Le Magasin de librairie: littérature, histoire, philosophie, voyages, poésie, théâtre, mémoires, etc., etc, Volume 2Charpentier, 1859 |
Contents
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Common terms and phrases
absolue aime ALBERT ambassadeurs âme attributs avez avoit Ben Jonson c'était cause Charles VIII charmante cher choses cœur comédie corps créatures Descartes devant Dieu dire dit-il divine docteur donner duc de Lorraine duc de Mantoue duchesse esprit éternelle étoit femme fille Florence force FRÉDÉGONDE gloire Gorboduc homme idées infini j'ai j'étais jamais Jérôme Savonarole jeune John Daw Jonson jour l'esprit l'étendue l'être l'homme l'idée l'infini l'Italie l'univers laissé Leibnitz Léon lettre liberté Livraison Ludovic le More lui-même mademoiselle main maître Majesté Malebranche Marlowe MAUPERTUIS ment monde monsieur morale nature nécessaire Newton panthéisme parler passé pensée perfection peuple philosophie pièce Pierre de Médicis poëte politique première présent prince principe Prosper Enfantin qu'un RACHEL raison reste rien sais SAULNIÈRE Savonarole scène Seigneurie semble sens sentiment serait seul Shakspeare siècle sorte Spinoza Substance système théâtre Thérèse tion tragédie trouve TRUEWIT univers Venise vérité voilà volonté vrai yeux ZOÉ ᎪᏞᏴᎬᎡᎢ
Popular passages
Page 195 - La paix assure la liberté , la prospérité et la gloire de la république. » Lorsque le bonheur du peuple français sera assis sur les meilleures lois organiques , l'Europe entière deviendra libre.
Page 58 - C'est l'envoi, c'est la colère, c'est la fureur qui rendent les verges terribles et redoutables. Cette main invisible, ce bras qui ne paraît pas, donnent les coups que le monde sent. Il ya bien je ne sais quelle hardiesse qui menace de la part de l'homme, mais la force qui accable est toute de Dieu.
Page 82 - Je suis, j'existe, est nécessairement vraie, toutes les fois que je la prononce ou que je la conçois en mon esprit.
Page 535 - Les perfections de Dieu sont celles de nos âmes, mais il les possède sans bornes : il est un océan, dont nous n'avons reçu que des gouttes : il ya en nous quelque puissance, quelque connaissance, quelque bonté; mais elles sont toutes entières en Dieu.
Page 183 - Hollande et du Rhin. Dénués de tout, vous avez suppléé à tout. Vous avez gagné des batailles sans canons , passé des rivières sans ponts, fait des marches forcées sans souliers, bivouaqué sans eau-de-vie et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la liberté étaient seuls capables de souffrir ce que vous avez souffert.
Page 187 - Soldats! je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la Patrie ; mais la Patrie ne peut courir de dangers réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de l'Europe coalisée sont là. Des montagnes nous séparent de la France : vous les franchiriez avec la rapidité de l'aigle, s'il le fallait, pour MANIFESTATIONS RÉPUBLICAINES DE L'ARMÉE.
Page 197 - Soldats, matelots, vous avez été jusqu'ici négligés; aujourd'hui la plus grande sollicitude de la république est pour vous: vous serez dignes de l'armée dont vous faites partie. «Le génie de la liberté qui a rendu, dès sa naissance, la république l'arbitre de l'Europe, veut qu'elle le soit des mers et des nations les plus lointaines.
Page 85 - Dieu se trouve contenue) par la même faculté par laquelle je me conçois moi-même, c'est-à-dire que lorsque je fais réflexion sur moi, non seulement je connais que je suis une chose imparfaite, incomplète, et dépendante d'autrui, qui tend et qui aspire sans cesse à quelque chose de meilleur et de plus grand que je ne suis...
Page 182 - Soldats , dit-il , vous êtes mal nourris et presque nus. Le gouvernement vous doit beaucoup, mais ne peut rien pour vous. Votre patience , votre courage vous honorent , mais ne vous procurent ni avantage ni gloire. Je vais vous conduire dans les plus fertiles plaines du monde; vous y trouverez de grandes villes, de riches provinces; vous y trouverez honneur, gloire et richesses. Soldats d'Italie, manqueriez -vous de courage?
Page 84 - Car, suivant les raisonnements que je viens de faire, pour connaître la nature de Dieu autant que la mienne en était capable, je n'avais qu'à considérer, de toutes les choses dont je trouvais en moi quelque idée, si c'était perfection ou non de les posséder ; et j'étais assuré qu'aucune de celles qui marquaient quelque imperfection n'était en lui, mais que toutes les autres y étaient...