Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Poésies - Page 157by Alfred de Musset - 1877Full view - About this book
| 1835 - 350 pages
...étions seuls, pensifs , et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie.— Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur , et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur... | |
| Alfred de Musset - 1841 - 456 pages
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pale et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur, et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,... | |
| Alfred de Musset - French poetry - 1849 - 428 pages
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une seour,... | |
| Comte Philippe Régis Denis de Keredern Trobriand - 1850 - 398 pages
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur, et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au inonde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,... | |
| Alfred de Musset - 1852 - 306 pages
...seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. • Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur, et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 376 pages
...Quand Georgina Smolen se leva pour chanter. Miss Smolen est très-pâle. — Elle arrive de Frapre, Et regrette le sol qu'elle vient de quitter. On dit...deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé ld profondeur et réfléchi l'azur. Faible et toujours souffrante, ainsi qu'un diadème Elle laisse... | |
| Alfred de Musset - 1859 - 340 pages
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait , je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,... | |
| Alfred de Musset - 1866 - 394 pages
...étions seuls, pensifs, et nous avions quinze ans. Je regardais Lucie. — Elle était pâle et blonde. Jamais deux yeux plus doux n'ont du ciel le plus pur Sondé la profondeur et réfléchi l'azur. Sa beauté m'enivrait ; je n'aimais qu'elle au monde. Mais je croyais l'aimer comme on aime une sœur,... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 372 pages
...Mardoche?— Pour changer D'amour, il lui fallut six mois à voyager, Septembre 1829. LE SAULE II se fit tout à coup le plus profond silence, Quand Georgina...front orgueilleux, En longues tresses d'or tomber ses longs cheveux. Elle est de ces beautés dont on dit qu'on les aime Moins qu'on ne les admire ; —... | |
| Alfred de Musset - 1867 - 718 pages
...Pour changer D'amour, il lui fallut six mois à voyager. Septembre 1829. LE SAULE FHAGHF .NT Il se fit tout à coup le plus profond silence, Quand Georgina...front orgueilleux, En longues tresses d'or tomber ses longs cheveux. Elle est de ces beautés dont on dit qu'on les aime Moins qu'on ne les admire ; —... | |
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