Mémoires de l'Académie impériale de Metz, Part 1

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L'Académie, 1868
 

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Popular passages

Page 186 - Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. C'est là le premier et le plus grand commandement. Et voici le second qui lui est semblable : tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Page 246 - Benoit, patriarche des moines d'Occident; contenant une notice exacte des ouvrages de tout genre, composés par les religieux des diverses branches, filiations...
Page 127 - ... les Considérations sur les causes de la grandeur des Romains et de leur décadence (1734...
Page 31 - J'aime surtout les vers, cette langue immortelle. C'est peut-être un blasphème, et je le dis tout bas. Mais je l'aime à la rage. Elle a cela pour elle Que les sots d'aucun temps n'en ont pu faire cas, Qu'elle nous vient de Dieu, — qu'elle est limpide et belle, Que le monde l'entend, et ne la parle pas.
Page 131 - L'homme digne d'être écouté est celui qui ne se sert de la parole que pour la pensée, et de la pensée que pour la vérité et la vertu.
Page 17 - Beauvau qui commandait l'armée française, à six cents lieues de là, écrivait au ministre : « Vous avez à côté de vous un diable ou un ange qui vous fait deviner toutes nos positions » « Or, cet ange était le général...
Page 90 - Dictionnaire archéologique du département de la Moselle ou de l'un de ses arrondissements. 2. Description, avec plans, de ce qui reste des anciens édifices ayant appartenu aux abbayes de bénédictins du département de la Moselle. (Pour Metz : Saint-Arnould , Saint-Clément, Saint-Vincent; — pour le département: Bouzonville, Gorze, Longeville-lès-Saint-Avold, SaintAvold...
Page 280 - ... il ne reste donc que les neuf guenons auxquelles on puisse les comparer. Or toutes les guenons ont, aussi bien que les singes et -les babouins, des caractères, généraux et particuliers qui les séparent en entier des sapajous et des...
Page 400 - Hehving, célèbre ministre d'Angerbourg, en Prusse, qui a fait un traité particulier des pierres de son pays, dit qu'il lui a fallu recourir au bras séculier pour détruire cette superstition dans le lieu où il exerçait son ministère, superstition d'autant plus enracinée qu'elle était entretenue par les découvertes continuelles de ces sortes de pierres, dont ces peuples ne pouvaient s'imaginer que la figure n'eût quelque chose de mystérieux.

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