiment et largement humain qu'il est plus impersonnel « ( Discours de réception ) . Darin ist Heredia der getreue Anhänger des » Parnasse ...
... cœur de l'homme d'un jour , quelque grand qu'il soit . . . . Le poète est d'autant plus vraiment et largement humain qu'il est plus impersonnel « ( Discours de réception ) . Darin ist Heredia der getreue Anhänger des » Parnasse ...
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Wilhelm Lühr. Ainsi du plus profond de ce cœur trop plein d'Elle , Sourde , lente , insensible et pourtant éternelle , Gronde en moi l'orageuse et lointaine rumeur . Höchstes Streben bezeugen die Verse des Dichters in » Plus Ultra « , in ...
Wilhelm Lühr. Ainsi du plus profond de ce cœur trop plein d'Elle , Sourde , lente , insensible et pourtant éternelle , Gronde en moi l'orageuse et lointaine rumeur . Höchstes Streben bezeugen die Verse des Dichters in » Plus Ultra « , in ...
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... cœur trop plein d'Elle , Sourde , lente , insensible et pourtant éternelle , Gronde en moi l'orageuse et lointaine rumeur . Vielleicht ist es hier die Klage um die heimgegangene Mutter ? Heredias Dichtung hat andere Triebfedern als die ...
... cœur trop plein d'Elle , Sourde , lente , insensible et pourtant éternelle , Gronde en moi l'orageuse et lointaine rumeur . Vielleicht ist es hier die Klage um die heimgegangene Mutter ? Heredias Dichtung hat andere Triebfedern als die ...
Common terms and phrases
Agave Alexandriner Antike Banville Beispiele Beiworte Besonders bildenden Kunst Bilder blanche Bourget Bretagne Brunetière c'est Heredia Cardonnel Centauren Cidromanze ciel clair cœur Conquérants de l'Or Conquista Conquistador contemp d'or Dichter Diego Laynez Dieux Discours de réception doré Émail Epos Eppendorf ersten éternelle étoilé Form formale Zäsur trennt Gaston Deschamps Gourmont grand heißt Heredias Dichtungen Hernando de Soto Hortorum Deus Jahr Jeune Joachim du Bellay José-Maria de Heredia Klang l'épée L'Estoc l'ombre Lapithen Leconte de Lisle Légende Lemaître Lemerre Littérature contemporaine Livres lointaine Luchon Lupercus Manuscrit des Bucoliques Médaille Médée Meister Leconte Mendès métal Neuspaniens noir nouvelle Oktober pâle Parnasse contemporain Petit Traité poésie poète Popelin pourpre qu'elle qu'il Reim Reimfolge Rêve Revue des Deux rimes Romancero del Cid Romanze rouge Schluß Schlußverse soir sombre Sonett der Nachlese Sonnets Sourde sous Tepidarium Terzett Théophile Gautier Tout tremble Tranquillus Trebbia Vase Vergil Vers Verse vibrante Vieil Orfèvre viril voix Werk Worte yeux
Popular passages
Page 2 - DE L'ENFANT A SON RÉVEIL O père qu'adore mon père ! Toi qu'on ne nomme qu'à genoux! Toi, dont le nom terrible et doux Fait courber le front de ma mère! On dit que ce brillant soleil N'est qu'un jouet de ta puissance; Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil. On dit que c'est toi qui fais naître Les petits oiseaux dans les champs, Et qui...
Page 14 - Hors de son dais royal se penchant pour mieux voir, Cléopâtre debout en la splendeur du soir Semble un grand oiseau d'or qui guette au loin sa proie.
Page 21 - C'est que la vraie poésie est dans la nature et dans l'humanité éternelles, et non dans le cœur de l'homme d'un jour, quelque grand qu'il soit.
Page 22 - L'Archipel radieux et les golfes déserts, Ecoutaient du sommet des promontoires clairs Chanter sur leurs tombeaux la mer de Salamine. Et moi je m'éteindrai, vieillard, en un long deuil ; Mon corps sera cloué dans un étroit cercueil, Et l'on paîra la terre et le prêtre et les cierges. Et pourtant j'ai rêvé ce destin glorieux De tomber au soleil ainsi que les aïeux, Jeune encore et pleuré des héros et des vierges. JASON ET MÉDÉE A GM, peintre. Dans un calme enchanté, sous l'ample frondaison...
Page 23 - LE VASE L'IVOIRE est ciselé d'une main fine et telle Que l'on voit les forêts de Colchide et Jason Et Médée aux grands yeux magiques. La Toison Repose, étincelante, au sommet d'une stèle. Auprès d'eux est couché le Nil, source immortelle Des fleuves, et, plus loin, ivres du doux poison, Les Bacchantes, d'un pampre à l'ample frondaison, Enguirlandent le joug des taureaux qu'on dételle.
Page 9 - Et là-bas, sous le pont, adossé contre une arche, Hannibal écoutait, pensif et triomphant, Le piétinement sourd des légions en marche.
Page 7 - Il a semblé aux adeptes de cette école que la vertu essentielle de la poésie était la suggestion, entendez par là le pouvoir d'évoquer des images, ou des états particuliers de l'âme, avec des rencontres de syllabes, si étroitement liées à ces images et à ces états de l'âme qu'elles en fussent comme la figure perceptible.
Page 9 - Tournant sa tête pâle entre ses cheveux bruns Vers celui qu'enivraient d'invincibles parfums, Elle tendit sa bouche et ses prunelles claires ; Et sur elle courbé, l'ardent Imperator Vit dans ses larges yeux étoilés de points d'or Toute une mer immense où fuyaient des galères.
Page 17 - Rougi du sang d'un Dieu, sombrait l'antique Aïeul De Celui qui régnait sur ces tentes sans nombre. En face, la sierra se dressait haute et sombre. Mais quand l'astre royal dans les flots se noya, D'un seul coup, la montagne entière flamboya 670 De la base au sommet, et les ombres des Andes, Gagnant Caxamarca, s'allongèrent plus grandes.
Page 14 - L'horizon tout entier s'enveloppe dans l'ombre, Et le soleil mourant sur un ciel riche et sombre, Ferme les branches d'or de son rouge éventail.