Mémoires, Volume 20

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Popular passages

Page lxxxiii - Publications de la Société pour la recherche et la conservation des monuments historiques dans le grand-duché de Luxembourg, constituée sous le patronage de SM le roi grandduc , par arrêté , daté de ffalferdange , du 2 sept.
Page 155 - Rapport fait à l'Académie des inscriptions et belles-lettres, au nom de la commission des antiquités de la France; par M. Lenormant. Lu dans la séance publique annuelle du 16 août 1850. Imp. de F. Didot, à Paris. 1850. In-4° de 4 f.
Page 140 - Je ne suis pas, dit-il, tellement épouvanté par l'autorité, je ne redoute pas tellement la furie des esprits inintelligents, que j'hésite à proclamer hautement les choses que la raison démêle clairement et démontre avec certitude 2.
Page 224 - Ce squelette dont la nudité nous effraye aujourd'hui , fut confié à la terre tout habillé, couvert de ses plus beaux vêtements et paré de son plus riche butin; et comme derniers témoins de cette coutume disparue , nous retrouvons autour du mort la lance, la hache, le sabre, le poignard, les flèches, le bouclier, le sceau et la couronne.
Page 364 - Et véritablement , je crois qu'il ya maintenant plus de deux mille « querelles entre les gentilshommes de France pour les honneurs de « l'église ; et il n'ya possible année qu'il n'en soit tué plus...
Page 224 - Parfois des épingles d'argent soutenaient la forêt de cheveux qui couvrait ces têtes chevelues. Au côté droit de la tête, est une lance de fer dont le manche en bois de chêne était tenu dans la main du défunt, mort sous les armes, comme il avait vécu dans ces âges de fer. De l'autre côté du chef ou sur la poitrine , se rencontre à de rares intervalles un bouclier en bois garni de cuir ou de peau , dont le développement était soutenu aux extrémités par des verges de fer , et dont...
Page 108 - ... si forte posset inveniri unum argumentum, quod nullo alio ad se probandum quam se solo indigeret, et solum ad astruendum quia Deus vere est, et quia est summum bonum nullo alio indigens, et quo omnia indigent ut sint et ut bene sint, et quaecumque de divina credimus substantia, sufficeret.
Page 518 - Et li païs ert bas e plains ; Veient la meir e les forez , Les champaignes e les deserz ; Bones seit lieues environ , La terre veient à bandon ; Veient le mont e le mostier , 730 Molt se prenent à mervellier : Toz ert mué de tel cum fu A icel jor que sunt méu. Hosteiz en eirt le bruihairez , Les espines , le buissonneiz ; Li bois esteit trestoz hosteiz Et el planistre roeleiz A val el bas , el pie del mont, Qui loing lor semblout roont. En son le mont lot cleir pareil 7ùO Celé igliese , que...
Page 223 - Cependant ils tiennent à une longue durée matérielle , et s'ils demandent au feu de purifier leurs restes , c'est afin de les conserver plus longtemps. Chez le Franc, au contraire, il en est bien autrement pour les idées, les croyances et les habitudes. Ici tout est rude comme la nature de ce peuple , tout est dur et cru comme chez des barbares. C'est l'état de nature avec quelques traditions romaines, avec les premiers germes du christianisme, cette civilisation de l'avenir. Voyez plutôt :...
Page 223 - ... est généralement solide et appliquée avec entente. Parfois les vases en terre et en verre possèdent des lettres, des caractères, des signes, des initiales, des noms même; mais ces caractères sont tous romains et semblent empruntés aux siècles d'Auguste, de Trajan et d'Antonin. Tous les mots sont pris dans la langue latine de la plus belle époque : les noms d'artistes, la désignation des officines indiquent un art avancé et une civilisation perfectionnée. Généralement les médailles...

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