Collection des chroniques nationales français: écrites en langue vulgaire du treizième au seizième siècle, Volume 45Jean Alexandre C. Buchon Verdière [et] J. Carez, 1828 - France |
Contents
| 5 | |
| 13 | |
| 27 | |
| 40 | |
| 43 | |
| 50 | |
| 57 | |
| 63 | |
| 282 | |
| 297 | |
| 306 | |
| 318 | |
| 334 | |
| 347 | |
| 357 | |
| 366 | |
| 133 | |
| 144 | |
| 151 | |
| 162 | |
| 196 | |
| 206 | |
| 216 | |
| 230 | |
| 238 | |
| 247 | |
| 257 | |
| 264 | |
| 275 | |
| 383 | |
| 392 | |
| 399 | |
| 405 | |
| 412 | |
| 421 | |
| 433 | |
| 471 | |
| 477 | |
| 483 | |
| 489 | |
| 496 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
accompaigné adverti Allemans Anthoine artillerie aulcuns aultres avecq avironnée avoient avoit bastard besongner Bourguignons Bruges Brughelins capitaine cents ceste ceulx chasteau chevalier chevaulx chief chière Chimay compaignons comte comté de Flandres Coulongne d'armes d'eulx dangier desputez dict doyens droict duc de Gueldres duc de Zassen emprinse ensemble ensuivant escript estats esté estoient estoit estre eulx faict finablement firent Flamens Franchois fusist fust Gand Ganthois garnison gens de guerre gneur grant guaires hault Haynault hostel hourd illecq Item Jehan josne jour jusques l'archevesque l'aultre l'empereur l'hostel ladite lectres ledit lesdits Lisle maistre marchié Mayence mectre membres de Flandres mesme messire mestiers mieulx Mingoval MOLINET monseigneur l'archiduc monseigneur Philippe Nassou nobles nuict Orchies oultre paix paravant pays personnaiges Philippe de Clèves piétons poinct princes prindrent prins prinse prisonniers Ravestain recoeilli redoubté seigneur requeste respondit roy des Romains s'estoient s'estoit Sainct saulver seigneur des Querdes seroit soubs traict Trèves vindrent
Popular passages
Page 370 - Furent trouvez morts, de compte faict, de vingt et un à vingt-deux cents, entre lesquels furent occis le doyen des painctres de Bruges et le seigneur de Fletènes, ensemble aucuns bourgeois et meutins, qui naguaires de temps paravant, avoient détenu le roy en extrême captivité , en nombre de sept ou huit cents , se rendirent prisonniers , et furent menez en l'oost de l'empereur, tenant son camp à Enreghen, et furent tous ensemble mis à ranchon à la somme de cinquante quatre mille mailles de...
Page 297 - et sur le canon de la messe, de tenir, entretenir et accomplir par effecl » la paix et l'alliance conclues en notre nom et nos bien aimés les estais " et trois membres de Flandre et leurs adhérents, ensemble la concor...
Page 121 - ... fusist comme devant restitué en son honneur. Ces remonstrances faictes, et raisonnables excuses grandement pesées , ame ne l'accusa, ame ne se fit partie contre lui ; et le roi, qui premier l'avoit suspect par l'incitation d'aulcuns haineux couvers se contenta de lui ; le réintégra en ses offices , où il se conduisit fort bien et vertueusement, à l'exaltation de son honneur et au grand reboutement et confusion de ses secrets émulateurs. CHAPITRE CLI. Puissante armée mise sas , par le...
Page 109 - Il est assez à croire que si nous jectons nostre regard sur le sainct trosne imperial, nous trouverons les personnaiges qui nous donneront similitude de la rédemption humaine ; non point que je veuille déifier les princes ; mais pour édifier le simple peuple, qui à dur croit les sainctes escriptures, je ferai comparaison de l'invisible au visible, de l'éternel au temporel , et du facteur à la facture : car les hommes sont plus propres à ce faire , que ne le sont lions ou bestes sauvages....
Page 391 - ... entrée le vingt-quatrième d'octobre. Pareillement se mist au-dessus de Louvain, chief du ducié de Brabant, le seigneur de Chanteraine , chevalier de Rhodes , lors estant au chasteau de Louvain , tint avecq eulx comme garde et protecteur de la ville. De quoi plusieurs gens du parti du roy furent grandement esmerveillez ; car toujours fort vertueusement avoit milité en la compaignie du duc Charles , duquel avoit eu plusieurs charges et acquis loable renommée; et après son trespas, soubs la...
Page 121 - ... et punir ; et d'aultre part . s'il estoit innocent du cas, ils supplioient très humblement au roi qu'il fusist comme devant restitué en son honneur. Ces remonstrances faictes, et raisonnables excuses grandement pesées , ame ne l'accusa, ame ne se fit partie contre lui ; et le roi, qui premier l'avoit suspect par l'incitation d'aulcuns haineux couvers se contenta de lui ; le réintégra en ses...
Page 1 - Maximilian, soient perpétuels ès mémoires des hommes, je metterai par escript , au vrai le plus pur que possible me sera, les estats, cérimonies, entrées, réceptions, joustes, bancquets, festoiements , nouvelletés, singularités, honneurs et magnificences que nous appelons triomphes, qui furent faictsen ce voyage, dont le recors sera consolatif aux nobles cœurs esprins de haut voloir et enflambés du brandon de proesse.
Page 299 - Haon , et en la ville de Gand messire Philippe de Clèves; lesquels seigneurs, comte et messire Philippe jureront, à la requeste de nous , sur le fust de la saincte croix, et sur les évangiles , et aussi sur leur foi et honneur, qu'ils ne se départiront des dites villes jusques à ce que tous les poincts et articles contenus en ceste présente paix seront bien et léaument furnis et accomplis. » Item. Encore pour plus grande seureté, avons priez et requis ledit messire Philippes, que , en cas...
Page 108 - Paris porte l'arbre de vie temporelle , c'est l'expérimentée science de médecine ; Paris porte le fruict de bien et de mal , ce est le fort et juste droict canon ; Paris porte le fruict du vrai et du faulx , c'est le bel arbre de porphire avec les sept arts libéraulx, et plusieurs arbres de science qui là flourissent et germinent ; et au milieu de sa closture^ pour arrouser ce vertueux plantaige, sourd la fontaine de justice, tantclère, froide , bien apurée , et dont la rive est tant saine,...
Page 172 - Romains, se vist tant cauteleusement séduicte, abusée et déceue , n'est à doubter qu'il y eut plusieurs cœurs dolens ; ét furent tellement aguillonnés de tristesse, qu'à peu qu'ils n'avoient force ne hardement ; et avec ce , et les hommes et les chevaulx estoient tant travaillés par longues veilles, parce qu'on les avoit chariés du long de la sepmaine , que plusieurs en estoient foullés et amatis ; et pour ce qu'ils ne se doubtoient de leurs ennemis, ils n'estoient armés qu'à demi. Quant...