bis. De plufieurs médecins modernes. 215 Les anciens médecins étoient touts em- piriques.
Trois principes des médecins empiri-
C'eft une contradiction infoutenable dans | De quelques papes qui ont été méde- le fystéme de Defcartes de placer la matiere fubtile au centre du tourbil- don. 466. fuiv. Les philofophes payens s'accordoient af- fez fur l'éternité de la matiére. 272 La matiére fubtile fe trouve dans Aristo- 503 Mechanifme, contradiction du mécha- nifme de Defcartes, & fyftéme d'un méchanisme uniforme dans la nature. 464. &fuiv.
traité Le méchanifme d'Anaxagore d'impieté par Platon. 504 Les mouvements de la terre fur fon axe, & autour du foleil, & l'o- bliquité de l'écliptique expliqués par le méchanifme général de la natu- 513 Le méchanisme général de la nature ne fe trouve que dans le fyftéme de Copernic.
La régle de Képler a fon principe dans le méchanifme général de la nature.
Difpute des médecins empiriques & dog- matiques, bis, & fuiv.
La médecine eft un art conjectural.
Confiance inconfiderée pour touts ceux qui fe difent médecins. Raillerie de Quintus fur la médecine.
Les maladies font peu connuës des mé- decins. Médecine réglée sur l'aftrologie. 565 Les anciens médecins attribuoient beau- coup de vertu aux nombres. 566 Exemples de contrariétés dans la méde- 561.573 Les médecins dévenus plus entrepre- nants par la nouvelle phyfique. 582 Les médecins en dernier lieu ont don bis. né dans la géométrie. Sentiments renouvellés par les méde cins, donnés pour des découvertes 594.596
Mémoire, origine de la mémoire loca-
Mer, paffages de la mer par Alexan- dre & par Scipion pendant le re- flux. Mercure, Jacques de Carpi eft le pré- mier qui ait traité les maladies vé- nériennes par le mercure. 564 Contradictions des chimiftes fur les qua- lités du mercure. 599 Métaphysique, quel eft l'objet de la méta- phyfique.
La métaphyfique eft de toutes les par- ties de la philofophie la plus inté reffante.
Métaux. fi la tranfmutation des mé taux étoit poffible, il n'y auroit 'nul profit. 603 Exemples de la tranfmutation des mé- bis,& fuiv. Merempfychofe, la métemply chofe n'a été enfeignée par Pythagore, que par allegorie, & comme un fym- bole.
La médecine reffufcitée par les Arabes. L'opinion de la métempfychofe très géné
L'opinion de la métempsychose tirée des
Egyptiens. Explication de la métempfycofe par un Brame Indien. Météores, préfages tirés des Météores. 397.fuiv.
Les Météores que les anciens confidé- roient comme des préfages, font les lumiéres boréales qu'on obferve affez fréquemment de nos jours. 398 Méthode fuivie'dans l'ouvrage. 5. fuiv. Les modernes l'emportent fur les an- ciens pour l'ordre & pour la métho- de. 15 Microfcope, Malézieu apperçoit avec le microscope des animaux vingt-fept millions de fois plus petits qu'une mitte. Exaggeration plaifante des effets d'un . microscope. Miracles, fources des prétendus miracles . du Paganifme. 253 Exemples de récits miraculeux. 254 Prétendus miracles de Vefpafien & d'A- drien. 255. fuiv. Prétendus miracles opéres par la chafteté des Vestales. 257 Prétendus miracles d'Apollonius de Thyane. 261.& suiv. Faux miracles oppofés aux véritables. 263 Les démons ont contrefait les vrais mi- racles.
Prétendus miracles de Mahomet. 267. & fuir. Réponse à l'objection que Jéfus-Chrifto peroit fes miracles par la magie Egy-
mondes; Agrippa en diftingue fix.
Opinions diverfes fur l'éternité du mon- de. bis. & fuiv. Les larmes d'Héraclite étoient caufées par la douleur de prévoir l'embrafe- ment du monde. bis.
Les Epicuriens croïoient que les mon- des mouroient & renaiffoient. 272.
Morale impie des Cyrénaiques. Morale des Cyniques. . De la morale Stoïque. Union & morale des Pythagoriciens. 169.fuiv.
Mort, les Lacédemoniens ont élevé des autels à la mort. 218 Mort fubite de l'Envoïé des Latins 259
Mort volontaire d'un éléphant. 318 Les oyes fe donnent quelquefois la mort.
Plufieurs bêtes connoiffent le temps de leur mort. Mortifications pratiquées dans les fauffes religions.
Conte des mortifications de Mévélévi, & de fon ami Haraze. bis. Mouches, les mouches adorées. 219 Les mouches n'entroient point dans le temple d'Hercule à Rome. Les mouches n'entroient point dans le fade des jeux olympiques. 260
.Du dieu Chaffe-mouches. Les facrifices des Cyréniens faifoient mourir les mouches. bis. Mouvement, différents fentiments fur le 460.& fuiv. Quelques philofophes ont nié le mouve- bis, & fuir. D'autres philofophes ont foutenu que tout eft en mouvement dans la na- ture. 461 462 bis.
Définitions du mouvement. Divifions du mouvement. Ariftote dit que l'air eft la cause de la con- tinuation du mouvement; les phyfi- ciens modernes foutiennent que l'air le fait ceffer. bis. Des loix générales du mouvement. bis. & fuiv.
Opinion Cartéfienne d'une quantité de mouvements toujours égale. 463 Différents principes fur le mouvement & le repos. bis.
Touts les mouvements réduits à l'impul- fion. bis.
Le mouvement d'attraction rétabli en dernier lieu par Newton & par quel- ques philofophes. 464 Le mouvement d'une planéte entraîne à la fuite les moindres globes qui fe rencontrent dans la sphere de fon ac- tivité.
