Avec quel intérêt je regardais ces jeunes filles que l'affection et l'habitude rendent comme les enfans d'une même famille ! Je les considérais comme autant de sœurs d'Adèle } et je me sentais pour chacune un attrait particulier. Je leur demandai... Oeuvres de Madame de Souza - Page 97by Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - 1845 - 488 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1798 - 250 pages
...rendent -comme les enfans d'une même famille t Je les considérais toutes comme les sœurs d'Adèle , & je me sentais pour chacune un attrait particulier....leur demandai quelle était sa meilleure amie : c'est mol, dirent- elles presque toutes à la fois. — " Et quelle est „ celle que Mde. de Senangc. préfé„... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1821 - 480 pages
...quel intérêt je regardais ces jeunes filles que l'affection et l'habitude rendent comme les enfans d'une même famille ! Je les considérais comme autant...d'être distinguée , qu'elle n'eût été sensible à l'oubli. Je fis des vœux pour son bonheur, et pour qu'elle conservât toujours celte heureuse simplicité.... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...intérêt je regardais ces jeunes filles que l'affection et les habitudes rendent comme les enfans d'une même famille! Je les considérais comme autant...attrait particulier. Je leur demandai quelle était sa meilleure'amie : « C'est mai,, dirent-elles presque toutes à la fois. — Et quelle est celle que... | |
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