| 1812 - 578 pages
..., lors; .même qu'il emprunte (i) Montaigne. l'idée ! Les abeilles pillotent de ça et de là les fleurs , mais elles en font après le miel qui est tout leur , ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi que les pensées et les images des auteurs anciens , fondues sans... | |
| Villemain (M.) - Essayists, French - 1812 - 60 pages
...même qu'il emprunte (i) Montaigne. l'idée ! Les abeilles pillotent de ça et de là les /leurs , mais elles en font après le miel qui est tout leur, ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi que les pensées et les images des auteurs anciens , fondues sans... | |
| Louis-Philippe de Ségur - 1820 - 386 pages
...faut qu'il sache sv les approprier ; les abeilles pillotent de ça, de là, les fleurs, mais elles eu font après le miel qui est tout leur. Ce n'est plus thym ni marjolaine. Il faut faire aimer le précepte et le précepteur , on ne retient à soi que ce qu'on a recu avec... | |
| Charles de Pougens - 1821 - 700 pages
...leurs lèvres. MOHTAIG. , /•'!.(., 1. I , C. '.'.;(. Les abeilles vont pillotant deçà et delà les fleurs; mais elles en font après le miel qui est tout leur. In., ibid. , 1. I, ch. *5. Ils ne faut pas faire comme les bouquetières , qui pillaient par cy par... | |
| 1823 - 308 pages
...apprenne vos préceptes, il faut qu'il sache te les approprier; les abeilles pillaient de ça, de là, les fleurs, mais elles en font après le miel qui est tout leur. Ce n'est plus thym ni marjolaine. Il faut faire aimer le précepte et le précepteur, on ne retient à soi que ce qu'on a reçu avec... | |
| Villemain (M.) - French literature - 1825 - 474 pages
...est toujours à lui, lors même qu'il emprunte l'idée ! Les abeilles pillottent de ça, de là, les fleurs ; mais elles en font après le miel qui est tout leur : ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi Montaigne. que les pensées et les images des auteurs anciens, fondues... | |
| Villemain (M.) - French literature - 1825 - 458 pages
...lui, lors même qu'il emprunte l'idée ! Les abeilles pillottent de ça, de là, les fleurs ; jnais elles en font après le miel qui est tout leur : ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi que les pensées et les images des auteurs anciens, fondues sans... | |
| Louis-Philippe de Ségur - French essays - 1826 - 408 pages
...apprenne vos préceptes , il faut qu'il sache se les approprier; les abeilles pillotent de ça de là les fleurs, mais elles en font après le miel qui est tout leur. Ce n'est plus thym ni marjolaine. Il faut faire aimer le précepte et le précepteur ; on ne retient à soi que ce qu'on a reçu avec... | |
| Villemain (M.) - 1830 - 494 pages
...même qu'il emprunte l'idée ! Les abeilles pillottent de cà, de là, les fleurs ; mais elles enfant après le miel qui est tout leur : ce n'est plus thym ni marjolaine. Voilà tout Montaigne. C'est ainsi; * Montaigne. que les pensées et les images des auteurs anciens,... | |
| François Noel, L.J.M. Carpentier - French language - 1831 - 946 pages
...seulement et mettre au vent. » ыокTAIGM, liv. i, ch. 34. « Les abeilles pillaient de ça, de là les fleurs; mais elles en font après le miel qui est tout leur : ainsi les pièces empruntées d'autruy, il les faut transformer et confondre, pour en faire un ouvrage... | |
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