— Je reconnus aussitôt tout le ridicule de mon humeur , et je voulus réparer ce tort ; elle ne parut ni se le rappeler , ni s'apercevoir de mon retour. Dédaignant également l'un et l'autre, parfaitement à son aise , me voyant toujours à ses côtés,... Oeuvres de Madame de Souza - Page 318by Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Sousa-Botelho - 1845 - 488 pagesFull view - About this book
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 198 pages
...avec moi. Elle me parla de mes voyages, me demanda si je m'étois amusé, si aucun pays ne m'avoit assez intéressé p'our m'inspirer le désir d'y retourner....je remarquai que le comte de Tavanne, avec qui elle avoit walsé, passa devant nous, lui fit la révérence la plus profonde, mais en riant : elle lui... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1808 - 364 pages
...ni se le rappeler, ni apercevoir mon retour. Dédaignant également l'un et l'autre, parfaitement à son aise, me voyant toujours à ses côtés, elle...moi. Elle me parla de mes voyages, me demanda si je m'étois amusé, si aucun pays ne m'avoit assez intéressé pour m'inspirer le désir d'y retourner.... | |
| Adélaïde-Marie-Emilie Filleul marquise de Souza-Botelho - 1822 - 544 pages
...parfaitement à son aise, me voyant toujours à ses côtés, elle continua de causeravecmoi. Ellemeparlade mes voyages, me demanda si je m'étais amusé , si...remarquai que le comte de Tavanne , avec qui elle avait walsé, passa devant nous, lui fit la révérence la plus profonde, mais en riant : elle lui rendit... | |
| Charles Augustin Sainte-Beuve - 1840 - 524 pages
...le rappeler , ni s'apercevoir de mon retour. Dédaignant également l'un et l'autre, parfaitement à son aise, me voyant toujours à ses côtés, elle...Pendant que nous causions, je remarquai que le comte de ïavanne, avec qui elle avait valsé , passa devant nous, lui fit la révérence la plus profonde ,... | |
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