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22. Les dé

paralytique. Augufte []aïant voulu éclaircir le fait, apprit d'un vieil officier qui avoit fait le coup,que non feulement il s'étoit bien porté depuis,mais que cette action l'avoit mis à fon aife pour le refte de fes jours. Lorfque Corbulon fit brûler la ville d'Artaxata [x], elle fut couverte tout d'un coup d'un nuage épais, d'où partoit un grand nombre d'éclairs au lieu que le Soleil luifoit, & que le temps étoit fort ferein jufqu'à l'enceinte des murailles.

Les compagnons de Dioméde aïant été changés en des oifeaux femblables a des poules d'eau, on voïoit ces oifeaux [y Jeffraier les barbares de leurs cris, &

careffer les Grecs.

Les dieux de Lavinium [z]aïant été transportés à Albe, ils retournérent d'eux-mêmes dans leur ancien temple, où ils furent retrouvés au grand étonnement des deux peuples. Le Jupiter Terminalis [a]ne put être remué de fa place lors de la conftruction du capitole. Les forts de Prénefte ne fe trouvérent point dans le coffre [b]où Tibére les avoit fait enfermer pour les tranfporter à Rome,& ils fe trouvérent dans ce même coffre rapporté à Prénefte. Les fortunes d'Antium[c]fe remuoient d'elles-mêmes pour répondre à ceux qui les confultoient.

Il paroît que ces hiftoires ne doivent mons, fui- pas être entiérement rejettées, & qu'elant la do- les ne font pas deftituées de toute vrai Chrétiens. femblance, puifque fuivant la doctrine

Etrine des

abitoient

ans les fta

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[ul Bayle, penf.fur la comét.
[x] Tac.annal, lib. 13.

[y] Advenas barbaros clangore infeftant, Græcis tantùm adulantur miro difcrimine, velut generi Diomedis hoc tribuentes. Plin. lib. 10. c.44. Solin.c.2.

[z] Denys d'Halic. liv.. [a] Mémoires de l'Acad.des bell. Lett.1.4 p.411 [b] Suet. in Tib. c.63.

[c] Macrob, Saturnal. lib. 1. c.23. [d] Ifti impuri fpiritus, fub ftatuis, & imaginibus confecratis delitefcunt. Minut. Felic, Octau.

des prémiers Chrétiens [d], les dé mons habitoient fouvent dans les statuës des fauffes divinités, & dans les autres objets de ce culte idolâtre.

Miracles

Apollonius [e] rencontra le convoi 23. d'une jeune fille: elle étoit de famille d'Apolloni confulaire: on la portoit au bucher fur us de Thya un lit, le vifage découvert fuivant la ne.. coutume. Cette fille avoit été à la veille de fe marier. Son fiancé fuivoit en fe lamentant. Arrêtez, dit Apollonius, je ferai ceffer vos larmes. Il demanda le nom de la fille, & dit tout bas quelques paroles: Enfuite il toucha cette fille. Alors elle s'éveilla & retourna à la maifon de fon pére. Les parents offrirent à Apollonius une groffe fomme d'argent; mais il dit qu'il la donnoit en dot à la fille. Ceux mêmes qui étoient préfents n'ofoient affurer qu'elle fut morte; il fortoit encore quelque vapeur de fon vifage, & il tomba de la rofée qui put bien la faire revenir de fa pâmoison. C'eft ainfi que les propres admirateurs d'Apollonius contoient ce prétendu miracle.

S. Juftin dit [f] qu'Apollonius connoiffant les forces de la nature, & l'union ou la contrariété des chofes natu↓ relles, a fait des prodiges furprenants par le moien de cette fcience, & non par aucune vertu divine: que c'est pourquoi il avoit befoin d'emploïer quelque matiére convenable pour opé rer fes preftiges.

