| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 476 pages
...feroient tournés en réalités , ils ne m'auroient pas fuffi ; j'aurois imaginé , rêvé , defiré encore.! Je trouvois en moi un vide inexplicable que...remplir ; un certain élancement de cœur vers une autre forte de jouuTance dont je n'avois pas d'idée, & dont pourtant je fentois le befoin. Hé bien , Monfieur... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1782 - 458 pages
...feferoicnt tournés en réalités , ils ne ra'auroient pas fuffl ; j'aurois imaginé , ,rêvé , defiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que...remplir ; un certain élancement de cœur vers une autre forte de joui-flancedontje n'avoispas d'idêe, & dont pourtant je fentois le befoin. Hé bien , Monfieur... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 480 pages
...tournés en réalités , ils ne m'auroient pas fuffi ; j'aurois imaginé , rçvé , defiré encore.1; Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'auroit...remplir ; un certain élancement de cœur vers une autre forte de jouiffance dont je n'avois pas d'idée, & dont pourtant je fentois le befoin. Hé bien , Monfieur... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1793 - 332 pages
...point •'attacher à demi , s'est donné à eux sans et je u» m'eu repens pas , je m'ca plir.-un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avais pas d'idée , et dont pourtant je sentais le besoin. Hé bien, Monsieur , cela même était... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 732 pages
...quelquefois la contrister tout- à -coup. Quand tous mes rêves se seroient tournés en réalités , ils ue m'auroient pas suffi ; j'aurois imaginé, rêvé,...sentiment très vif, et d'une tristesse attirante, que je n'auroispas voulu ne pas avoir. Bientôt de la surface de la terre j'élevois mes idées à tous les... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 414 pages
...desirer encore , je m'attendrissois jusqu'aux larmes sur les vrais plaisirs de l'Humanité, plaisirs sï délicieux, si purs, et qui sont désormais si loin...une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas l'idée, et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela même étoit jouissance, puisque... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...contrister toutà-coup. Quand tous mes rêves se seroient tournés en réalités, ils ne m'uuroient pas suffi ; j'aurois imaginé, rêvé, desiré encore....une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas l'idée, et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela même étoit jouissance, puisque... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1827 - 422 pages
...j'aurois imaginé, rêvé , désiré encore. Je trouvois en moi un vide inexplicable que rien n'aurait pu remplir, un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avois pas l'idée, et dont pourtant je sentois le besoin. Hé bien, monsieur, cela même étoit jouissance, puisque... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1833 - 470 pages
...m'auroient pas suffi; j'aurois imaginé , rêvé, désiré encore. Je trouvois en moi un vide inexpliquable que rien n'auroit pu remplir, un certain élancement de cœur vers une aulre sorte de jouissance dont je n'avois pas d'idée, et dont pourtant je sentois le besoin. Eh bien... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1060 pages
...j'aurais imaginé, rêvé, désiré encore. Je trouvais eu moi un vide inexplicable que rien n'aérait pu remplir, un certain élancement de cœur vers une autre sorte de jouissance dont je n'avais pas l'idée, et dont pourtant je sentais le besoin. Hé bien , monsieur, cela môme était... | |
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