Pascal et son temps...: ptie. De Montaigne à PascalPlon-Nourrit et cie., 1907 |
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... doctrine catho- lique prennent leur revanche . C'est une chose merveilleuse que l'amour . Le berger Céladon aime la bergère Astrée . Astrée est belle ; et son âme est parfaite comme son corps . De sa personne une force est sortie , pour ...
... doctrine catho- lique prennent leur revanche . C'est une chose merveilleuse que l'amour . Le berger Céladon aime la bergère Astrée . Astrée est belle ; et son âme est parfaite comme son corps . De sa personne une force est sortie , pour ...
Page 18
... doctrines morales , une avait été oubliée ou négligée . Peut- être parlait - elle trop haut de l'effort et du sacri- fice . Peut - être aussi n'était - elle pas représentée par des artistes assez parfaits , ou par des écri- • vains ...
... doctrines morales , une avait été oubliée ou négligée . Peut- être parlait - elle trop haut de l'effort et du sacri- fice . Peut - être aussi n'était - elle pas représentée par des artistes assez parfaits , ou par des écri- • vains ...
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... DOCTRINE D'ÉPICTÈTE STOÏCIEN , COMME L'HOMME SE PEUT RENDRE VERTUEUX , LIBRE , HEUREUX , SANS PASSION ; traduit du grec en françois par André de Rivaudeau , gentilhomme du Bas - Poitou . Observations et interprétations du même auteur ...
... DOCTRINE D'ÉPICTÈTE STOÏCIEN , COMME L'HOMME SE PEUT RENDRE VERTUEUX , LIBRE , HEUREUX , SANS PASSION ; traduit du grec en françois par André de Rivaudeau , gentilhomme du Bas - Poitou . Observations et interprétations du même auteur ...
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... doctrine , s'il s'en défend même , il l'est du moins d'inspiration et d'imagination , comme l'a montré ⚫ le plus récent historien de la morale stoïcienne ( 2 ) .、 Montaigne ne se contente pas des livres ; il évoque les figures ...
... doctrine , s'il s'en défend même , il l'est du moins d'inspiration et d'imagination , comme l'a montré ⚫ le plus récent historien de la morale stoïcienne ( 2 ) .、 Montaigne ne se contente pas des livres ; il évoque les figures ...
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... doctrine , écrit Mon- taigne , c'est mon étude ; ce n'est pas la leçon d'autrui , c'est la mienne . » Est - ce une faiblesse ? En d'autres circonstances , oui ! Ici , c'est une force au contraire . Ce stoïcisme qui ne peut s'ensei- gner ...
... doctrine , écrit Mon- taigne , c'est mon étude ; ce n'est pas la leçon d'autrui , c'est la mienne . » Est - ce une faiblesse ? En d'autres circonstances , oui ! Ici , c'est une force au contraire . Ce stoïcisme qui ne peut s'ensei- gner ...
Common terms and phrases
aime âme amis Aristote athées avaient Balzac beau beaux-esprits Bordeaux c'était casuistique catholicisme catholique Céladon chapitre choses chré chrétien Christ cisme cœur contentement d'Épictète déisme déiste Descartes dialogues Dieu dire Doctrine curieuse donne écrit écrit-il édition enseigne Épictète esprit Essais force François de Sales gens gion homme humaine j'ai jansénisme Jansénius jésuites jugement Juste Lipse justice l'action divine l'âme l'édition l'Église l'esprit l'homme l'incrédulité l'œuvre libertins libre penseur Ligue livre maître Manuductio ment mère Angélique Michel de Montaigne Molina monde Montaigne morale mort mouvement nature naturelle Œuvres complètes opinions Orphée parle Pascal passer passions péché originel pensée père Garasse père Mersenne Pierre Charron Port-Royal premier prudhomie Quæstiones raison Réforme religion rien Rivaudeau s'il sage Sagesse saint Augustin saint François Saint-Cyran Sainte Philosophie scepticisme seizième siècle Sénèque sens sentiment religieux seulement stoï stoïcienne stoïcisme taigne théologie tion tique Traité trouve universelle Vair Vanini Vérité des sciences vertu vivre Voilà volonté vrai
Popular passages
Page 114 - ... de cet État, de cette société, de cette famille, à laquelle on est joint par sa demeure, par son serment, par sa naissance; et il faut toujours préférer les intérêts du tout dont on est partie à ceux de sa personne en particulier...
Page 109 - La pre-mière était d'obéir aux lois et aux cou-tumes de mon pays, re-te-nant cons-tam-ment la re-li-gion en la-quelle Dieu m'a fait la grâce d'être ins-truit dès mon en-fan-ce, et me gou-ver-nant, en toute autre cho-se, sui-vant les opi-nions les plus mo-dé-rées, et les plus éloi-gnées de l'ex-cès, qui fus-sent commu-né-ment reçues en pra-tique par les mieux sen-sés de ceux avec lès-quels j'au-rais à vi-vre.
Page 37 - Quand les vignes gèlent en mon village, mon prêtre en argumente l'ire de dieu sur la race humaine, et juge que la pépie en tienne déjà les Cannibales.
Page 37 - Rampant au limon de la terre, je ne laisse pas de remarquer, jusques dans les nues, la hauteur inimitable d'aucunes âmes héroïques.
Page 236 - De vray, ou la raison se mocque, ou elle ne doit viser qu'à nostre contentement, et tout son travail, tendre en somme à nous faire bien vivre, et à nostre aise, comme dict la Sainte Escriture.
Page 110 - ... que tous les Médecins qui m'ont vu avant ce tempslà, me condamnaient à mourir jeune. Mais je crois que l'inclination que j'ai toujours eue à regarder les choses qui se présentaient du biais qui me les pouvait rendre le plus agréables, et à faire que mon principal contentement ne dépendît que de moi seul, est cause que cette indisposition, qui m'était comme naturelle, s'est peu à peu entièrement passée.
Page 110 - J'avais hérité d'elle une toux sèche, et une couleur pâle, que j'ai gardée jusqucs à l'âge de plus de vingt ans et qui faisait que tous les médecins qui m'ont vu, avant ce temps-là, me condamnaient à mourir jeune.
Page 84 - ... mais je maintiens qu'elle peut contenir et resserrer la douleur et la passion dans leurs bornes, empêcher qu'elles n'occupent plus de lieu et d'autorité en notre âme qu'elles ne doivent, et les amollir et • adoucir, voire même, avec le temps, du tout étouffer et amortir.
Page 176 - Bref le vulgaire est une bête sauvage ; tout ce qu'il pense n'est que vanité, tout ce qu'il dit est...
Page 38 - Mais qui se présente, comme dans un tableau, cette grande image de notre mère nature en son entière majesté; qui lit en son visage une si générale et constante variété; qui se remarque làdedans, et non soi, mais tout un royaume, comme un trait d'une pointe très délicate : celui-là seul estime les choses selon leur juste grandeur.