Kk 3

Hi ergo fpiritus fub ftatuis, & imaginibus confecratis delitefcunt. Hi afflatu fuo vatum pectorainspirant, extorum fibras animant, avium volatus gubernant, fortes regunt, oracula efficiunt, falfa veris femper involvunt. S. Cyprian. de idolor. vanit.

In fimulachris præfto funt, atque habi tant dii fui- Arnob. lib.6.

[e] Philoftr.in Apollonio, lib.4.c.16. Flest ri, hift. ecclef.t.1.p.215.

[f] S.Juftin, queft. 24

Philoftrate a raconté plufieurs autres miracles d'Apollonius; "comme d'avoir rendu à un borgne [g] l'œil qu'il avoit perdu; & à un paralytique l'ufage de fa main; d'avoir montré aux Ephéfiens [b]un démon, qui caufoit la pefte dans leur ville fous la figure d'un gueux qu'il fit poursuivre à coups de pierre; d'avoir été falué [ i ] par un arbre; d'avoir difparu de l'endroit [k] où il étoit accufé, & où fon procès s'inftruifoit.

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Apollonius [7] vint à Rome pendant que Néron faifoit la guerre à la philofophie. Cet empereur avoit fait mettre Mufonius aux fers. La plupart des difciples d'Apollonius l'abandonnérent:pour fui, il ne changea point de deffein pour montrer, difoit-il, qu'un vrai philofophe ne craint rien. Tigellin l'accufa d'avoir manqué de refpect à l'empereur; mais quand il voulut lire le libelle d'accufation, le papier fe trouva tout blanc. Tigellin entretint en fecret Apollonius, qui nia qu'il fut devin, & il parla du tefte avec tant de fermeté qu'il fut renvoïé libre.

Lactance témoigne [m] l'opinion qui étoit répanduë de fon temps, que Domitien aïant fait amener Apollonius en fa présence pour le faire punir, ce magicien difparut tout d'un coup.

1

Apollonius vit un jour un oifeau[n], qui voloit vers une troupe d'autres oifeaux perchés dans un bois, & qui crioit comme s'il leur eût apporté quelque nouvelle. Alors ils commencérent touts enfemble à crier, & s'envolérent avec lui. Apollonius s'arrêta & dit

Un

garçon qui portoit du blé a fait un faux pas, & en a répandu une partie

[g] Philoftrar. in Apollon, lib.3.c.12.
[b] Id. lib.4.c 3a
[i] Id. lib.6.c.5.
[k] Id. lib.8.c.5.

[1] Idem, lib.4.c.14. 15.
Fleuri, hift.ecclef.t.x.
[m] Lactant, inftit. lib. 5.

dans une telle rue. Cet oifeau s'y est trouvé, & eft venu avertir les autres de cette bonne fortune. On crutainfi, qu'il entendoit le langage des oiseaux; mais il eft aifé de juger qu'il avoit remarqué en paffant ce blé répandu, & qu'il avoit inventé tout le refte. Le Cardinal Bennon & Dupleffis Mornai ont renouvellé cette hiftoire pour l'attribuer au Pape Grégoire VII.

Dion [] rapporte qu'Apollonius étant à Ephéfe & parlant au peuple il s'écria tout d'un coup: Frappe le tyran, frappe: & dit enfuite que Domitien venoit d'être affaffiné à Rome, ce qui fe trouva véritable. Apollonius. aïant les fers aux piés [p], tira fes jambes des chaînes en présence de Damis & les y remit enfuite.

S. Juftin[9] paroît perfuadé de la magic d'Apollonius, lorfqu'il dit que les ouvrages de cet impofteur ont résisté à la violence de la mer, à la force des vents, & aux affauts des rats & des bêtes fauvages.

