| Jean-Antoine Roucher - 1779 - 258 pages
...la mefure de mes plailîrs : non , jamais les plus voluptueux n'ont connu de pareille! délices , & j'ai cent fois plus joui de mes chimères qu'ils ne font des réalités. QUAWft mes douleurs me font rrifleraent mefur« la longueur des nuits , & que l'agitation de la fièvre... | |
| Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1782 - 470 pages
...la mefiire de mes'plaiûrs. Non,, jamais les plus voluptueux n'ont connu de pareilles délices , & j'ai cent fois plus joui de mes chimères qu'ils ne font des réalités. Quand mes douleurs me font triftement mefurer la longueur des nuits , & que l'agitation de la hevre m'empêche de goûter un feul... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1827 - 424 pages
...ne l'avoit lu que là, cite, d'après Crévier, Spartien, sans se douter de sa méprise. . ,4. tueux n'ont connu de pareilles délices, et j'ai cent fois...réalités. Quand mes douleurs me font tristement mesurer la i longueur des nuits, et que l'agitation de la fièvre m'empêche de goûter un seul instant de sommeil,... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1060 pages
...intellectuel : je rassemblais autour de moi tout ce qui pouvait flatter mon cœur; mes désirs étaient la mesure de mes plaisirs. Non , jamais les plus voluptueux...réalités. Quand mes douleurs me font tristement rassurer la longueur des nuits, et que 1 agitation de la fièvre m'empêche de goûter un seul instant... | |
| François Noel - 1835 - 596 pages
...monde intellectuel ; je rassemblois autour de moi tout ce qui pouvoit flatter mon cœur; mes désirs étoient la mesure de mes plaisirs : non , jamais...qu'ils ne font des réalités. Quand mes douleurs mefont tristement mesurer la longueur des nuits , que l'agitation de la fièvre m'empêche de goûter... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...monde intellectuel : je rassemblois autour de moi tout ce qui pouvoit flatter mon cœur ; mes désirs étoient la mesure de mes plaisirs. Non , jamais les...plus voluptueux n'ont connu de pareilles délices, el j'ai cent fois plus joui de mes chimères qu'ils ne font des réalités. Quand mes douleurs me font... | |
| François Noel - 1838 - 788 pages
...intellectuel ; je rassemblais autour de moi tout ce qui pouvait flatter mon cœur ; mes désirs étaient la mesure de mes plaisirs : non, jamais les plus voluptueux...me font tristement mesurer la longueur des nuits, que l'agitation de la fièvre m'empêche de goûter un seul instant de sommeil, souvent je me distrais... | |
| Eugène Borel - 1842 - 534 pages
...répète ordinairement que ce. dernier mot ; la construction devient par là plus rapide et plus coulante: Quand mes douleurs me font tristement mesurer la longueur des nuits, et que l'agitation de ma fièvre m'empêche de goûter un seul instant de sommeil, souvent je me distrais de mon état présent,... | |
| Guyet de Fernex - French literature - 1843 - 576 pages
...intellectuel ; je rassemblais au tour de moi tout ce qui pouvait llattcr mon cœur ; mes désirs étaient la mesure de mes plaisirs ; non, jamais les plus voluptueux n'ont connu de pareils délices, et j'ai cent fois plus joui de mes chimères qu'ils ne font de réulités. Quand... | |
| Johann Georg Zimmermann - 1845 - 372 pages
...intellectuel. Je rassemblais autour de moi tout ce qui pouvait flatter mon cœur. Mes désirs étaient la mesure de mes plaisirs. Non, jamais les plus voluptueux n'ont connu de pareils délices , et j'ai cent fois plus joui de mes chimères qu'ils ne le font de leur réalité.... | |
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