Histoire ancienne, Volume 2Didot Freres, 1846 - History, Ancient |
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... ment de trois doigts ; il la présenta au roi avec une dextérité et une grâce qui charmèrent Astyage et Mandane . Quand cela fut fait , il se jeta au cou de son grand - père , et , en le baisant , il s'écria plein de joie O Sacas ...
... ment de trois doigts ; il la présenta au roi avec une dextérité et une grâce qui charmèrent Astyage et Mandane . Quand cela fut fait , il se jeta au cou de son grand - père , et , en le baisant , il s'écria plein de joie O Sacas ...
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... ment ( car les Perses n'avaient point encore de cavalerie ) , mais tous hommes d'élite , et qui avaient été élevés d'une manière particulière . D'abord Cyrus avait choisi parmi la noblesse deux cents officiers des plus braves , qui ...
... ment ( car les Perses n'avaient point encore de cavalerie ) , mais tous hommes d'élite , et qui avaient été élevés d'une manière particulière . D'abord Cyrus avait choisi parmi la noblesse deux cents officiers des plus braves , qui ...
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... ment vêtu devant les Indiens , afin de faire honneur à la nation . Cyrus ne perdit point de temps : il partit sur - le - champ avec ses troupes pour aller trouver le roi , sans avoir d'autre habit que le sien , fort simple , à la ...
... ment vêtu devant les Indiens , afin de faire honneur à la nation . Cyrus ne perdit point de temps : il partit sur - le - champ avec ses troupes pour aller trouver le roi , sans avoir d'autre habit que le sien , fort simple , à la ...
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... ment en rapportant le caractère et les exploits de Cyrus . L'am- bassadeur partit dès le lendemain , accompagné des plus consi- dérables du pays , qui avaient ordre de conduire cette affaire le plus adroitement qu'il leur serait ...
... ment en rapportant le caractère et les exploits de Cyrus . L'am- bassadeur partit dès le lendemain , accompagné des plus consi- dérables du pays , qui avaient ordre de conduire cette affaire le plus adroitement qu'il leur serait ...
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... ment de quelle façon se terminerait cette entrevue . A l'instant , Cyaxare et Cyrus remontèrent à cheval : et alors tous les Mèdes se rangèrent à la suite de Cyaxare , comme Cyrus leur en avait fait signe . Les Perses suivirent Cyrus ...
... ment de quelle façon se terminerait cette entrevue . A l'instant , Cyaxare et Cyrus remontèrent à cheval : et alors tous les Mèdes se rangèrent à la suite de Cyaxare , comme Cyrus leur en avait fait signe . Les Perses suivirent Cyrus ...
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Common terms and phrases
alliés Aristagore Aristide armée assez Astyage Athènes Athéniens avaient ayant Babylone Babyloniens bataille c'était Cambyse cavalerie cent chariots chose citoyens combat commandement courage Crésus crut Cyaxare Cyrop Cyrus d'Athènes Darius dessein Dieu dieux Diod donner Égypte Égyptiens enfants ennemis Ésope faisait femme fils firent flotte force frère fût gloire gouvernement Grèce guerre Herod Hérodote Ioniens jour jugement justice l'armée l'empire l'histoire Lacédémone Lacédémoniens laisser lieu lois lui-même Lycurgue mages maître Mardonius Mèdes ment mer Égée mille hommes Miltiade mort n'avait n'était nation nombre officiers parler passer patrie Pausanias pays Péloponnèse père Perses personne peuples Pisistrate Platon Plin Plut Plutarque poëte porter pouvait premier prince raison règne rendre reste rien rois s'était sages sagesse Sardes Scythes secours seigneurs sentiments serait seul soin soldats Solon songea sorte Sparte sujets temple terre Thémistocle tion trône troupes trouva tyran vaisseaux venir victoire Xénophon Xerxès καὶ
Popular passages
Page 76 - Quand le jour de la cérémonie fut arrivé, tout le monde , dès la pointe du jour , se rendit auprès du roi. Quatre mille soldats- des gardes , rangés quatre à quatre, se placèrent devant le palais , et deux mille autres aux deux côtés du même palais. Toute la cavalerie se trouva là , les Perses à droite , les alliés à gauche. Les chariots de guerre se rangèrent moitié de chaque côté. Quand les portes du palais furent ouvertes, on en vit sortir premièrement quantité de taureaux...
