L'École de Salerne: traduction en vers français

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Charles Daremberg
Librairie J.-B. Baillière et Fils, 1880 - Hygiene - 609 pages
 

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Popular passages

Page 297 - Lever à six, dîner à dix ; souper à six, coucher à dix, nous fait vivre dix fois dix.
Page 321 - D'abord que fîtes-vous de votre serviette en vous mettant à table ? — De ma serviette ? Je fis comme tout le monde ; je la déployai, je l'étendis sur moi, et je l'attachai par un coin à ma boutonnière. — Eh bien ! mon cher, vous êtes le seul qui ayez fait cela ; on n'étale point sa serviette, on la laisse sur ses genoux.
Page 544 - DIDAY. Exposition critique et pratique des nouvelles doctrines sur la syphilis, suivie d'un Essai sur de nouveaux moyens préservatifs des maladies vénériennes, par le docteur P.
Page 569 - ceux qui » meurent, bien ou mal, meurent souvent plus » pour ceux qu'ils laissent dans le monde que pour
Page 344 - II mange tout, le gros glouton, II boit tout ce qu'il a de rente; Son pourpoint n'a plus qu'un bouton, Et son nez en a plus de trente.
Page 322 - Quelques personnes redoutent à table une salière renversée et le nombre treize. Ce nombre n'est à craindre qu'autant qu'il n'y aurait à manger que pour douze. Quant à la salière, l'essentiel est qu'elle ne verse point dans un bon plat.
Page 321 - Mais dites-moi quelque chose de la manière dont vous mangeâtes votre pain. — Certainement à la manière de tout le monde : je le coupai proprement avec mon couteau.
Page 321 - Oh ! pour le coup, comme tout le monde ; il était brûlant, je le versai, par petites parties, de ma tasse dans ma soucoupe. — Eh bien ! vous fîtes comme ne fit sûrement personne : tout le monde boit son café dans sa tasse et jamais dans sa soucoupe. Vous voyez donc, mon cher Cosson, que vous n'avez pas dit un mot, pas fait un mouvement, qui ne fût contre l'usage. L'abbé Cosson était confondu, continua M. Delille. Pendant six semaines, il s'informait à toutes les personnes qu'il rencontrait...
Page 319 - J'ai vu souvent le roi manger quatre assiettées de soupes diverses, un faisan entier, une perdrix, une grande assiettée de salade, du mouton au jus et à l'ail, deux bonnes tranches de jambon, une assiettée de pâtisserie et puis encore des fruits et des confitures.
Page 321 - Et que fîtesvous de la coquille — Comme tout le monde, je la laissai au laquais qui me servait. — Sans la casser ? Sans la casser. Eh bien, mon cher, on ne mange jamais un œuf sans briser la coquille. Et après votre œuf ? — Je demandai du bouilli.

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