Lettres de Madame de Sévigné à sa famille et à ses amis, Volume 2Dalibon, libraire, 1823 |
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Page 48
... états , qui me viendront tourmenter à Vitré sur la fin du mois de juillet ; cela me déplaît fort . Votre frère n'y sera plus en ce temps - là . Ma 1 Madame de Guise . Voyez la lettre cxxi . G. D. S. G. fille , vous souhaitez que le ...
... états , qui me viendront tourmenter à Vitré sur la fin du mois de juillet ; cela me déplaît fort . Votre frère n'y sera plus en ce temps - là . Ma 1 Madame de Guise . Voyez la lettre cxxi . G. D. S. G. fille , vous souhaitez que le ...
Page 69
... états me consoleront de mon fils ; ' Marie - Charlotte de Castelnau , femme d'Antoine - Charles de Louvigny . L'enfant dont elle étoit grosse alors fut le dernier maréchal de Gramont . M. 2 Jacques Têtu , abbé de Belval , aumônier ...
... états me consoleront de mon fils ; ' Marie - Charlotte de Castelnau , femme d'Antoine - Charles de Louvigny . L'enfant dont elle étoit grosse alors fut le dernier maréchal de Gramont . M. 2 Jacques Têtu , abbé de Belval , aumônier ...
Page 98
... états ; je crois que je m'enfuirai de peur d'être ruinée . C'est une belle chose que d'aller dépen- ser quatre ou cinq cents pistoles en fricassées et en diners pour l'honneur d'être la maison de plaisance de M. et de madame de Chaulnes ...
... états ; je crois que je m'enfuirai de peur d'être ruinée . C'est une belle chose que d'aller dépen- ser quatre ou cinq cents pistoles en fricassées et en diners pour l'honneur d'être la maison de plaisance de M. et de madame de Chaulnes ...
Page 105
... états , ou si nous les affronterons . Ce qui est cer- tain , et dont je crois que vous ne douterez pas , c'est que nous sommes bien loin de vous ou- blier : nous en parlons très - souvent ; mais quoi- que j'en parle beaucoup , j'y pense ...
... états , ou si nous les affronterons . Ce qui est cer- tain , et dont je crois que vous ne douterez pas , c'est que nous sommes bien loin de vous ou- blier : nous en parlons très - souvent ; mais quoi- que j'en parle beaucoup , j'y pense ...
Page 126
... états ; mon premier dessein étoit de les fuir , et de ne point faire de dépense : mais vous saurez que pendant que M. de Chaul- nes va faire le tour de sa province , madame sa femme vient l'attendre à Vitré , où elle sera dans douze ...
... états ; mon premier dessein étoit de les fuir , et de ne point faire de dépense : mais vous saurez que pendant que M. de Chaul- nes va faire le tour de sa province , madame sa femme vient l'attendre à Vitré , où elle sera dans douze ...
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Common terms and phrases
abbé accouchée Adhémar Adieu admirable aimable aime aise amitié assez assure avez avoit beau belle bonne Bretagne c'étoit chère enfant chère fille Chesières chevalier chevalier de Lorraine chose coadjuteur cœur comte de Guiche comtesse consolation conte crois d'Hacqueville d'Usez dame Dieu dimanche dire disoit divertir donne écrire enfin êtes étoit faisoit Fayette femme Gourville homme j'ai j'avois J'embrasse j'en j'étois jamais joie jolie l'abbé l'autre jour là-dessus Lavardin Livry long-temps m'en vais madame de Chaulnes madame de Coulanges MADAME DE GRIGNAN madame de Montespan MADAME DE SÉVIGNÉ mademoiselle du Plessis mande maréchal ment mercredi mieux mille monde Monmerqué MONSIEUR mort Mousse n'ai n'en parler paroît passer pauvre pense petite petite-vérole plaisir Pomenars Pomponne Provence quelquefois raison ravie rien Rochefoucauld Rochers sais santé savez sera seroit SÉVIGNÉ A MADAME soir songe souhaite tendresse très-chère trouve Valavoire Vatel vendredi veux Vitré voilà vois voudrois Voyez la lettre vrai
Popular passages
Page 145 - Ce mot sur la semaine est par-dessus le marché de vous écrire seulement tous les quinze jours , et pour vous donner avis , mon cher cousin, que vous aurez bientôt l'honneur de voir Picard; et comme il est frère du laquais de madame de Coulanges , je suis bien aise de vous rendre compte de mou procédé.
