A practical grammar of French rhetoric1846 |
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... WITH THE STRUCTURE OF FRENCH VERSIFICATION : THE WHOLE ILLUSTRATED WITH EXERCISES APPENDED TO EVERY CHAPTER . SECOND ... on French Surtout qu'en vos écrits , Dans vos plus grands excès , Education . STARO la langue révérée , vous soit ...
... WITH THE STRUCTURE OF FRENCH VERSIFICATION : THE WHOLE ILLUSTRATED WITH EXERCISES APPENDED TO EVERY CHAPTER . SECOND ... on French Surtout qu'en vos écrits , Dans vos plus grands excès , Education . STARO la langue révérée , vous soit ...
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... on the lips ; one letter will have the teeth pressing on the lips ; another requires them to be quite closed ; here ... qu'il soit difficile de dis- tinguer les consonnes d'avec les voyelles , et de savoir quelles se divisent en demi - ...
... on the lips ; one letter will have the teeth pressing on the lips ; another requires them to be quite closed ; here ... qu'il soit difficile de dis- tinguer les consonnes d'avec les voyelles , et de savoir quelles se divisent en demi - ...
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... at every word to hear the explanation of a rule about this vowel ; which rule ... on the part of those who have published their works in France , because con ... qu'au sein de sa famille , " and the French national hymn , composed at the ...
... at every word to hear the explanation of a rule about this vowel ; which rule ... on the part of those who have published their works in France , because con ... qu'au sein de sa famille , " and the French national hymn , composed at the ...
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... que l'on adoucit en les prononçant comme si c'était un g ou un d . Voilà ce qu'un maître ne saurait souf- frir , ni même cette affectation de faire sonner l's , que quelques uns s'imaginent être du bel air . - L'ABBE GEDOYN . Chapter I ...
... que l'on adoucit en les prononçant comme si c'était un g ou un d . Voilà ce qu'un maître ne saurait souf- frir , ni même cette affectation de faire sonner l's , que quelques uns s'imaginent être du bel air . - L'ABBE GEDOYN . Chapter I ...
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Gabriel Surenne. Chap . I. ORTHOPHONY , Section V. Exercises . EXERCISES ON POETRY ... On entend des nochers les tristes hurlements , Et des câbles froissés les ... qu'ils soient , ils sont ce que nous sommes . ' J. B. ROUSSEAU , Ode sur l ...
Gabriel Surenne. Chap . I. ORTHOPHONY , Section V. Exercises . EXERCISES ON POETRY ... On entend des nochers les tristes hurlements , Et des câbles froissés les ... qu'ils soient , ils sont ce que nous sommes . ' J. B. ROUSSEAU , Ode sur l ...
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Common terms and phrases
accent Amphibology Amphimacer Athalie autres beau bien BOILEAU c'est CACOGRAPHY Catachresis Cedilla Chap ciel cœur COMPOSITION consonants Corneille courroux cours d'une derived deux Dieu diphthong EDINBURGH ACADEMY Ellipsis English été être ETYMOLOGY Euphony Example expressions fait faut FIGURATIVE CONSTRUCTION Figures of Thought fils France French language gloire grammar grand Greek guttural homme IMITATIVE HARMONY inflection j'ai jamais jeune jour l'autre langue Latin learner lines maître masculine rhyme mère Molière monde mort mute n'est nasal sound nature ORATORICAL DELIVERY ORGANIC FORMATION ORTHOGRAPHY ORTHOPHONY pause père peuple phrase Pleonasm poetical Poétique poetry pronounced pronunciation prose Prosodiacal PROSODY punctuation qu'il qu'on qu'un Quintilian RACINE Rhetorical rhymes rien sang says SECT Section seul short Solecism sous species Style sublime syllables Synonymy temps terre tête tion tout trag Trochee trône unaccented verb vers VERSIFICATION vertu VICIOUS CONSTRUCTION VIII voice voix VOLTAIRE vowels words yeux
Popular passages
Page 288 - LE RENARD ET LES RAISINS. CERTAIN renard gascon, d'autres disent normand, Mourant presque de faim , vit au haut d'une treille Des raisins , mûrs apparemment, Et couverts d'une peau vermeille. Le galant en eût fait volontiers un repas ; Mais comme il n'y pouvait atteindre : Ils sont trop verts, dit-il, et bons pour des goujats.
Page 103 - Mon père, Cessez de vous troubler, vous n'êtes point trahi. Quand vous commanderez, vous serez obéi. Ma vie est votre bien. Vous voulez le reprendre : Vos ordres sans détour pouvaient se faire entendre.
Page 227 - Saper ses fondements encor mal assurés! Et, si ce n'est assez de toute l'Italie, Que l'Orient contre elle à l'Occident s'allie; Que cent peuples unis des bouts de l'univers Passent pour la détruire et les monts et les mers. Qu'elle-même sur soi renverse ses murailles, Et de -ses propres mains déchire ses entrailles; Que le courroux du ciel allumé par mes vœux Fasse pleuvoir sur elle un déluge de feux!
Page 238 - Venez, peuples, venez maintenant ; mais venez plutôt, princes et seigneurs; et vous qui jugez la terre, et vous qui ouvrez aux hommes les portes du ciel; et vous, plus que tous les autres, princes et princesses, nobles rejetons de tant de rois, lumières de la France, mais aujourd'hui obscurcies et couvertes de votre douleur comme d'un nuage ; venez voir le peu qui nous reste d'une si auguste nais(') /. Joan. in. 2. /. Cor. xm. i3. sance, de tant de grandeur, de tant de gloire.
Page 260 - Voulez-vous du public mériter les amours ? Sans cesse en écrivant variez vos discours. Un style trop égal et toujours uniforme En vain brille à nos yeux, il faut qu'il nous endorme.
Page 266 - L'âne vint à son tour, et dit : « J'ai souvenance Qu'en un pré de moines passant, La faim , l'occasion, l'herbe tendre, et, je pense, Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue ; Je n'en avois nul droit, puisqu'il faut parler net.
Page 250 - Est prompt à recevoir l'impression des vices, Est vain dans ses discours, volage en ses désirs, Rétif à la censure, et fou -dans les plaisirs. L'âge viril, plus mûr, inspire un air plus sage, Se pousse auprès des grands, s'intrigue, se ménage, 380 Contre les coups du sort songe à se maintenir, Et loin dans le présent regarde l'avenir. La...
Page 82 - Turenne meurt: tout se confond, la fortune chancelle, la victoire se lasse, la paix s'éloigne, les bonnes intentions des alliés se ralentissent, le courage des troupes est abattu par la douleur et ranimé par la vengeance ; tout le camp demeure immobile.
Page 84 - On dirait, quand tu veux, qu'elle te vient chercher : Jamais au bout du vers on ne te voit broncher , Et , sans qu'un long détour t'arrête ou t'embarrasse . A. peine as-tu parlé, qu'elle-même s'y place.
Page 123 - En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.