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500 »

500

125 » 500

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10

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LE CHOMAGE

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1.500

juillet 1883

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(en liquidation)

(7)

PARIS..

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LE BATIMENT.

(b) Cette Compagnie assure aussi contre les accidents.

SIEGE SOCIAL

Compagnies étrangères dont les actions se négocient sur le marché de Paris.

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FR. C.

FR. C.

FR. C.

FR. C.

FR. C.

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250 »
7.500.000 3.000 3.500 D
1880 6.600.000 30.000 220
1880 20.000.000 80.000 250 D
1838 10.000.000 4.000 2.500 D
1831 13.125.000 5.000 2.625 »
Madrid. 1864 9.000.000 45.000 200 D
Bâle.
1865 10.000.000 2.000 5.000 >
1864
10.000.000 2.000 5.000 D
1865 5.000.000 5.000 1.000 D
Saint-Gall. 1862 10.000.000 2.000 5.000
1859 10.000.000 2.000 5.000 D

75 D
2.500 D
220 D
125 D

LE LION (incendie).

AA

20

D

10 >

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Supplément au MONITEUR DES ASSURANCES du 15 novembre 1883.

BULLETIN

DE

L'AGENCE FINANCIÈRE

DES ASSURANCES

REVUE FINANCIÈRE

Il faut en convenir: si l'assurance, sous toutes ses formes, était, à un degré quelconque, affaire de mode, de fantaisie ou de luxe, on serait presque tenté de douter de l'avenir en voyant l'abaissement continu de la cote des actions. Heureusement, il n'en est rien. Que le cours des actions baisse, que, pour un certain nombre de Compagnies, il tombe même fort au-dessous de la valeur intrinsèque, c'est la conséquence de circonstances temporaires, analogues, en sens inverse, aux circonstances qui avaient poussé les prix à un niveau beaucoup trop élevé; au travers de ces fluctuations, si communes dans toutes les choses de ce monde, l'Assurance reste et restera debout, jusqu'à ce que les siècles futurs aient imaginé quelque chose de mieux. Plus les temps sont troublés, plus l'avenir est incertain, plus c'est un devoir étroit pour le père de famille de faire assurer sa vie contre la mort prématurée, sa maison contre l'incendie, son champ contre la grêle. Si les Compagnies d'assurances maritimes continuent à perdre de l'argent, ce n'est pas que l'idée soit venue à aucun armateur de cesser de s'assurer; l'assurance maritime est et demeure la base nécessaire du commerce entre les peuples, à ce point que les échanges internationaux s'arrêteraient brusquement si les assureurs disparaissaient tout à coup.

C'est tout simplement pour ces motifs que nous disons et que nous répétons aux actionnaires : le mal dont vous souffrez vient de

vous-mêmes et non du dehors; vous ne savez exercer aucun contrôle utile sur les sociétés où vous êtes intéressés. Réveillez-vous; examinez les causes, aujourd'hui bien connues, de tant de ruines, donnezvous la peine d'étudier, de comparer; défendez aux directeurs de vos Compagnies de travailler à perte; faites en sorte que les assurés, en matière d'incendie, de risques maritimes, etc., restent vos cointéressés. Tout cela n'est pas bien difficile et il suffirait de vouloir.

En attendant qu'un mouvement d'opinion plus marqué appuie les efforts que font dans ce sens, depuis quelque temps déjà, les hommes éclairés, nous renonçons à entrer ici dans aucun détail relativement aux prix des actions. Nous nous bornons à les noter dans nos tableaux financiers ci-après. Les modifications survenues d'un mois à l'autre ne résultent, comme précédemment, que d'un nombre insignifiant de négociations.

L'honorable Directeur de l'Alliance et de la Compagnie générale accidents, M. Tournal, nous a donné, à notre entière satisfaction, les éclaircissements que voici sur les causes et sur la portée des mesures prises par le Conseil d'administration de ces Compagnies au sujet des transferts d'actions. Ce n'est pas, comme on nous l'affirmait, l'intégralité des sommes restant à appeler que l'acquéreur est obligé de verser; c'est seulement la moitié du second quart, soit 125 francs par action de l'Alliance et 62.50 par action de la Compagnie générale. Cette mesure n'est d'ailleurs ni permanente, ni absolue; le Conseil s'y est déterminé, dans la plénitude de son droit statutaire, par des motifs qui nous paraissent légitimes.

En tout cas, il est juste de faire remarquer que, comme il ne s'agit nullement, dans l'espèce, d'un appel de fonds, mais seulement d'une garantie exigée de certains acheteurs dont la solvabilité peut paraître douteuse, les fonds provenant de cette source sont nécessairement mis à part et employés en valeurs statutaires de tout repos. Ils ne se confondraient avec le reste du capital social que dans le cas où un appel de fonds serait adressé à tous les actionnaires, ce dont il n'est point question.

INFORMATIONS DIVERSES.

Les actionnaires de la Centrale (accidents) se sont réunis le 15 octobre dernier en assemblée générale extraordinaire, ainsi que nous l'avons annoncé.

Après lecture du rapport du conseil d'administration exposant les

motifs de la réunion et la situation de la Compagnie, le Président a donné communication du projet de traité de réassurance du portefeuille de la Centrale à la Compagnie l'Abeille.

Les principales clauses de ce traité contiennent ce qui suit:

Art. 1er.

La Compagnie la Centrale cède en réassurance à partir du 1er novembre 1883, à la Compagnie l'Abeille, la totalité des risques provenant des assurances réalisées à cette date par la Centrale.

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Art. 4. Sur chacune des primes encaissées directement par l'Abeille ou à elle versées par la Centrale sur les polices cédées et acceptées en réassurance, l'Abeille, après encaissement, paiera à la Centrale, jusqu'à l'expiration de la période pour laquelle chaque police réassurée aura été souscrite à la Centrale, une commission de quinze pour cent sur les assurances individuelles et de dix pour cent sur toutes les autres assurances.

A partir du 1er janvier 1887, la Centrale pourra exiger de l'Abeille l'escompte des commissions devant lui revenir, à raison de 7 1/2 0/0 pour les polices individuelles et de 5 0/0 pour les autres.

Art. 6. La Centrale devra, à toute réquisition de l'Abeille, résilier celles des polices qui réserveront cette faculté à son profit.

Néanmoins, toute police ainsi résiliée qui sera reprise par l'Abeille donnera droit pour la Centrale à la commission prévue à l'article 4, même sur le taux de prime supplémentaire qui pourrait avoir été obtenu par l'Abeille.

Pour les polices qui ne réservent pas à la Centrale la faculté de résiliation, l'Abeille aura le droit, soit de résilier amiablement, soit, mais seulement jusqu'au 15 mai 1884 de rétrocéder à la Centrale toute police dont les sinistres, depuis son origine, auraient absorbé au moins 70 p. 100 des primes perçues.

Néanmoins, sur ces polices, les sinistres qui pourraient survenir depuis le 1er novembre 1883 jusqu'à l'avis de rétrocession donné par elle, resteront à la charge de l'Abeille. Pendant le mois du 15 mai au 15 juin 1884, la Centrale aura le droit en ne faisant aucune exception et en renonçant à toute commission sur ces polices, d'exiger que l'Abeille les reprenne en bloc et en redevienne et reste définitivement réassureur ferme. Dans ce cas l'Abeille sera réputée réassureur ferme depuis le 1er novembre 1883 et tous sinistres survenus, même après son avis de rétrocession, resteront exclusivement à sa charge.

Les autres articles du traité se rapportent à la faculté pour la Centrale de se mettre en liquidation à partir du 1er janvier 1887, à la no

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