Jean François Pic comte de la Mi randole rapporte auffi les miracles d'Apollonius à la magie; Eufébe prend un meilleur parti de les nier totalement. Philoftrate les a écrits pour faire fa cour à l'impératrice Julie, femme de Septime Sévére, comme on écrit les romans pour l'amufement des princes & des princeffes. Il fe fervit des mémoires de Damis, compagnon d'Apol lonius, & ce Damis mentoit avec tant d'effronterie qu'il difoit qu'il avoit vit les chaînes avec lesquelles Prométhée fut lié fur le mont Caucase, & qu'elles y étoient encore crampon

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24. Faux miracles

ritables.

Paul Emyle facrifiant dans la ville d'Amphipolis, le bois & la victime furént embrafés par un feu célefte.

Paufanias[y] parle d'un temple de Lydie près de la ville d'Hiérocéfarée, dans lequel le feu des facrifices s'allumoit de lui-même,après que le prêtre avoit proféré certaines paroles. Paufanias affure qu'il en a été témoin. Tacite [z Jattefte un pareil prodige de l'ifle de Paphos.

nées dans les pierres quand il y passa. Philoftrate eut un autre deffein en écrivant la vie d'Apollonius de Thyane, fés aux ve- & ce deffein étoit d'oppofer cette vie fabuleuse[y]à la vie miraculeufe de Jefus-Chrift. On voit dans S. Jerôme, que Porphyre[s]objectoit aux Chrétiens les miracles d'Apollonius, & d'Apulée. Eunapius fous l'empire de Théodofe forgea plufieurs miracles à fa phantaifie, qu'il attribua à Plotin, à Sofipatre, à Maxime, à Porphyre, à Jamblique & autres Platoniciens, pour les comparer à ceux que les Païens voïoient opérer très-frequemment par les Martyrs & par les autres Chrétiens de la primitive églife. Vopifcus entreprit la même chofe à l'imitation d'Eunapius,& un femblable ouvrage d'Hiérociés eft fort connu par les réfutations que Lactance & Eufebe en ont faites.

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[r] Apollonium fuum nobis & Apulefum aliofque magicæ artis homines in medium proferunt, quorum majora contendunt extitiffe miracula. S. Aug. epift. 136. edit. Benedict.

Quis rifu non dignum putet, quòd Apollonium, Apuleïum, cæterofque magicarum artium peritiffimos conferre Chrifto conantur. S. Aug. epift. 138.

[s] Non eft grande facere figna; nam fecere figna in Ægypto magi contra Mofem; fecit Apollonius, fecit & Apuleïus. Porphyr. ap. S. Hieronym. in pfalm.81.

[] Diabolum, cujus funt partes intervertendæ veritatis, ipfas quoque res facramentorum in idolorum myfteriisimitari. Tertull. de prafcript. c.40.

Les prêtres de Vulcain à Agrigente enSicile ne mettoient fur l'autel,fuivant le récit de Solin[a], que du bois verd & humide & faifoient leurs prières. Si le facrifice étoit agréable à la divinitè, le feu s'allumoit de lui-même.

Horace [b]dans la fatire où il décrit le voïage de Brindes, raille les prêtres d'Egnatia, qui vouloient perfuader que dans leur temple l'encens brûloit fur l'autel, fans qu'on y mit le feu.

On lit dans Créfias [c] que Cræfus renfermé dans un temple par ordre de Cyrus, fut mis en liberté par une puiffance inconnue, quoique les portes du temple restaffent fermées.

Dans l'hiftoire rapportée par Héro dote [d], d'une multitude prodi gieufe de rats qui rongérent les cordeş des arcs: & les courroies des bou

Præfunt Deus Dominus, & diabolus æmulus. Tertull de animâ, c.20.

[u] Serv. comment. in Æneid. lib.12.
[x] Plutarch. in Paul. Æmyl.
[y] Panfan.lib.5. Eliac.2

[z] Igne puro altaria adolentur, nec ullis imbribus, quamquam in aperto madefcunt. Tac, hift. lib. 2. c.3. [a] Solin. c.5.