Page 147 - Ma foi! la colère me monte à la tête. Je songeai que c'était la centième sottise qu'il m'avait faite ; qu'il n'avait ni cœur, ni affection ; en un mot, la mesure était comble. Je l'ai pris au mot, et quoi qu'on m'ait pu dire pour lui, je suis demeurée ferme comme un rocher ", et il est parti. C'est une justice de traiter les gens selon leurs bons ou mauvais services.
Page 41 - Il est dimanche 26 avril ; cette lettre ne partira que mercredi; mais ce n'est pas une lettre, c'est une relation que Moreuil vient de me faire, à votre intention, de ce qui s'est passé à Chantilly touchant Vatel. Je vous écrivis vendredi qu'il s'était poignardé; voici l'affaire en détail : Le roi arriva le jeudi au soir; la promenade, la collation dans un lieu tapissé de jonquilles, tout cela fut à souhait. On soupa. Il y eut quelques tables où le rôti...
Page 237 - La jeunesse est si aimable, qu'il faudrait l'adorer, si l'âme et l'esprit étaient aussi parfaits que le corps ; mais quand on n'est plus jeune, c'est alors qu'il faut se perfectionner, et tâcher de regagner par les bonnes qualités ce qu'on perd du côté des agréables.
Page 401 - Vous me demandez , ma chère enfant, si j'aime toujours bien la vie : je vous avoue que j'y trouve des chagrins cuisants; mais je suis encore plus dégoûtée de la mort : je me trouve si malheureuse d'avoir à finir tout ceci par elle , que , si je pouvais retourner en arrière, je ne demanderais pas. mieux. Je me trouve dans , un engagement qui m'embarrasse : je suis embarquée dans la vie sans mon consentement ; il faut que j'en sorte , cela '. m'assomme; et comment en sortirai-je? Par où? par...
Page 165 - Les états ne doivent pas être longs; il n'ya qu'à demander ce que veut le roi ; on ne dit pas un mot : voilà qui est fait.
Page 146 - Bretagne : vous croyez que j'extravague ; elle attend donc son mari avec tous les états, et en attendant, elle est à Vitré, toute seule, mourant d'ennui. Vous ne comprenez pas que cela puisse jamais revenir à Picard ; elle meurt donc d'ennui ; je suis sa seule consolation, et vous croyez bien que je l'emporte d'une grande hauteur sur Mlles de Kerbone et de Kerqueoison.
Page 401 - Rien n'est si fou que de mettre son salut dans l'incertitude, mais rien n'est si naturel, et la sotte vie que je mène est la chose du monde la plus aisée à comprendre. Je m'abîme dans ces pensées, et je trouve la mort si terrible que je hais plus la vie parce qu'elle m'y mène que par les épines qui s'y rencontrent.
Page 131 - J'écrivis l'autre jour à mon fils une lettre de ce style, qui était fort plaisante. Je trouve donc que celui de La Calprenède est détestable, et cependant je ne laisse pas de m'y prendre comme à de la glu...
Page 402 - Champmêlé pour vous réchauffer la pièce. Le personnage de Bajazet est glacé : les mœurs des Turcs y sont mal observées ; ils ne font point tant de façons pour se marier; le dénouement n'est point bien préparé : on n'entre point dans les raisons de cette grande tuerie. Il ya pourtant des choses agréables, mais rien de parfaitement beau, rien qui enlève, point de ces tirades de Corneille qui font frissonner.