Oeuvres de François-Guillaume-Jean-Stanislas Andrieux...Nepveu, 1818 - French drama |
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Adieu aimable aime aimé marcher aller de suite Allez amis amour Andrieux assez avez Badajoz beau belle-sœur bientôt bonheur Bonœil capitaine Dudley Cécile changemens CHARLES charme cher chère Louisa ciel Cléon cœur comédie cornet acoustique Crantor crois diamans dire discours docteur écrin Edvin élixir enfans êtes femme fille fils flatte frère Gallus gens Glaucon goût hélas heureux j'ai j'en jamais JEAN-FRANÇOIS DUCIS jeune homme jeune personne JOHN jolie jour l'amour laissé Laodice lapon lieu long-tems m'en Madame maître malheur Mendrito Mercuriens Mévoisins milady miss Charlotte miss Louisa miss Rusport Mme FULMER monsieur Belcour monsieur Stockwell NICOMÈDE Noagore O'FLAHERTY pardonne parler peine penser père plaire plaisir pleurs POLYEUCTE Prusias raison rendre rien Rome sage sais savez SCÈNE PREMIÈRE Seigneur sera seul Socrate sœur soins sort STUKELY Substituer suivans Supprimer quatre sur-tout tems tendre Térence théâtre trouver vais veux viens voilà vois yeux
Popular passages
Page 207 - Entendez la raison, Sire ; je ne peux pas vous vendre ma maison : Mon vieux père y mourut, mon fils y vient de naître ; C'est mon Potsdam à moi.
Page 247 - ... leurs alarmes ; Mais comment retourner ? car vous êtes bien las ! Monseigneur, permettez... nous vous offrons nos bras: Oui, sans vous fatiguer, vous ferez le voyage.
Page 418 - Ne vaudrait-il pas mieux, qu'en personne discrète, Vous fissiez de céans une honnête retraite, Que de souffrir ainsi, contre toute raison, Qu'on en chasse, pour vous, le fils de la maison ? Croyez-moi, c'est donner de votre prud'homie, Monsieur...
Page 208 - Le plus sûr est pourtant de ne pas s'y fier : Ce même Frédéric, juste envers un meunier, Se permit maintes fois telle autre fantaisie ; Témoin ce certain jour qu'il prit la Silésie ; Qu'à peine sur le trône, avide de lauriers, Epris du beau renom qui séduit les guerriers, Il mit l'Europe en feu. Ce sont là jeux de prince ; On respecte un moulin, on vole une province.
Page 208 - Les rois malaisément souffrent qu'on leur résiste. Frédéric, un moment par l'humeur emporté : " Parbleu ! de ton moulin c'est bien être entêté ; Je suis bon de vouloir t'engager à le vendre : Sais-tu que sans payer je pourrais bien le prendre ? Je suis le maître. — Vous !.... de prendre mon mculin? Oui, si nous n'avions pas des juges à Berlin.
Page 200 - CERTAIN rat de campagne en son modeste gîte.. De certain rat de ville eut un jour la visite ; Ils étaient vieux amis ; quel plaisir de se voir ! Le maître du logis veut selon son pouvoir Régaler l'étranger ; il vivait de ménage,' Mais donnait de bon cœur, comme on donne au village.
Page 401 - Dans les procès , en prenant le revers ; Les si , les cas , les contrats , sont la porte Par où la noise entra dans l'univers : N'espérons pas que jamais elle en sorte.
Page 196 - Je les tiens renfermés seuls , tremblans , sans défense ; Vous pouvez les punir, vous pouvez vous venger, Sans livrer de combat, sans courir de danger. Contre eux tout est permis, tout devient légitime : Pardonner est honteux , et proscrire est sublime. Je suis l'ami du peuple, ainsi vous m'en croirez; Et surtout gardez-vous des avis modérés.
Page 280 - D'une amitié parfaite , ô spectacle enchanteur, Que ne troubla jamais l'amour-propre d'auteur! Ainsi Thomas et moi nous vivions comme frères. La mort rompit trop tôt des unions si chères. O sincère Andrieux ! je t'ai trop tard connu...
Page 201 - Les rats, petits et grands, marchent tous au trépas. Ils meurent tout entiers, et leur philosophie Doit être de jouir d'une si courte vie D'y chercher le plaisir : qui s'en passe est bien fou.