Le consulat et l'empire ou histoire de Napoléon Bonaparte, de 1799 à 1815, Volume 8 |
Other editions - View all
Common terms and phrases
1er janvier affaires Andalousie Anglais armée Augereau avaient avril Badajoz bâtimens Bernadotte Boutourlin c'était Cadix Campo-Mayor canal cardinal cent chargé Code commerce commission concile concordat conseiller d'état corps Corps-Législatif décembre déclaration départemens dépenses députés devait dispositions division domaine extraordinaire donna dotations EMPIRE enfans envoya Espagnols établi état évêques fabrication février forces Fouché françaises fût garnison général gouvernement guerre Hollande juges l'Angleterre l'armée l'Autriche l'Église l'Em l'Empe l'Empire l'Impératrice laisser Lerida lettre liquidation maisons majorats maréchal mariage Marie-Louise Marmont mars Masséna ment Mequinenza militaires mille hommes millions ministre n'avait n'était Napoléon nation Olivenza ordonna paix palais pape pays pereur peuple Pie VII place police ports Portugal position pouvait préfet prince prisonniers projet Prusse reste réunion réunis reur Rome Russie s'était Sabugal sénat sénatus-consulte serait service seul Séville siège Soult Suchet sucre Suède système continental tion traité travaux tribunaux trône troupes Tuileries Valence voulait Wellington
Popular passages
Page 445 - J'en suis navré, Monsieur; car j'ai présents la mémoire et les services de votre père. » Et quand il fut sorti, l'Empereur ajouta : « J'espère qu'une pareille scène ne se renouvellera jamais; elle m'a fait trop de mal. Je ne suis pas défiant, je pourrais le devenir ! Je me suis entouré de tous les partis; j'ai mis auprès de ma personne jusqu'à des émigrés, des soldats de l'armée de Condé; bien qu'on voulût qu'ils m'eussent assassiné, je dois être juste, tous m'ont été fidèles.
Page 39 - Toutefois, une mine ne peut être vendue par lots ou partagée sans une autorisation préalable du gouvernement, donnée dans les mêmes formes que la concession.
Page 377 - L'Empereur lui adressa de vifs reproches, entre autres celui de s'entourer d'hommes »qui avaient en haine la France. « Rappelez-vous , lui écrivit-il (3o août) , que je ne vous ai fait roi que pour l'intérêt de mon système. Ne vous y trompez pas; si vous cessiez d'être Français, vous ne seriez rien pour moi.
Page 174 - ... de sept à huit jours : je désire qu'ils suffisent aux arrangements qui vous restent à prendre, parce que je ne puis vous en accorder davantage. Il ne faut point rechercher la cause de l'ordre que je vous ai signifié dans le silence que vous avez gardé à l'égard de l'Empereur dans votre dernier ouvrage ; ce serait une erreur.
Page 363 - ... des ports, la ligne des côtes et des frontières, , les communications avec l'étranger, les subsistances, la librairie, l'instruction publique, les associations politiques et religieuses, et en général toutes les parties d'administration et de service public, en se conformant aux instructions du ministre de la police.
Page 69 - La Hollande , placée entre l'Angleterre et la France , en est également froissée. Cependant elle est le débouché des principales artères de mon empire. Des changements deviendront nécessaires ; la sûreté de mes frontières et l'intérêt bien entendu des deux pays l'exigent impérieusement.
Page 510 - Le gouvernement dirige les recettes et les dépenses de l'État, conformément à la loi annuelle, qui détermine le montant des unes et des autres; il surveille la fabrication des monnaies, dont la loi seule ordonne l'émission, fixe le titre, le poids et le type.
Page 453 - Cependant les années s'écoulent; de nouveaux sièges viennent à vaquer tous les jours; s'il n'y était pourvu promptement, l'épiscopat s'éteindrait en France et en Italie comme en Allemagne. Voulant prévenir un état de choses si contraire au bien de la religion, aux principes de l'Église gallicane et aux intérêts de l'État...
Page 331 - Je vous engage ma parole que de mon côté je garderai scrupuleusement les conditions de ce traité. Je m'opposerai à ce que vos voisins s'approprient vos possessions continentales. Si vous manquez à vos engagements, je me croirai dégagé des miens.
Page 5 - Napoléon, portant que nul ne pouvait être contraint de céder sa propriété que pour cause d'utilité publique et moyennant une juste et préalable indemnité , trouvait souvent son application.