De pleurer aux veneurs à sa mort arrivés. Vraie image de ceux qui profanent l'asyle Qui les a conservés. ON XVI. Le Serpent et la Lime. N conte qu'un serpent, voisin d'un horloger (C'étoit pour l'horloger un mauvais voisinage), Entra dans sa boutique, et, cherchant à manger, N'y rencontra pour tout potage Qu'une lime d'acier qu'il se mit à ronger. Ceci s'adresse à vous, esprits du dernier ordre, Qui, n'étant bons à rien, cherchez sur tout à morVous vous tourmentez vainement. (dre: Croyez-vous que vos dents impriment leurs outra Sur tant de beaux ouvrages? (ges Ils sont pour vous d'airain, d'acier, de diamant. XVII. Le Lievre et la Perdrix. Il ne se faut jamais moquer des misérables: Nous en donne un exemple ou deux. Le lievre et la perdrix, concitoyens d'un champ, Oblige le premier à chercher un asyle; Enfin il se trahit lui-même Par les esprits sortant de son corps échauffé. Míraut, sur leur odeur ayant philosophé, Conclut que c'est son lievre, et d'une ardeur extrême Il le pousse; et Rustaut, qui n'a jamais menti, le lievre est reparti. Dit que Le pauvre malheureux vient mourir à son gîte. Tu te vantois d'être si vîte! que ses ai. (les Qu'as-tu fait de tes pieds? Au moment qu'elle rit, |