Oeuvres de François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux... |
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Common terms and phrases
ACTE affaire aimable aime Allons amis arrive assez aura avez beau BELCOUR belle besoin bientôt bonheur cæur CAPITAINE change CHARLES CHARLOTTE charme cher chercher chose ciel commence compte cour crois d'être demander devant Dieu dire doit donner doute Dudley enfin êtes fais femme ferai fille fils fort frère garde gens goût haut heureux homme j'ai jeune jeune homme jouer jour jugement l'autre l'honneur laissé lieu livre loin lui-même m'en Madame main maître malheur mieux miss Louisa Mme FULMER Monsieur n'ai n'avait n'en parler passer peine penser père personne peut-être pièce place plaisir porte pourrait pouvez premier présent prêt qu'à qu'un raison regarde rendre reste rien s'il sage sais savez SCÈNE sera servir seul soins sort souvent STOCKWELL STUKELY Substituer suite suivans tems théâtre touche traits trouver vais venir vérité veut veux viens vient voici voilà vois voulait voyez vrai yeux
Popular passages
Page 207 - Entendez la raison, Sire ; je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam à moi.
Page 247 - ... leurs alarmes ; Mais comment retourner ? car vous êtes bien las ! Monseigneur, permettez... nous vous offrons nos bras: Oui, sans vous fatiguer, vous ferez le voyage.
Page 418 - Ne vaudrait-il pas mieux, qu'en personne discrète, Vous fissiez de céans une honnête retraite, Que de souffrir ainsi, contre toute raison, Qu'on en chasse, pour vous, le fils de la maison ? Croyez-moi, c'est donner de votre prud'homie, Monsieur...
Page 208 - Le plus sûr est pourtant de ne pas s'y fier : Ce même Frédéric, juste envers un meunier, Se permit maintes fois telle autre fantaisie ; Témoin ce certain jour qu'il prit la Silésie ; Qu'à peine sur le trône, avide de lauriers, Epris du beau renom qui séduit les guerriers, Il mit l'Europe en feu. Ce sont là jeux de prince ; On respecte un moulin, on vole une province.
Page 208 - Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu ! de ton moulin c'est bien être entêté ; Je suis bon de vouloir t'engager à le vendre : Sais-tu que sans payer je pourrais bien le prendre ? Je suis le maître. — Vous !.... de prendre mon mculin? Oui, si nous n'avions pas des juges à Berlin.
Page 200 - CERTAIN rat de campagne en son modeste gîte.. De certain rat de ville eut un jour la visite ; Ils étaient vieux amis ; quel plaisir de se voir ! Le maître du logis veut selon son pouvoir Régaler l'étranger ; il vivait de ménage,' Mais donnait de bon cœur, comme on donne au village.
Page 401 - Dans les procès , en prenant le revers ; Les si , les cas , les contrats , sont la porte Par où la noise entra dans l'univers : N'espérons pas que jamais elle en sorte.
Page 196 - Je les tiens renfermés seuls , tremblans , sans défense ; Vous pouvez les punir, vous pouvez vous venger, Sans livrer de combat, sans courir de danger. Contre eux tout est permis, tout devient légitime : Pardonner est honteux , et proscrire est sublime. Je suis l'ami du peuple, ainsi vous m'en croirez; Et surtout gardez-vous des avis modérés.
Page 280 - D'une amitié parfaite , ô spectacle enchanteur, Que ne troubla jamais l'amour-propre d'auteur! Ainsi Thomas et moi nous vivions comme frères. La mort rompit trop tôt des unions si chères. O sincère Andrieux ! je t'ai trop tard connu...
Page 201 - Les rats, petits et grands, marchent tous au trépas. Ils meurent tout entiers, et leur philosophie Doit être de jouir d'une si courte vie D'y chercher le plaisir : qui s'en passe est bien fou.