Œuvres de Clement Marot ...: Revûes sur plusieurs manuscrits, & sur plus de quarante editions; et augmentées tant de diverses poësies veritables, que de celles qu'on lui a faussement attribuéss, Volume 1 |
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Adieu aimer ainſi amant amour Ariſtippe aſſez auſſi avoit beau beauté belle C'eſt c'étoit cæur ceſte chanter choſe Clement Marot commencé corps Cour cueur Dames devant Diane Dieu dire doit donne doute Edition Elegie endroits Epigramme Epitre eſprit eſt eſtoit eſtre étoit fans femme fera font fort forte François garde gens goût grace haut homme j'ai j'ay Jean jeune jour Juge l'amour l'autre lettre lieu livres Lyon Madame main mainte Marguerite Ménandre mettre mieux monde mort n'en n'eſt ouvrages parler peine pere perſonne petit peut-être piece plaiſir plein poëſie Poëte porte Premier Prince Princeſſe qu'à qu'en qu'un raiſon rien Rondeau s'en s'il ſans Seigneur ſera ſeroit ſes ſeul ſeulement ſoit ſon ſont ſous ſouvent ſuis ſur Temple tendre terre tirée trouve veut veux vient vivant voit voſtre Voyez vrai vray yeux
Popular passages
Page 450 - de cent pas à la ronde, Au demeurant, le meilleur fils du monde...
Page 449 - Vostre cueur noble en sçauroit bien que dire; « Et moy, chetif, qui ne suis Roy ne rien, L'ay esprouvé. Et vous compteray bien. Si vous voulez, comment vint la besongne. J'avois...
Page 454 - Muses, Roy en qui sont leurs sciences infuses, Roy plus que Mars d'honneur environné, Roy le plus roy qui fut onc couronné, Dieu tout puissant te doint pour t'estrener Les quatre coings du monde gouverner, Tant pour le bien de la ronde machine, Que pour autant que sur tous en es digne.
Page 445 - Vous n'entendez Procès non plus que moy; Ne plaidons point; ce n'est que tout esmoy. Je vous en croy si je vous ay mesfaict. Encor posé le cas que l'eusse faict, s» Au pis aller n'escherroit que une Amende.
Page 451 - Ce Monsieur là (Syre) c'estoit moy mesme, Qui, sans mentir, fuz au matin bien blesme, Quand je me vey sans honneste vesture, Et fort fasché de perdre ma monture; Mais de l'argent que vous m'aviez donné...
Page 453 - Vous me devrez, si je puis, de retour* ; Et vous ferai encores un bon tour. A celle fin qu'il n'y ait faute nulle, Je vous ferai une belle cédule* : A vous payer (sans usure*, il s'entend), 100 Quand on verra tout le monde content ; Ou, si voulez, à payer ce sera, Quand votre los et renom cessera.
Page 453 - Ma guarison; mais, à ce que j'entens, Si je ne puis au printemps arriver, Je suis taillé de mourir en yver, Et en danger, si en yver je meurs, De ne veoir pas les premiers raisins meurs.
Page 399 - Leur gaine, c'est ma gencive et ma bouche : Bien coupperont la Corde, qui te touche De si trespres : car j'y mettray bon ordre.
Page 453 - N'est pour vous faire ou requête ou demande : Je ne veux point tant de gens ressembler Qui n'ont souci autre que d'assembler ; Tant qu'ils vivront ils demanderont, eux ; Mais je commence à devenir honteux, Et ne veux plus à vos dons m'arrêter. Je ne dis pas, si voulez rien prêter, Que ne le prenne. Il n'est point de prêteur, . S'il veut prêter, qui ne fasse un debteur. Et savez-vous, Sire, comment je paye...
Page 470 - Le vous mande. Va, friande De ta bouche. Qui se couche En danger Pour manger Confitures ; Si tu dures Trop malade, Couleur fade Tu prendras. Et perdras. L'embonpoint. Dieu te doint Santé bonne, Ma mignonne.