Leçons et modèles de poésie française; or, Choice selections from the best French poets, with annotations by C.J. DelilleCharles Jean Delille 1841 |
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... bras de la mort ? ... Arreste , cher enfant ! ... j'en frémy toute engtière ! ... Réveille - toy ! chasse ung fatal propoz ! Mon fils ! ... pour ung moment ... ah ! revoy la lumière ! Au prix du tien rends - moy tout mon repoz ...
... bras de la mort ? ... Arreste , cher enfant ! ... j'en frémy toute engtière ! ... Réveille - toy ! chasse ung fatal propoz ! Mon fils ! ... pour ung moment ... ah ! revoy la lumière ! Au prix du tien rends - moy tout mon repoz ...
Page 21
... bras , du royaume est le plus ferme appui . Grenade et l'Aragon tremblent quand ce fer brille ; Mon nom sert de rempart à toute la Castille : Sans moi vous passeriez bientôt sous d'autres lois , Et vous auriez bientôt vos ennemis pour ...
... bras , du royaume est le plus ferme appui . Grenade et l'Aragon tremblent quand ce fer brille ; Mon nom sert de rempart à toute la Castille : Sans moi vous passeriez bientôt sous d'autres lois , Et vous auriez bientôt vos ennemis pour ...
Page 22
... bras . D. DIÈGUE . Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas . LE COMTE . Ne le méritait pas ! Moi ? D. DIÈGUE . Vous . LE COMTE . Ton impudence , Téméraire vieillard , aura sa récompense . [ Il lui donne un soufflet . ] D. DIÈGUE ...
... bras . D. DIÈGUE . Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas . LE COMTE . Ne le méritait pas ! Moi ? D. DIÈGUE . Vous . LE COMTE . Ton impudence , Téméraire vieillard , aura sa récompense . [ Il lui donne un soufflet . ] D. DIÈGUE ...
Page 23
... bras qu'avec respect toute l'Espagne admire , Mon bras , qui tant de fois a sauvé cet empire , Tant de fois affermi le trône de son roi , Trahit donc ma querelle , et ne fait rien pour moi ? Ô cruel souvenir de ma gloire passée ! Œuvre ...
... bras qu'avec respect toute l'Espagne admire , Mon bras , qui tant de fois a sauvé cet empire , Tant de fois affermi le trône de son roi , Trahit donc ma querelle , et ne fait rien pour moi ? Ô cruel souvenir de ma gloire passée ! Œuvre ...
Page 24
... bras ne peut plus soutenir , Je le remets au tien pour venger et punir . Va contre un arrogant éprouver ton courage : Ce n'est que dans le sang qu'on lave un tel outrage ; Meurs , ou tue . Au surplus , pour ne te point flatter , Je te ...
... bras ne peut plus soutenir , Je le remets au tien pour venger et punir . Va contre un arrogant éprouver ton courage : Ce n'est que dans le sang qu'on lave un tel outrage ; Meurs , ou tue . Au surplus , pour ne te point flatter , Je te ...
Common terms and phrases
ABNER ACHILLE AGAMEMNON âme amour AMPHITRYON ARMANDE ATHALIE Auguste beau BÉLISE belle Boileau bras Britannicus Burrhus Calchas chant cher CHICANEAU Chimène CHRYSALE ciel cieux Cinna cloz CLYTEMNESTRE cœur combat COMTE COMTESSE Corneille coup courroux crime CURIACE DANDIN DANVILLE DIÈGUE Dieu dieux digne discours donne enfants enfin ennemis esprit Extrait des poésies fille fils FRANÇOIs Ier French frère funeste fureur gloire grec héros HORACE Iphigénie ISABELLE j'ai j'en jamais Jézabel JOAD JOAS JOSABETH jour juge L'INTIMÉ l'univers laisse langue LÉANDRE lévites lois madame MAHOMET main maître malheureux Mathan MERCURE mère Mithridate monsieur mort mourir NARCISSE NÉRON ORGON parle passer pensée père PETIT-JEAN peuple Pharnace PHILAMINTE pleurs poëme poëte prince qu'un raison rien rime RODRIGUE rois Romains Rome sais sang SCÈNE seigneur seul seyn sort SOSIE syllabes Tartuffe temple tragédie trembler TRISSOTIN trône VADIUS venger veux VIEIL HORACE voilà vois voix Voyez yeux
Popular passages
Page 4 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Page 100 - Misérable! et je vis! et je soutiens la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue! J'ai pour aïeul le père et le maître des dieux ; Le ciel, tout l'univers est plein de mes aïeux : Où me cacher?
Page 5 - Sans la langue, en un mot , l'auteur le plus divin Est toujours, quoi qu'il fasse, un méchant écrivain.
Page 67 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 102 - Tout son corps est couvert d'écailles jaunissantes. Indomptable taureau, dragon impétueux, Sa croupe se recourbe en replis tortueux ; Ses longs mugissements font trembler le rivage, Le ciel avec horreur voit ce monstre sauvage ; La terre s'en émeut, l'air en est infecté, Le flot qui l'apporta recule épouvanté.
Page 124 - Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide : De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé; Ton encens, à ses yeux, est un encens souillé. Où menez-vous ces enfants et ces femmes...
Page 123 - Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Page 415 - L'augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue Par un commun trépas, Est-ce quelque dédale où ta raison perdue Ne se retrouve pas ? Je sais de quels appas son enfance était pleine ; Et n'ai pas entrepris, Injurieux ami, de soulager ta peine Avecque son mépris.
Page 104 - Je viens, selon l'usage antique et solennel, . » Célébrer avec vous la fameuse journée Où sur le mont Sina la loi nous fut donnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette sacrée annonçait le retour, Du temple, orné partout de festons magnifiques, Le peuple saint en foule inondait les portiques...
Page 92 - Un prêtre , environné d'une foule cruelle , Portera sur ma fille une main criminelle ! Déchirera son sein ! et d'un œil curieux Dans son cœur palpitant consultera les dieux...