Les homonymes français: accompagnés d'applications |
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... seul costume accepté pour la toilette de cérémonie . Français . Aboi . Aboie . Abois ( aux ) . S. C. M. Cri naturel du chien . 1re pers . du sing . du prés . de l'ind . du verbe aboyer : Pous- ser , faire entendre des aboie- ments ...
... seul costume accepté pour la toilette de cérémonie . Français . Aboi . Aboie . Abois ( aux ) . S. C. M. Cri naturel du chien . 1re pers . du sing . du prés . de l'ind . du verbe aboyer : Pous- ser , faire entendre des aboie- ments ...
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... seul multiple : l'hectare qui vaut cent ares et un seul sous - multiple le centiare ou mètre carré . L'Art se divise en arts mécaniques et en arts libéraux : les arts mécaniques sont ceux qui exigent surtout le travail de la main et l ...
... seul multiple : l'hectare qui vaut cent ares et un seul sous - multiple le centiare ou mètre carré . L'Art se divise en arts mécaniques et en arts libéraux : les arts mécaniques sont ceux qui exigent surtout le travail de la main et l ...
Page 73
... seul que tous ses contemporains réunis . La présure caille le lait ; le froid caille le sang ; la dissolution d'argent , faite par l'acide du nitre , se caille lorsqu'on y ajoute de l'acide de sel marin . Français . Cal . S. C. M. ...
... seul que tous ses contemporains réunis . La présure caille le lait ; le froid caille le sang ; la dissolution d'argent , faite par l'acide du nitre , se caille lorsqu'on y ajoute de l'acide de sel marin . Français . Cal . S. C. M. ...
Page 78
... seul de l'Empire Chinois où les étrangers fussent admis pour faire le commerce . Cette ville compte environ un million d'habitants dont un grand nombre vivent sur plus de quarante mille bateaux répandus sur le fleuve Tchu - Kiang ...
... seul de l'Empire Chinois où les étrangers fussent admis pour faire le commerce . Cette ville compte environ un million d'habitants dont un grand nombre vivent sur plus de quarante mille bateaux répandus sur le fleuve Tchu - Kiang ...
Page 91
... seul genre : celui des cerfs ; leur tête est armée de cornes appelées bois , qui tombent tous les ans ; les femelles , excepté celle du renne , en sont dépourvues ; les cerfs habitent les forêts ; les uns ont les bois ronds , tels sont ...
... seul genre : celui des cerfs ; leur tête est armée de cornes appelées bois , qui tombent tous les ans ; les femelles , excepté celle du renne , en sont dépourvues ; les cerfs habitent les forêts ; les uns ont les bois ronds , tels sont ...
Common terms and phrases
1re pers 3me pers Allemand anciens Anglais animaux appelle Astragal autrefois Barege beau bois canon célèbre cent cheval chien chose colonne corps couleur cuir département donne emploie étampe fabrique famille femmes fesait feuilles fleurs forme François Ier fruits garnie Grecs habitants hommes homonymes Interjection Jean-Jacques Rousseau l'eau l'ind lieu liquide Louis Louis XIV mètres musique Napoléon Ier navire nomme passé défini passé du verbe peau pêche petits peuple pièce pied place plur poissons porte Préposition prés Pron queue Romains S. C. F. Plante S. C. M. Action S. C. M. Espèce S. C. M. Genre S. C. M. Instrument S. C. M. Nom S. C. M. Oiseau S. C. M. Petit S. C. M. Terme S. P. Rivière S. P. Ville s'emploie sert servent seul siècle signifie sing sorte subj substances terre tête tion trouve vent verbe vêtements VICTOR HUGO Ville de Belgique
Popular passages
Page 35 - La nuit, quand l'homme dort, quand l'esprit rêve, à l'heure Où l'on entend gémir, comme une voix qui pleure, L'onde entre les roseaux, Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare, Sa clarté dans les champs éveille une fanfare De cloches et d'oiseaux. Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez; Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés.
Page 39 - C'est en vain qu'au Parnasse un téméraire auteur Pense de l'art des vers atteindre la hauteur : S'il ne sent point du ciel l'influence secrète, Si son astre en naissant ne l'a formé poète, Dans son génie étroit il est toujours captif; Pour lui Phébus est sourd , et Pégase est rétif.
Page 8 - Toujours au plus grand nombre on doit s'accommoder, Et jamais il ne faut se faire regarder. L'un et l'autre excès choque , et tout homme bien sage Doit faire des habits ainsi que du langage , N'y rien trop affecter, et, sans empressement, Suivre ce que l'usage y fait de changement.
Page 320 - Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie.
Page 89 - Seigneur! préservez-moi, préservez ceux que j'aime, Frères, parents, amis, et mes ennemis même Dans le mal triomphants. De jamais voir, Seigneur! l'été sans fleurs vermeilles. La cage sans oiseaux, la ruche sans abeilles, La maison sans enfants ! 18 mai 1830.
Page 59 - La mort a des rigueurs à nulle autre pareilles : On a beau la prier, La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos Rois. De murmurer contre elle et perdre patience II est mal à propos ; Vouloir ce que Dieu veut est la seule science Qui nous met en repos.
Page 375 - Le face du Seigneur se détourne de vous. Donnez! afin que Dieu, qui dote les familles, Donne à vos fils la force et la grâce à vos filles...
Page 244 - Allez dire à votre maître que nous sommes ici par la volonté du peuple et que nous n'en sortirons que par la force des baïonnettes.
Page 353 - L'abeille sait la fleur qui recèle le miel. Toute aile vers son but incessamment retombe : L'aigle vole au soleil, le vautour à la tombe, L'hirondelle au printemps, et la prière au ciel ! Lorsque pour moi vers Dieu ta voix s'est envolée, Je suis comme l'esclave, assis dans la vallée, Qui dépose sa charge aux bornes du chemin; Je me sens plus léger; car ce fardeau de peine, De fautes et d'erreurs qu'en gémissant je traîne, Ta prière en chantant l'emporte dans sa main...
Page 35 - O temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours...