Progressive French Reader: With a Vocabulary and Copious Notes, Philological and Grammatical, Including References to Otto's French Conversation Grammar |
From inside the book
Results 1-5 of 82
Page 5
... Grammar Ferdinand Bôcher. FRENCH READER With a Vocabulary and Copious Notes , PHILOLOGICAL AND GRAMMATICAL , INCLUDING REFERENCES TO OTTO'S FRENCH CONVERSATION GRAMMAR . BY FERDINAND BOCHER , PROFESSOR OF MODERN LANGUAGES AT HARVARD ...
... Grammar Ferdinand Bôcher. FRENCH READER With a Vocabulary and Copious Notes , PHILOLOGICAL AND GRAMMATICAL , INCLUDING REFERENCES TO OTTO'S FRENCH CONVERSATION GRAMMAR . BY FERDINAND BOCHER , PROFESSOR OF MODERN LANGUAGES AT HARVARD ...
Page 5
... Grammar Ferdinand Bôcher. PROGRESSIVE the FRENCH READER With a Vocabulary and Copious Notes , PHILOLOGICAL AND GRAMMATICAL , INCLUDING REFERENCES TO OTTO'S FRENCH CONVERSATION GRAMMAR . BY FERDINAND BOCHER , PROFESSOR OF MODERN LANGUAGES ...
... Grammar Ferdinand Bôcher. PROGRESSIVE the FRENCH READER With a Vocabulary and Copious Notes , PHILOLOGICAL AND GRAMMATICAL , INCLUDING REFERENCES TO OTTO'S FRENCH CONVERSATION GRAMMAR . BY FERDINAND BOCHER , PROFESSOR OF MODERN LANGUAGES ...
Page 11
... Grammar Ferdinand Bôcher. welms 10 } partenir . Oui , soldats , vous avez beaucoup fait ..... mais ne s reste - t - il donc plus rien à faire ? ' .... Dira - t - on de nous nous avons su vaincre , mais que nous n'avons pas su fiter de la ...
... Grammar Ferdinand Bôcher. welms 10 } partenir . Oui , soldats , vous avez beaucoup fait ..... mais ne s reste - t - il donc plus rien à faire ? ' .... Dira - t - on de nous nous avons su vaincre , mais que nous n'avons pas su fiter de la ...
Page 16
... Grammar Ferdinand Bôcher. avec une originalité toute shakspearienne , lui prend forteme bias et lui dit : " Général , aimez - vous la chasse ? " Cette que nattendue laisse le général embarrassé . " Eh bien , si vous a a chasse , avez ...
... Grammar Ferdinand Bôcher. avec une originalité toute shakspearienne , lui prend forteme bias et lui dit : " Général , aimez - vous la chasse ? " Cette que nattendue laisse le général embarrassé . " Eh bien , si vous a a chasse , avez ...
Page 21
... Grammar Ferdinand Bôcher. 7 m être pour n'exister que par la volonté d'un autre , qui sait me la prévenir , qui , par la promptitude et la précision de mouvements , l'exprime et l'exécute ; qui sent autant qu'on ésire , et ne rend qu ...
... Grammar Ferdinand Bôcher. 7 m être pour n'exister que par la volonté d'un autre , qui sait me la prévenir , qui , par la promptitude et la précision de mouvements , l'exprime et l'exécute ; qui sent autant qu'on ésire , et ne rend qu ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
1st pl 1st sing 2d pl 3d pl 3d sing ADAME applied back beau brave Brisquet c'était Calypso CHON chose cœur common DAME Daniel Dieu enfant English est-ce fille first French generally give good Good gracious Grammar Guillaume hand hence HENRIETTE homme imperf j'ai de l'amour j'aurais j'avais j'étais Jâry Jean-Pierre JORIN jour kind l'ours light literally little long time since madame Balais MADAME PERRICHON made mademoiselle main MAÎTRE DE PHIL MAJORIN make meaning means mer de Glace mère Balais mère Rochard monsieur Armand monsieur Perrichon Mont Blanc NIEL Nivoi NRIETTE one's ORIN passer past pauvre pensée people père Nivoi pourboire pres present pret Qu'est-ce Ratin regarde RICHON rien same SCÈNE sense shako soir sort take thing tic tac time translated upper hand used Vassereau venir verb veux voilà word
Popular passages
Page 42 - JOURDAIN. Par ma foi, il ya plus de quarante ans que je dis de la prose, sans que j'en susse rien, et je vous suis le plus obligé du monde de m'avoir appris cela. Je voudrais donc lui mettre dans un billet: Belle marquise, vos beaux yeux me font mourir d'amour; mais je voudrais que cela fût mis d'une manière galante, que cela fût tourné gentiment.
Page 67 - Le souper fini, on nous laisse ; nos hôtes couchaient en bas ; nous dans la chambre haute, où nous avions mangé : une soupente élevée de sept à huit pieds, où l'on montait par une échelle; c'était là le coucher...
Page 68 - L'appeler, faire du bruit, je n'osais; m'échapper tout seul, je ne pouvais; la fenêtre n'était guère haute, mais en bas deux gros dogues hurlant comme des loups... En quelle peine je me trouvais, imaginez-le, si vous pouvez. Au bout d'un quart d'heure qui fut long...
Page 45 - J'ai faim, dit-il, et bien vite Je sers piquette et pain bis. Puis il sèche ses habits ; Même à dormir le feu l'invite, Au réveil, voyant mes pleurs, II me dit : Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France.
Page 68 - Au bout d'un quart d'heure, qui fut long, j'entends sur l'escalier quelqu'un, et, par les fentes de la porte, je vis le père, sa lampe dans une main, dans l'autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi derrière la porte; il ouvrit, mais avant d'entrer, il posa la lampe que sa femme vint prendre; puis il entra pieds nus, et elle, de dehors, lui disait à voix basse, masquant avec ses doigts le trop de lumière de la lampe: «Doucement! va doucement!
Page 44 - L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : « Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Page 20 - La plus noble conquête que l'homme ait jamais faite est celle de ce fier et fougueux animal qui partage avec lui les fatigues de la guerre et la gloire des combats ; aussi intrépide que son maître, le cheval voit le péril et l'affronte, il se fait au bruit des armes, il l'aime, il le cherche et s'anime de la même ardeur...
Page 47 - En même temps elle lui montra son corps sillonné de cicatrices profondes, par les coups de fouet qu'elle en avait reçus. Elle ajouta : « Je voulais aller me noyer; mais sachant que vous demeuriez ici, j'ai dit : «. Puisqu'il ya encore de bons blancs dans ce* pays, il ne faut pas encore mourir.
Page 18 - Et celui-ci vivait tranquille, tandis que le premier ne goûtait pas un instant de repos ni de joie intérieurement. Un jour qu'il travaillait aux champs, triste et abattu à cause de sa crainte, il vit quelques oiseaux entrer dans un buisson, en sortir, et puis bientôt y revenir encore. Et...
Page 50 - Mon frère, le jour baisse ; tu as encore des forces, et les miennes me manquent ; laisse-moi ici, et retourne seul à notre case, pour tranquilliser nos mères. — Oh ! non, dit Paul, je ne te quitterai pas. Si la nuit nous surprend dans ces bois, j'allumerai du feu, j'abattrai un palmiste ; tu en mangeras le chou, et je ferai avec ses feuilles un ajoupa pour te mettre à l'abri.