Abrégé des études de l'homme fait, en faveur de l'homme à former, Volume 11789 |
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Common terms and phrases
ames auffi avoit bafe baſe befoin bonheur c'eft C'eſt ainfi cation caufe cauſes cerveau chofes choſes citoyens claffe cœur compofé conclufion conféquence confervation confidérer conftitution connoiffances connoître corps de-là defirs doit effentiel efprit élèves enfans enſemble eſpèce eſt étoit exiſtence fage faifir faine fance fang fans fanté fauffes fciences feconde fecours femmes fenfations fenfible fens fentiment feront fervir feul fibres fiècles fignes fimple fion fociété foit folides font force fous fouvent fublime fuit fuivant fujet goût hommes humain idées impreffions inftituteurs jeuneffe jeuneſſe jufqu'à jufte juſte juſtice l'ame l'amour l'Education l'efprit l'homme loix lorfque lorſque ment mœurs morale mouvemens n'eft n'eſt Nation nature néceffaire néceſſaire nerfs obfervations objets paffer paffions penfe penſer philofophie phyfique phyſique plaifir pour-ainfi-dire préfent prefque premier principes propofition queſtions raiſon refforts refpect ſcience ſes ſon ſur talens tempérament tems tion toyens utiles vaiffeaux vérité vertu
Popular passages
Page 25 - L'impossibilité d'isoler la nomenclature de la science et la science de la nomenclature tient à ce que toute science physique est nécessairement formée de trois choses : la série des faits qui constituent la science; les idées qui les rappellent; les mots qui les expriment. Le mot doit faire naître l'idée; l'idée doit peindre le fait: ce sont trois empreintes d'un même cachet...
Page 231 - L'âme, rayon de Dieu, son souffle, son image. Ces deux êtres, liés par des nœuds si secrets, Séparent rarement leurs plus chers intérêts : Leurs plaisirs sont communs aussi bien que leurs peines. L'âme, guide du corps, doit en tenir les rênes ; Mais, par des maux cruels, quand le corps est troublé, De l'âme quelquefois l'empire est ébranlé.
Page 232 - Mais celui qui l'a fait veut qu'il sojt immortel. Prétendras-tu toujours à l'honneur de produire, Tandis que tu n'as pas le pouvoir de détruire ? Si du...
Page 229 - L'amitié tendre et vive, y fait briller ces feux Qu'en vain veut imiter, dans son zèle perfide, La trahison, que suit l'envie au teint livide. Un mot y fait rougir la timide pudeur: Le mépris y réside ainsi que la candeur; Le modeste respect, l'imprudente colère, La crainte, et la pâleur, sa compagne ordinaire, Qui, dans tous les périls funestes à mes jours, Plus prompte que ma voix appelle du secours.
Page 231 - J'entrevois ma grandeur : ce corps lourd et grossier N'est donc pas tout mon bien , n'est pas moi tout entier. Quand je pense , chargé de cet emploi sublime , Plus noble que mon corps , un autre être m'anime. Je trouve donc qu'en moi , par d'admirables nœuds , Deux êtres opposés sont réunis entre eux : De la chair et du sang , le corps, vil assemblage ; L'âme, rayon de Dieu , son souffle , son image.
Page 21 - De même que dans l'enfant l'idée est un effet de la sensation, que c'est la sensation qui fait naître l'idée, de même aussi pour celui qui commence à se livrer à l'étude des sciences physiques, les idées ne doivent être qu'une conséquence, une suite immédiate d'une expérience ou d'une observation.
Page 232 - Quand même tu n'as pas le pouvoir de détruire ? Si du fel ou du fable un grain ne peut périr , L'être qui penfe en moi , craindra-t-il de mourir...
Page 23 - ... à supprimer, ou au moins à simplifier autant qu'il est possible, le raisonnement, qui est de nous et qui...
Page 229 - L'amitié tendre et vive y fait briller ces feux, Qu'en vain veut imiter dans son zèle perfide La trahison, que suit l'envie au teint livide ; Un mot y fait rougir la timide pudeur ; Le mépris y réside , ainsi que la candeur, Le modeste respect, l'imprudente colère , La crainte et la pâleur , sa compagne ordinaire...
Page 407 - ... suite pourraient le rapprocher des vertus chrétiennes ; mais parce qu'on ne lui a prêché qu'une religion austère, tout tombe avec cette religion".