Page 372 - Cet aveu, bien loin de paraître une faiblesse dans un roi, fut regardé par tous les Salentins comme l'effort d'une grande âme qui s'élève au-dessus de ses propres fautes, en les avouant avec courage pour les réparer.
Page 239 - C'est à ce sujet qu'Anacharsis , attiré du fond de la Scythie par la réputation des sages de la Grèce, disait un jour à Solon : « J'admire « qu'on ne laisse en partage aux sages que la délibération , et « qu'on réserve la décision aux fous.
Page 241 - Solon. p. 89. préférant ainsi l'amitié à la parenté , le choix à la nécessité et à la contrainte , et rendant chacun véritablement maître de ses biens, par la liberté qu'il lui laissait d'en disposer à son gré. Il n'autorisa pourtant pas indifféremment toutes sortes de donations, et n'approuva que celles qu'on avait faites librement, sans aucune violence , sans avoir l'esprit aliéné et corrompu par des breuvages , par des...
Page 19 - Il est glorieux en effet, répliqua Cyrus, de combattre pour défendre sa liberté : mais si quelqu'un, après avoir été réduit en servitude, tâchait de se dérober à son maître, que lui feriez-vous? Je suis obligé d'avouer, dit le roi, que je le punirais. — Et si vous aviez donné un gouvernement à quelqu'un de vos sujets, et qu'il eût prévariqué, le laisseriez-vous en place? — Non certes et je lui en substituerais un autre. CYRUS. Et s'il avait amassé de grandes richesses par ses...
Page 357 - ... prises , étant pleines d'habits et de meubles magnifiques , et de toutes sortes de richesses sans nombre , non-seulement il ne fut pas tenté d'y toucher, mais il empêcha que les autres n'y touchassent. Dès que le jour de la pleine lune fut passé , les Lacédémoniens se mirent en chemin avec deux mille hommes , et, ayant fait toute la diligence possible , ils arrivèrent dans l'Attique après une marche forcée de trois jours , où ils Isocrat.
Page 168 - croit qu'en cela les Grecs et les Romains ont agi plus sagement que les Perses , en érigeant aux dieux des temples dans leurs villes , et leur y donnant un domicile commun avec eux , ce qui était fort propre à inspirer aux peuples des sentiments de respect et de religion.
Page 10 - C'est que j'ai appréhendé que « cette liqueur ne' fût du poison. — Du poison ! et comment « cela ? — Oui , mon papa ; car il n'ya pas longtemps que, dans « un repas que vous donniez aux grands seigneurs de votre cour, • je m'aperçus qu'après qu'on eut un peu bu de cette liqueur , la « tête tourna à tous les convives. On criait , ou chantait , on
Page 372 - Souvenez-vous qu'un prince est trop heureux quand il naît un seul homme sous son règne avec cette générosité, qui est le plus précieux trésor de l'état; et que la plus grande punition qu'il doit craindre des dieux est de perdre un tel homme, s'il s'en rend indigne faute de savoir s'en servir. Pour les défauts des gens de bien, il faut les savoir connaître, et ne laisser pas de se servir d'eux.
Page 241 - Solon considérait que ceux qui n'ont rien et qui ne travaillent pas pour gagner de quoi vivre , sont préparés à employer toutes sortes de voies injustes pour en avoir ; et que la nécessité de subsister les dispose aux malversations , aux rapines , aux artifices et aux fraudes ; ce qui forme dans le sein de la république une école de vices , et y entretient un levain qui ne manque pas de s'étendre et de corrompre peu-à-peu les mœurs publiques.