Oeuvres de M. Boileau Despréaux, Volume 1Chez David ... [et] Durand, 1747 - Fore-edge painting |
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Page xxxii
... les ac- tions , & dans toutes fes paroles ; mais qui prenoit encore de nouvelles forces , comme il arrive à tous les les hommes , dans les occafions où ils fe trouvoient xxxij ÉLOGE *Eloge de M Defpréaux, par M de Boze.
... les ac- tions , & dans toutes fes paroles ; mais qui prenoit encore de nouvelles forces , comme il arrive à tous les les hommes , dans les occafions où ils fe trouvoient xxxij ÉLOGE *Eloge de M Defpréaux, par M de Boze.
Page 3
... force par des expreffions plus vives & plus énergiques , tantôt en y ajoutant des images nouvelles qui l'embelliffent . Il difoit quelquefois , en parlant de ces fortes d'imitations : Cela ne s'appelle pas imiter ; c'eft jouter contre ...
... force par des expreffions plus vives & plus énergiques , tantôt en y ajoutant des images nouvelles qui l'embelliffent . Il difoit quelquefois , en parlant de ces fortes d'imitations : Cela ne s'appelle pas imiter ; c'eft jouter contre ...
Page 4
... force & fans haleine ; Et qui vont tous les jours , d'une importune voix , 20 T'ennuyer du récit de Tes propres exploits . REMARQUES . VERS 10. Fuit d'un fi grand far deau la charge trop pefante . ] Quel- ques Critiques ont condamné ce ...
... force & fans haleine ; Et qui vont tous les jours , d'une importune voix , 20 T'ennuyer du récit de Tes propres exploits . REMARQUES . VERS 10. Fuit d'un fi grand far deau la charge trop pefante . ] Quel- ques Critiques ont condamné ce ...
Page 31
... & le cours Le tenir en état de vous craindre toûjours : De trembler qu'à toute heure , un remors légitime Ne vous force à le perdre , en découvrant fon crime 1 Qu'on verroit de couleurs bifarrement orné , Conduire le carroffe SATIRE I.
... & le cours Le tenir en état de vous craindre toûjours : De trembler qu'à toute heure , un remors légitime Ne vous force à le perdre , en découvrant fon crime 1 Qu'on verroit de couleurs bifarrement orné , Conduire le carroffe SATIRE I.
Page 38
... force chofes je me moque ; Et fans contraindre mes defirs , Je me donne entier aux plaifirs . Le jeu , l'amour , la bonne chère , & c . Cependant , Saint - Pavin ne put fouffrir que l'on eût mis fa con- verfion au rang des impoffibili ...
... force chofes je me moque ; Et fans contraindre mes defirs , Je me donne entier aux plaifirs . Le jeu , l'amour , la bonne chère , & c . Cependant , Saint - Pavin ne put fouffrir que l'on eût mis fa con- verfion au rang des impoffibili ...
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Common terms and phrases
affez ainfi Alcippe Arnauld auffi Auteur avoient avoit êté beau bien-toft Boileau Broffette BROSS C'eft C'eſt caufe Cenfeur Chapelain chés chofe Clélie compofé Confeiller Cotin d'Horace deffein Defpréaux déja DESP Dieu difant difcours difoit dire efprit efté eftoit eftre endroit enfuite Epigramme Epitre eſt êtant êtoient êtoit fage faifoit faint fans fçait fe trouve fecond Femmes fens fentiment feroit fervir fes Ouvrages feul fiecle foin foit font fouffrir fous fouvent François ftile fuis fuite fuivant fujet Gilles Boileau Heros Horace illuftre IMIT j'ai j'ay jour jufqu'à jufte Juvenal l'Abbé l'Au l'Auteur l'Edition l'efprit laiffer Lecteur mefme Monfieur mourut Mufe n'avoit n'eft n'êtoit noftre paffer parler penfée perfonne Perrault Phédre Pièce plaifir plufieurs Poëfie Poëme Poëte Pradon préaux premières Editions qu'un raifon refte REMARQUES rimer s'eft Satire ſes ſon tems teur tion toûjours trifte Voïés دو
Popular passages
Page 311 - A ces mots, essuyant sa barbe limoneuse, II prend d'un vieux guerrier la figure poudreuse. Son front cicatrisé rend son air furieux, Et l'ardeur du combat étincelle en ses yeux. En ce moment il part, et, couvert d'une nue, Du fameux fort de Skink prend la route connue. Là, contemplant son cours, il voit de toutes parts Ses pâles défenseurs par la frayeur épars.
Page 363 - De bonne heure a pourvu d'utiles ennemis, Je dois plus à leur haine, il faut que je l'avoue, Qu'au faible et vain talent dont la France me loue.
Page 158 - Faudra-t-il de sang-froid, et sans être amoureux, Pour quelque Iris en l'air faire le langoureux, Lui prodiguer les noms de Soleil et d'Aurore, Et toujours bien mangeant , mourir par métaphore?
Page 98 - Car à peine les coqs, commençant leur ramage, Auront de cris aigus frappé le voisinage, Qu'un affreux serrurier, laborieux Vulcain, Qu'éveillera bientôt l'ardente soif du gain, Avec un fer maudit, qu'à grand bruit il apprête, De cent coups de marteau me va fendre la tête.
Page 161 - Vous aurez beau vanter le roi dans vos ouvrages Et de ce nom sacré sanctifier vos pages ; Qui méprise Cotin n'estime point son roi, Et n'a, selon Cotin, ni Dieu, ni foi, ni loi. Mais quoi ! répondrez-vous, Cotin nous peut-il nuire ? Et par ses cris enfin que saurait-il produire?
Page 324 - C'est au repos d'esprit que nous aspirons tous , Mais ce repos heureux se doit chercher en nous. Un fou rempli d'erreurs , que le trouble accompagne , Et malade à la ville ainsi qu'à la campagne , En vain monte à cheval pour tromper son ennui : Le chagrin monte en croupe et galope avec lui.
Page 222 - L'évangile au chrétien ne dit en aucun lieu , Sois dévot : elle dit , Sois doux , simple , équitable.
Page 100 - Là sur une charrette une poutre branlante Vient menaçant de loin la foule qu'elle augmente ; Six chevaux attelés à ce fardeau pesant Ont peine à l'émouvoir...
Page 36 - L'habit qu'il eut sur lui fut son seul héritage, Un lit et deux placets composaient tout son bien ; Ou, pour en mieux parler, Saint-Amant n'avait rien. Mais quoi ! las de traîner une vie importune, II engagea ce rien pour chercher la fortune, Et, tout chargé de vers qu'il devait mettre au jour, Conduit d'un vain espoir, il parut à la cour 5.
Page 148 - On ne sait bien -souvent quelle mouche le pique. Mais c'est un jeune fou qui se croit tout permis, Et qui, pour un bon mot, va perdre vingt amis.