...même dévouement, la même abnégation. Les conquérans de la Hollande (en 1795) traversaient par 17 degrés de froid les fleuves et les bras de mer gelés,...le plus riche de l'Europe. Ils avaient devant les veux toutes les séductions, mais la discipline ne souffrait pas la plus légère atteinte (3). »...

...toutes les branches du service, et encore ils ne suffisaient pas ; on voulait prendre part à'tout ce qui se faisait. Je puis le dire, c'est l'époque...traversaient, par dix-sept degrés de froid, les fleuves et lesbrasde mer gelés, et ils étaient presque nus : cependant ils se trouvaient dans le pays le plus...

...l'époque de ma carrière où j'ai le plus travaillé et où les chefs m'ont paru le plus exigeants. Dans les rangs des soldats, c'était le même dévouement, la même abnégation.. . Jamais les armces n'ont été plus obéissantes ni animées de plus d'ardeur; c'est l'époque des...

...l'époque de ma carrière où j'ai le plus travaillé et où les chefs m'ont paru le plus exigeants. Dans les rangs des soldats, c'était le même dévouement, la même abnégation... Jamais les armées n'ont été plus obéissantes ni animées de plus d'ardeur; c'est l'époque des...

...Soult dans ses Mémoires, où j'ai le plus travaillé et où les chefs m'ont paru le plus exigeants Dans les rangs des soldats, c'était le même dévouement, la même abnégation Jamais les armées n'ont été plus obéissantes ni animées de plus d'ardeur ; c'est (1) Voir supra,...

...c'était le seul moyen de parvenir : la mé« diocrité ne trouvait pointà se faire recom« mander... Dans les rangs des soldats, « c'était le même dévouement, la même « abnégation. . . Jamais les armées (françaises) « n'ont été plus obéissantes ni animées de « plus d'ardeur...

...même dévouement, la même abnégation. Les conquérans de la Hollande (en 1195) traversaient par 17 degrés de froid les fleuves et les bras de mer gelés,...discipline ne souffrait pas la plus légère atteinte (3). » Le soldat Joliclerc apparaît, dans ses lettres si simples, comme une incarnation de ce nouveau...