Bibliotheca Classica Latina sive Collectio Auctorum Classicorum Latinorum ...: cum notis et indicibus, Volume 83Lemaire, 1827 |
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... diversis et maxime distantibus temporibus publicata sunt ; namque editor , veritus forte ne quid nimia festinatione peccaret ; Ho- ratiique præcepto , nonum prematur in annum , fere ad wwwww EDITORIS NOVI PRÆFATIO. ...
... diversis et maxime distantibus temporibus publicata sunt ; namque editor , veritus forte ne quid nimia festinatione peccaret ; Ho- ratiique præcepto , nonum prematur in annum , fere ad wwwww EDITORIS NOVI PRÆFATIO. ...
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... fere ubique servavimus , nihil in eis mutantes , nisi quum ita obscuro et germanico magis quam latino sermone expressa viderentur , ut Gallico lectori vix intelligenda putaremus ; his additæ sunt tum J. Lipsii , Gronovii , B. Rhenani ...
... fere ubique servavimus , nihil in eis mutantes , nisi quum ita obscuro et germanico magis quam latino sermone expressa viderentur , ut Gallico lectori vix intelligenda putaremus ; his additæ sunt tum J. Lipsii , Gronovii , B. Rhenani ...
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... fere tempore , quo nostra editio parari et in lucem prodire cœpit . >> Nemo non facile intelliget , vel me non profitente , quam sæpe his proximis quatuor voluminibus ( quibus con- tinentur omnia Senecæ opera , præter Quæstiones Na ...
... fere tempore , quo nostra editio parari et in lucem prodire cœpit . >> Nemo non facile intelliget , vel me non profitente , quam sæpe his proximis quatuor voluminibus ( quibus con- tinentur omnia Senecæ opera , præter Quæstiones Na ...
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... fere in quaque editione varietur ( nil enim de ætate qua plerique conscripti sunt constat ) , nos illa præcedentium editorum libertate usi , aliquas mutationes tentavimus . Temporum seriem , qua- tenus nosci poterat , servavimus , ita ...
... fere in quaque editione varietur ( nil enim de ætate qua plerique conscripti sunt constat ) , nos illa præcedentium editorum libertate usi , aliquas mutationes tentavimus . Temporum seriem , qua- tenus nosci poterat , servavimus , ita ...
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... fere materia tractatur : nec Ludum de morte Claudii Cæsaris a Consolatione ad Polybium , cujus est tanquam Palinodia , sejungendum esse voluimus . Denique post illa moralia opera libros de Beneficis collocandos cu- ravimus ; cuncti enim ...
... fere materia tractatur : nec Ludum de morte Claudii Cæsaris a Consolatione ad Polybium , cujus est tanquam Palinodia , sejungendum esse voluimus . Denique post illa moralia opera libros de Beneficis collocandos cu- ravimus ; cuncti enim ...
Common terms and phrases
æque affectus alibi aliquid animi animo animum Antea Aristoteles bona bonum c'est Cæsar Cæterum Caligula causa causæ Cicero Cleanthes clementia codd Conf cujus deinde Deus DISSERTATIO Epictetus Epist Erasm esset etsi facere fortuna fuisse Gronov habet hæc hanc homines Horat hujus hunc Ibid ideoque igitur illa ille illi illo illud illum injuria inquit ipsa ipsum iræ iram ista Itaque Laert lectio Lipsio Lipsius magis mihi natura naturæ nempe neque nihil Noster notæ omnibus pæne parum Philosophia Plato Plutarcho Plutarchus potest præ præter qu'il quæ quædam quidquid quis quum ratio Reipublicæ rerum sæpe sæpius sapiens Sapientem Sapientis satis Seneca Sénèque sensu sine sint sive Socrates Stoici Stoicorum suæ suam Sueton suum tamen tantum tibi tunc virtus virtutem vita vitæ vitam vitia vivere Zeno Zenonis δὲ καὶ
Popular passages
Page 265 - Apprends à te connaître, et descends en toi-même : On t'honore dans Rome, on te courtise, on t'aime ; Chacun tremble sous toi, chacun t'offre des vœux; Ta fortune est bien haut, tu peux ce que tu veux : Mais tu ferais pitié même à ceux qu'elle irrite, Si je t'abandonnais à ton peu de mérite.
Page 263 - Ce sang qui t'avait fait du contraire parti : Autant que tu l'as pu, les effets l'ont suivie. Je ne m'en suis vengé qu'en te donnant la vie; Je te fis prisonnier pour te combler de biens : Ma cour fut ta prison, mes faveurs tes liens...
Page 266 - Soyons amis, Cinna ; c'est moi qui t'en convie : Comme à mon ennemi je t'ai donné la vie ; Et, malgré la fureur de ton lâche dessein, Je te la donne encor comme à mon assassin. Commençons un combat qui montre par l'issue Qui l'aura mieux de nous ou donnée, ou reçue. Tu trahis mes bienfaits, je les veux redoubler ; Je t'en avais comblé, je t'en veux accabler : Avec cette beauté que je t'avais donnée, Reçois le consulat pour la prochaine année.
Page 263 - Cinna, prends, et sur toute chose Observe exactement la loi que je t'impose : Prête, sans me troubler, l'oreille à mes discours; D'aucun mot, d'aucun cri, n'en interromps le cours; Tiens ta langue captive; et si ce grand silence A ton émotion fait quelque violence, Tu pourras me répondre après tout à loisir : Sur ce point seulement, contente mon désir.
Page 265 - C'est elle qu'on adore, et non pas ta personne : Tu n'as crédit ni rang qu'autant qu'elle t'en donne, Et pour te faire choir je n'aurais aujourd'hui Qu'à retirer la main qui seule est ton appui.
Page 266 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles ! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire : Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna; c'est moi qui t'en convie...
Page 261 - Pour te faire périr tour à tour s'intéresse; Meurs, puisque c'est un mal que tu ne peux guérir; Meurs enfin, puisqu'il faut ou tout perdre ou mourir. La vie est peu de chose, et le peu qui t'en reste Ne vaut pas l'acheter par un prix si funeste ; Meurs...
Page 261 - Ma cruauté se lasse et ne peut s'arrêter ; Je veux me faire craindre et ne fais qu'irriter. Rome a pour ma ruine une hydre trop fertile : Une tête coupée en fait renaître mille.
Page 261 - Une tête coupée en fait renaître mille, Et le sang répandu de mille conjurés Rend mes jours plus maudits , et non plus assurés. Octave, n'attends. plus le coup d'un nouveau Brute; Meurs, et dérobe-lui la gloire de ta chute ; Meurs ; tu ferais pour vivre un lâche et vain effort, Si tant de gens de cœur font des vœux...
Page 263 - T'avait mis contre moi les armes à la main. Tu fus mon ennemi même avant que de naître, Et tu le fus encor quand tu me pus connaître ; Et l'inclination jamais n'a démenti Ce sang qui t'avait fait du contraire parti : Autant que tu l'as pu, les effets l'ont suivie. Je ne m'en suis vengé qu'en te donnant...