Mufique, guérifon de la picqueure de la Tarentule par la mufique, 578
Aiffance de plufieurs hommes illu-De l'échelle numérique fuivant Agrip- ftres attribuée aux démons. 253
366 Propriétés finguliéres du nombre de neuf.
368 Nouvelles apprifes avec une diligence fur. naturelle. 268.& fuiv. Moïen de porter une nouvelle en trés peu de temps.
Belifque, le grand obelifque du Va- tican enlevé au moïen de quel- ques goutes d'eau. 490
Odes, difpute littéraire au fujet des odes en profe. OEuf de ferpent porté par un cheva-
Attention de Galien de ne point trou- bler les opérations de la nature. 584
lier Romain, pour enchanter fes ju- Orateur, timidité de quelques Ora teurs; Cicéron ne put jamais la fur-
ges. Oeuf échauffé par Livie dans fon fein pour connoître fi elle accoucheroit Portrait de l'Orateur par Cicéron d'un garçon. Oifeaux, les compagnons de Diomé- de changés en oifeaux, careffoient les Grecs & effraïoient les Barba-
De l'intelligence du langage des oi- feaux.
Des oifeaux que les augures obfervoient. avec le plus de foin. Qifon, raifons que l'oifon peut allé- guer pour fe dire le favori de la na-
Ombre, les pyramides d'Egypte ne ren- doient aucune ombre. Ceux qui entroient dans le temple de Jupiter en Arcadie ne rendoient plus d'ombre. bis. Sur le Lycée montagne d'Arcadie les corps ne faifoient point d'ombre bis.
Diftinction de l'ombre & de la Pénom- bre. Opinion; penfées des anciens fur le ré- gne de l'opinion. 3.&fuiv. Or, l'or de Thoulouze portoit malheur,
De l'or fulminant. Analogie du vif-argent avec l'or. 602 Différence de l'or potable commun & du philofophique. 605 Vertu de la femence aurifique. bis. Le fécret de teindre le mercure ne donneroit que de l'or apparent 603
Oracles, des oracles les plus rénommés. *365.& suiv.
Caton refufe de confulter l'oracle de Ju- piter Hammon. Comment l'oracle de Delphes fut dé
Des Bætiles oracles portatifs. 369 Plufieurs réponses des anciens oracles. bis. & fuiv.
Equivoque des oracles. Obscurité des oracles. Les oracles ont été décrédités par la philofophie.
Oracles refforts de politique. bis. Mépris des oracles dans les auteurs pro- phanes. De la ceffation des oracles, bis,& fuiv. Tom. L
Patrie, les Philénés font enterrés vifs pour le fervice de leur patrie. 227 Pensées, de la rencontre des penfées.
Rufe de la perdrix qui couve. 319 Périodes, des périodes Idéales. Perroquet, Pfaphon se déïfie par fon per- roquet. 227 Hiftoires finguliéres de perroquets par- lants. 321, 322 Pefanteur, nouveau fyftéme fur la pe- fanteur. *493
La pefanteur de l'air ne peut être la caufe de la chute des corps, bis, & fuiv.
par les difciples de Socrate, 1216 fuiv.
De la philofophie Platonicienne: bir &fuiv.
La philofophie Platonicienne en vo gue parmi les prémiers Chrétiensa
Différence de la philofophie d'Arcéfi las, & de celle de Pyrrhon. Aucun philofophe n'a pu être Pyrrho nien de bonne foi.
La pefanteur attribuée par Gaffendi aux corpufcules magnétiques. 498 Pefte, feux allumés & vin répandu pour Le nom de philofophe inventé par Py- la pefte. 562 thagore. 163 Peur, Dénys Lambin meurt de peur. La philofophie d'Epicure n'a été dé criée que par l'envie des autres fec.
Philofophie, avantages procurés aux hom- mes par la philofophie.
102 La philofophie fource de contradictions. bis. La philofophie décriée comme impie dans les fauffes réligions, n'eft pas inutile dans la véritable. 103 L'hiftoire des fectes des philofophes eft une partie, confiderable de celle de l'efprit humain. 103. &/uiv. Philofophie d'Adam & des patriarches. 104. fuiv. Prétentions des Egyptiens d'être les inventeurs de la philofophie. 105 Voïages des anciens philofophes en Egy- pte & dans les Indes.
Ancienne philofophie des Chaldéens. bis,
De la philofophie d'Epicure, 175. & fuiv.
La fecte Eclectique a été celle des plus grands philofophes. 179 Perfécutions de la philofophie. 180 Des philofophes qui ont renouvellé
les fciences en Occident. 181. &/uiv. La philofophie moderne a plus de mé. thode & de clarté. 185 Opinions infenfées des philofophes fur la divinité. 223.& fuiv. Tolérance des Athéniens fur les poëtes, & lévérité fur les philofophes. 22 4 En quoi la philofophie de Descartes différe de celle de Démocrite. 505 Philtres, des philtres & de l'hipoma
bis, Le fole de Chaméléon, reméde des 107 philtres.
109 Physiognomie, de la phyfiognomie. 654 bis. Incertitude des prognoftics par la phys fiognomie. 655
Les Grecs fe prétendoient les auteurs de la philofophie..
Phyfique, la phyfique n'eft la plus fou vent qu'un effai de conjectures. 447 Deux branches principales de la phi-La phyfique eft fans axiomes. bis. lofophie, l'Ionienne & l'Italique. Socrate fe mocquoit de toute la phy- fique.
De la philofophie de l'échole Ionienne. bis.& fuiv.
Cinq fectes de philofophes formées
La phyfique moderne beaucoup plus ef- timable que l'ancienne. La phyfique ancienne donnoit pour
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