Histoire naturelle et médicale des nouveaux médicaments introduits dans la thérapeutique depuis 1830 jusqu'à nos joursManceaux, 1865 - 681 pages |
Common terms and phrases
acide action administré affections alcaloïde alcoolique amère anesthésique Angl astringente bain-marie Bouchardat bouillante caféine carbone caustique centigrammes chaux chimique chlorate chloroforme chlorure cinchonine citrate codéine collodion créosote cristallise d'ammoniaque d'eau décoction diarrhée digestion digitaline dissolution dissout distillée docteur dose Eau distillée employé évapore expériences fébrifuge feuilles fièvres intermittentes filtre glycérine goudron gouttes grains gram grammes Guaco guérison huile injections insoluble l'acide l'action l'alcool l'écorce l'emploi l'estomac l'éther l'extrait l'huile l'iodure lactucarium liqueur liquide lupulin maladies manganèse matico matière médecine médicament mélange monésia muqueuse naphte naturelles de Bruxelles obtenu odeur once ORIGINE ET HISTORIQUE pepsine perchlorure phthisie physiologiques pilules pipérine plante pommade potasse potassium potion poudre praticiens préconisé préparation produit PROPRIÉTÉS MÉDICALES PROPRIÉTÉS PHYSIQUES quinine quinquina recommandé résine résultats salicine santonine saveur scrofuleuses sirop soluble dans l'eau solution soude substance sucre suivant sulfate de quinine sulfurique tannate tannin teinture thérapeutique traitement ulcères valérianate vanté vératrine zinc
Popular passages
Page 2 - Cet appareil consiste en une alonge longue et étroite, reposant sur une carafe ordinaire , et terminée à sa partie supérieure par un bouchon de cristal. On introduit d'abord une mèche de coton dans la douille de...
Page 571 - L'hystérie et l'épilepsie ne sont pas non plus des empêchements absolus. Les maladies du cerveau, du cœur et des poumons ne sont des contreindications qu'autant qu'elles sont très-prononcées. La faiblesse qui suit les grandes pertes de sang, la prostration qui accompagne les étranglements herniaires datant de plusieurs jours, la commotion et la stupeur...
Page 292 - L'eau du récipient contient à la fois de l'ammoniaque et de la propylamine. On sature par l'acide chlorhydrique et on évapore à une douce chaleur jusqu'à siccité ; on épuise ensuite la masse cristalline par l'alcool absolu, qui dissout le chlorhydrate de propylamine et laisse le chlorhydrate d'ammoniaque. Pour extraire la propylamine de son chlorhydrate, on traite la solution alcoolique par l'hydrate de chaux ; mais il faut ici les plus grandes précautions pour refroidir et condenser les...
Page 55 - ... aucun doute , attribués aux globules sanguins qui se dissolvent ou se suspendent dans la lymphe. Ainsi , le cuivre et le plomb ne sont pas à l'état de diffusion dans le sang : ils se fixent , avec le fer , dans les globules, et tout porte à croire qu'ils participent comme lui à l'organisation et à la vie. Exercent-ils sur la santé une influence aussi décisive ? Existe-t-il une chlorose par défaut de cuivre , de plomb et de manganèse? ou bien leur excès est-il la cause secrète de quelque...
Page 635 - ... un nid de Processionnaires, que si même on le remue avec un bâton , et qu'on reste exposé , quoique de loin , aux émanations qui s'en échappent , tout le corps se recouvre presque instantanément d'une éruption papuleuse plus ou moins continente.
Page 546 - L'Ethernhlorhydrique chloré s'emploie a la dose de 15 à 30 gouttes versées sur la partie douloureuse, ou sur un linge humide que l'on applique immédiatement sur elle, et que l'on maintient en contact avec un morceau de toile cirée et un tour de bandes. Il calme d'ordinaire très-rapidement la douleur et détermine l'anesthésie en quelques minutes.
Page 571 - Parmi les appareils qui remplissent le mieux les conditions exigées, figurent : 1° ceux qu'a imaginés M. Charrière ; 2° les éponges taillées en cône creux et les simples compresses , sur lesquelles on verse le liquide et que l'on tient à quelque distance de l'entrée des voies respiratoires.
Page 505 - Berzélius a changé en celui de conicine, que nous adoptons) consiste à distiller la plante fraîche, avec de la potasse caustique et de l'eau, aussi long-temps que le produit de la distillation a de l'odeur ; on neutralise ce produit avec de l'acide sulfurique; on évapore la liqueur en consistance sirupeuse, et l'on ajoute de l'alcool anhydre tant que celui-ci en précipite du sulfate d'ammoniaque.
Page 499 - Dans l'épilepsie, il guérit tous les sujets jeunes, les adultes comme les enfants, dont le début de la maladie est encore récent, et dont les attaques ne sont ni précédées ni suivies de désordre intellectuel. Dans l'épilepsie ancienne et compliquée d'aliénation mentale , il ne guérit pas, mais il améliore toujours l'état des malades ; il éloigne les attaques et il en amoindrit la violence. 3°...
Page 329 - ... suite, on ne plonge que peu de coton à la fois dans le bain, et l'on fait en sorte que le poids de l'acide soit toujours très considérable relativement à celui de la matière organique. Après quinze ou vingt minutes de contact avec l'acide, on retire le coton, on le comprime afin de perdre le moins possible de liquide, et on le lave à grande eau, jusqu'à ce qu'il n'ait plus ni odeur, ni saveur, ni action sur le papier bleu de tournesol. L'eau de lavage peut être froide, tiède ou bouillante....