[b]...dehinc Gnatia Nymphis Iratis extructa dedit rifufque,jocofque, Dum flammâ fine, thura liquefcere li mine facro,

Perfuadere cupit. Hor. lib.1. fat. 5. [c]Ctefias in Perfic.ap. Phot,biblioth.cod.72. [d] Hérodot. Euterp...

cliers, dans le camp de Sennachérib; en forte que les Affyriens s'enfuirent en defordre, & levérent le fiége de Pélufe: on découvre aifément que c'eft une altération du miracle rapporté e ] dans la fainte écriture, où il eft dit qu'en une nuit l'ange exterminateur tua par le fer & le feu cent quatrevingt-cinq mille hommes dans le camp du même Sennachérib, qui affiégeoit Jérufalem. Hérodote ajoute, que pour monument de cette délivrance miraculeufe, on voïoit dans le temple de Vulcain unc ftatue de Séthon, roi d'Egypte, & prêtre de Vulcain, & que ce roi étoit repréfentè tenant un rat à la main,avec cette infcription: Qui que tu fois; qui me regarde, apprens à craindre les dieux.

Suivant le même auteur, les Scythes [f] ayant pillé le temple de Vénus à Afcalon, furent punis par les mêmes maux, que l'arche [g] porta chez les Philiftins,

citée

Alexandre [b] profita du reflux de la mer de Pamphylie, pour faire paffer fon armée. Il n'y eut rien dans cette action que de fort naturel, ainfi qu'il le reconnut lui-même dans une lettre par Plutarque [i]; cependant les poëtes, & même les hiftoriens [k] ont parlé de ce paffage,comme d'une faveur particulière de Jupiter. Callifthéne [1] dit même, que la mer aiant élevé fes flots, les profterna devant ce héros pour l'adorer. Le prémier des Scipions, qui porta le furnom d'Africain, profitant auffidu temps du reflux[], pendant

[e] Reg.lib.IV.c.17. If] Hérodot. liv.. [g] Reg. lib.I c.5. [b]Strab.lib.14.

[i] Plutarch, in Alex.

[k] Jofeph,antiquités,liv.2 chap, dernier. Arrian. lib.1. Appian de bell- civil.lib 2.

[1] Callifthen. ap. Euftath. in 4.9. [m] Plutarch, in Scipion

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26.

tées parles

L'antiquité crédule a publié qu'Ef Plufeurs culape & Ariftée reffufcitérent [q], & réfurreti furent vûs de plufieurs perfonnes après ons raconleur mort; Hérodote rapporte [r], qu'en Payens. conféquence des apparitions d'Aristée, Apollon ordonna aux Métapontins de le mettre au nombre des dieux.

Platon [ ] & S. Clément d'Aléxandrie [t] ont écrit qu'Er, fils de Zoroastre, paffoit pour être ressuscité douze jours après que fon corps avoit été porté au bucher. On a attribué à Efculape plufieurs miracles, entr'autres d'avoir rendu la vie à Hippolyte, fils de Théfée; à Capanée tué à l'affaut de Thébes; à Glaucus fils de Minos; & à Adméte, roi de Phére en Theffalie. Elien [] attefte qu'Efculape rejoignit la tête d'une femme à fon ca. davre, & qu'il lui rendit la vie & la fanté.

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Pline[] a rapporté la réfurrection de Gabienus. S. Clément & Hégéfippe font mention de plufieurs réfurrections opérées par Simon le magicien.Quelques auteurs ont écrit qu'une fille, nommée Philinion, revint plufieurs fois après fa mort trouver fon amant [y], jufqu'à ce qu'elle fut furprise avec lui;qu'un foldat Syrien de l'armée d'Antiochus, après avoir été tué aux Thermopyles[z],parut en plein jour dans le champ des Romains, où il parla à plufieurs perfonnes; que Thefpefius [a] ́tombé d'un toit, reffufcita le troifiéme jour après qu'il fut mort de fa chûte.

