Histoire des Girondins, Volume 2 |
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âme amis applaudissements armée armes assassins avaient Barbaroux bonnet rouge bras Brissot Buzot c'était Camille Desmoulins citoyens clubs cœur commandant complices conjurés conseil conspiration constitution constitutionnels coup cour crime Danton décret despotisme devant dévouement dit-il donner duc d'Orléans duc de Brunswick Dumouriez éclats émigrés enfants ennemis factieux factions famille faubourgs Fayette femme fille force fortune foule garde nationale génie Gensonné geste Girondins gloire Guadet guerre haine hommes Jacobins jeune jour l'âme l'aristocratie l'armée l'Assem l'Assemblée l'empereur l'homme l'opinion Léopold Lessart liberté Louis XVI lui-même madame Roland main marche menace ment ministre Mirabeau monarchie mort n'avait n'était Narbonne nation nistre noblesse officiers outrages palais paroles passer passion patrie patriotisme pensée Péthion peuple philosophie politique populaires porte premier prêtres prince Prusse rassemblement reine Révolution révolutionnaire Robespierre royale salle sang Santerre secret sédition semble sentiment seul soldats tête tion tribune trône troupes Tuileries vengeance Vergniaud vertu victimes voix yeux
Popular passages
Page 413 - Français, pour nous, ah ! quel outrage ! Quels transports il doit exciter ! C'est nous qu'on ose méditer De rendre à l'antique esclavage ! Aux armes, citoyens ! etc.
Page 418 - Lisle était rêveur, son cœur était ému, sa tête échauffée. Le froid le saisit; il rentra chancelant dans sa chambre solitaire, chercha lentement l'inspiration tantôt dans les palpitations de son âme de citoyen, tantôt sur le clavier de son instrument d'artiste, composant tantôt l'air avant les paroles, tantôt les paroles avant l'air, et les associant tellement dans sa pensée qu'il ne pouvait savoir lui-même lequel de la note ou du vers était né le premier, et qu'il était impossible...
Page 413 - Allons, enfants de la patrie, Le jour de gloire est arrivé ; Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé.
Page 417 - Lons-le-Saunicr , dans ce Jura, pays de rêverie et d'énergie, comme le sont toujours les montagnes. Ce jeune homme aimait la guerre comme soldat, la Révolution comme penseur; il charmait par les vers et par la musique les lentes impatiences de la garnison. Recherché pour son double talent de musicien et de poète , il fréquentait familièrement la maison...
Page 23 - ... de ces deux supériorités. Si nous vivions dans la solitude, j'avais des heures quelquefois pénibles à passer ; si nous allions dans le monde, j'y étais aimée de gens dont je m'apercevais que quelques-uns pourraient trop me toucher : je me plongeai dans le travail avec mon mari , autre excès qui eut son inconvénient ; je l'habituai à ne savoir se passer de moi pour rien au monde, ni dans aucun instant.
Page 13 - ... même seule pour acheter, à quelques pas de la maison , du persil, ou de la salade que la ménagère avait oubliée.
Page 414 - Amour sacré de la patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté ! Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Aux armes, etc.
Page 20 - ... et sans harmonie. C'est un agrément rare et bien puissant , je crois , sur les sens, que le charme de la voix; il ne tient pas seulement à la qualité du son , il résulte encore de cette délicatesse de sentimens qui varie les expressions et modifie l'accent.
Page 393 - Legendre ; écoutez-nous ! Vous êtes fait pour nous écouter. Vous êtes un perfide. Vous nous avez toujours trompés, vous nous trompez encore. Mais prenez garde à vous : la mesure est à son comble, et le peuple est las de se voir votre jouet...
Page 17 - Il aimait, il estimait le commerce, parce qu'il le regardait comme la source de la richesse ; je le détestais, parce qu'il était à mes yeux celle de l'avarice et de la friponnerie. Mon père sentait bien que je ne pouvais agréer ce qui tient à des métiers proprement dits, et son...