Cours de littérature française. Tableau de la littérature au XVIIIe siècle, Volume 1Didier, 1846 - French literature |
Other editions - View all
Common terms and phrases
Addison admirable âme Atrée beautés beaux belle Boileau Bolingbroke Brutus c'était caractère célèbre César chants choses cœur comédie comique Congreve Corneille cour Crébillon critique d'Othello Destouches drame Dryden duchesse du Maine écrivain élégante éloquence époque esprit Fontenelle génie gloire goût gouvernement grec Guillaume hardi hardiesse Henriade Homère homme imitation jeune Jocaste l'abbé l'Angleterre l'antiquité l'art l'Esprit des Lois l'histoire langage langue lettres liberté libre littérature Londres Louis Racine Louis XIV Lucain madame madame de Tencin mademoiselle de Launay Marivaux mêle ment Messieurs ministre mœurs monarchie monde Montesquieu morale mort Motte n'avait n'était naturel Newton Othello ouvrage passé passion pathétique pensée père personnages peuple philosophie pièce poëme épique poésie poëte poétique politique Pope premier Prévost qu'un religieuse religion reste révolution rien Rollin romaine Rome Rousseau Sage satire savant scène scepticisme sceptiques science sent seul Shakspeare société Sophocle style sublime sujet Swift talent tragédie vérité Voltaire whigs XVIIIe siècle Zaïre
Popular passages
Page 144 - Hoc erat in votis : modus agri non ita magnus, hortus ubi et tecto vicinus iugis aquae fons et paulum silvae super his foret. auctius atque di melius fecere. bene est. nil amplius oro, Maia nate, nisi ut propria haec mihi munera faxis.
Page 9 - Un homme né chrétien et Français se trouve contraint dans la satire : les grands sujets lui sont défendus ; il les entame quelquefois, et se détourne ensuite sur de petites choses, qu'il relève par la beauté de son génie et de son style.
Page 61 - Qu'en un lieu, qu'en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu'à la fin le théâtre rempli.
Page 264 - Comme elles demeuraient fort près de mon couvent, je m'en retournais ordinairement à pied, et il ne manquait pas de me donner la main pour me conduire jusque chez moi. Il y avait une grande place à passer; et, dans les commencements de notre connaissance, il prenait son chemin par les côtés de cette place : je vis alors qu'il la traversait par le milieu; d'où je jugeai que son amour était au moins diminué de la différence de la diagonale aux deux côtés du carré.
Page 346 - ... triomphes, tant de politique, de sagesse, de prudence, de constance, de courage ; ce projet d'envahir tout, si bien formé, si bien soutenu, si bien fini, à quoi aboutit-il, qu'à assouvir le bonheur de cinq ou six monstres? Quoi! ce sénat...
Page 272 - Romains, j'aime la gloire, et ne veux point m'en taire ; Des travaux des humains c'est le digne salaire. Sénat, en vous servant il la faut acheter: Qui n'ose la vouloir, n'ose la mériter.
Page 183 - Aux murs de Westminster on voit paraître ensemble Trois pouvoirs étonnés du nœud qui les rassemble, Les députés du peuple, et les grands, et le roi, Divisés d'intérêt, réunis par la loi; Tous trois membres sacrés de ce corps invincible, Dangereux à lui-même, à ses voisins terrible.
Page 369 - Dire qu'il n'ya rien de juste ni d'injuste que ce qu'ordonnent ou defendent les lois positives, c'est dire qu'avant qu'on eut trace de cercle, tous les rayons n'etaient pas egaux.
Page 220 - Il n'avoit jamais pu rien faire de ce fils libertin , dont le libertinage a fait enfin la fortune sous le nom de Voltaire , qu'il a pris pour déguiser le sien.
Page 161 - Confidents du Très-Haut, substances éternelles, Qui brûlez de ses feux, qui couvrez de vos ailes Le trône où votre maître est assis parmi vous, Parlez: du grand Newton n'étiez-vous point jaloux?