Plutarque fait un autre conte fort extraordinaire [b], qu'Enarque étant mort, reffuscita peu après; qu'il affura depuis, qu'il étoit véritablement mort; que les démons qui emmenoient fon ame, reçurent une réprimande fort féche de leur commandant, qui leur dit qu'ils s'étoient mal acquittés de leur commiffion, & qu'ils allaffent chercher Nicandas, lequel effectivement fut faifi de la fièvre, & mourut dans Ja journée; qu'Enarque, pour confirmer ce qu'il difoit, prédit à Plutarque qu'une maladie, dont Plutarque étoit Tom. I.

[x]Objiciuntur multe Gentilium narrationes, non poëtarum modò de fufcitatis ope Efculapii Tyndareo,Glauco, Admeto, & fimilibus,fed & graviorum fcriptorum. De Ere Armeno Plat.lib. 10. de rep. De Gabrieno & aliis, Plin.lib.7.c.52. De Zaclâ Ægyptio Apuleius in Milefiá(feu de afino aureo) lib.2.De fufcitatis ab Apollonio, Philoftratus de vitâ Apollonii,lib 6 De fufcitatis à Simo ne mago Clemens in itinerario, & Hegefippus lib.3.de excidio Hierofol.c.2. De Enarcho Plutarc.li.de anima. Huet qu. Alnet.li.2.c.12.19. Vide&Delrium difquifit. magicar. lib.z. guast. 29. §. 2.

[y]Phlegon,de mirab.c.1.Leloyer des Spectres. [z] Phlegon. mirabil. c. 3.

[a] Plutarch de ferû numinis vindictâ. [b] Plutarch: de animá, ap. Eujeb pra

attaqué affez dangereufement, feroit bientôt guérie, ce qui arriva.

Si l'on en croit Apulée [c], Afelépiade rencontrant un convoi, ressuscita le corps que l'on portoit au bucher. Heraclide [d] rapporte qu'Em. pédocle reffufcita une femme.

Le pére Delrio [e] obferve que ces prétendues réfurrections font des illu fions des démons; qui fubftituënt des corps aëriens à la place des défunts, ou qui fe fervent des cadavres mêmes, qu'ils font paroître animés pendant quelque temps. Ces ennemis du genre humain, fuivant Lactance [f], s'infinuent dans les corps vivants pour troubler les efprits, caufer des maladies, exciter des fonges. De là viennent les poffeffions, dont les faints évangiles contiennent plufieurs exemples. Il y a fouvent beaucoup d'impoftures dans ces prétendues poffeffions.

Celle de Marthe Broffier, fille d'un 27. tifferand de Romorantin, fit grand Impostures de plufieurs bruit [g]. Charles Miron, évêque feintes pofd'Orléans, découvrit la fraude, en lui feflions. faifant boire de l'eau benite comme de l'eau commune; en lui faifant préfenter une clef enveloppée d'un taffetas

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parat. evang. lib. 11. c. 18. & ap. Huet. quaft. Alnet. lib. 1. c. 19.

[c] Apul. Florid. lib. 2.

[d] Heraclid. ap. Diog. Laërtin Emped. [e]Delrins,difquifit.mag.lib.2.quaft.29.§.2. [f] Qui quoniam funt fpiritus tenues & incomprehenfibles,infinuant fe corporibus hominum, & occultè in vifceribus operti valetudinem viciant, morbos citant, fomniis animos terrent,mentes furoribus qua. tiunt, ut homines his malis cogant adeorum auxilia decurrere. Quarum omnium fallaciarum ratio expertibus varietatis obfcura eft.Prodeffe enim eos putant,cùm no. cere definunt, qui nihil aliud poffunt, quàm nocere.La&ant,inftit.lib.2.c.14.

[g]Jean de Serres fur l'année 1599. Thuan. hift.lib 123. Mézer.fur Henri IV.

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