| Alphonse de Lamartine - 1849 - 388 pages
...voulait rêver des vers. Je suis le premier qui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu'on nommait la muse, au lieu d'une...l'homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l'âme et de la nature. Quoi qu'il fen soit, mon père, qui était trop poli pour s'ennuyer... | |
| Joseph Marie Quérard - 1856 - 700 pages
...le premier qui ai fait o descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu'on nom» mait la Muse, au lieu d'une lyre à sept cordes de convention,...mêmes du cœur de l'Homme, touchées et émues par les in» nombrables frissons de l'âme et de la nature ». Voilà donc la harpe de David, dont Ossian s'est... | |
| Alphonse de Lamartine - 1857 - 408 pages
...voulait rêver des vers. Je suis le premier qui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu'on nommait la muse, au lieu d'une...l'homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l'âme et de la nature. Quoi qu'il en soit, mon père, qui était trop poli pour s'ennuyer... | |
| Alfred Nettement - French literature - 1858 - 500 pages
...avoir un dictionnaire mythologique sous son chevet si l'on voulait rêver des vers. Je suis le premier qui ait fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ait donné à ce qu'on nomme la muse, au lieu d'une lyre à sept cordes de convention, les fibres mêmes du cœur de l'homme... | |
| Alphonse de Lamartine - 1860 - 408 pages
...voulait rêver des vers. Je suis le premier qui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu'on nommait la muse , au lieu d'une...l'homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l'âme et de la nature. Quoi qu'il en soit, mon père, qui était trop poli pour s'ennuyer... | |
| Alphonse de Lamartine - French poetry - 1869 - 400 pages
...premier gui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu'on nommait la musc, au lieu d'une lyre à sept cordes de convention, les...l'homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l'âme et de la nature. Quoi qu'il en soit, mon père, qui était trop poli pour s'ennuyer... | |
| Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne - Yonne (France) - 1873 - 622 pages
...suis le premier qui ait fait « descendre la poésie du Parnasse et ait donné à ce qu'on « appelait la muse, au lieu d'une lyre à sept cordes de « convention,...l'homme, « touchées et émues par les innombrables frissons de « l'âme et de la nature. » SUE ASCIA La formule Dedicavit sub Ascid, qui se trouve sur... | |
| Société des Sciences Historiques et Naturelles de l'Yonne, Auxerre - Science - 1873 - 612 pages
...suis le premier qui ait fait « descendre la poésie du Parnasse et ait donné à ce qu'on « appelait la muse, au lieu d'une lyre à sept cordes de « convention,...l'homme, « touchées et émues par les innombrables frissons de « l'âme et de la nature. » SUE ASCIA La formule Dedicavit sub Asciâ, qui se trouve... | |
| Yonne (France) - 1874 - 456 pages
...suis le premier qui ait fait « descendre la poésie du Parnasse et ait donné à ce qu'on « appelait la muse, au lieu d'une lyre à sept cordes de « convention,...l'homme, « touchées et émues par les innombrables frissons de « l'âme et de la nature. » L'ENGRAIS-VIDANGES I Lorsqu'un individu est arrivé à l'état... | |
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